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Chapitre à lire avec la musique dans les médias: Bite de Troye Sivan ( à relancer 2 fois)
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Point de vue de Connor:
Je m'avançais dans le couloir voulant aller dehors fumer une cigarette, je suis sorti en dernier car le prof voulait me parler du fait que je ne me concentrais pas assez, mais comment pouvais-je me concentrer si Troye ne faisait que me regarder. Je l'ai surpris entrain de me regarder et il s'est mis à rougir, je ne sais pas ce qu'il cherche avec moi mais je ne peux rien lui apporter de plus dans sa vie. Encore dans mes pensées j'entendis des gémissements de douleur, je dépasse les casiers et vis dans le coin Troye allongé au sol, contre une seconde rangée de casier, suffocant, le visage en sang. Mon coeur se serra dans ma poitrine. Je pris la parole:
-Troye?
Il leva les yeux vers moi avec peine.
Je descendis à son niveau, et m'agenouilla en face de lui. La panique s'emparait de moi. Que dois-je faire?
Je dis doucement:
-Troye? Qu'est-ce qui se passe?
Il essaya de me répondre mais sa respiration saccadée lui en empêchait. Il faisait une crise d'angoisse. Je pris son visage entre mes mains et le regarda dans les yeux. Je devais le calmer.
-Troye ça va aller d'accord, regarde moi. Dit-je en essayant de croire à ce que je disais. Il secoua la tête négativement et déglutit entre deux respirations:
-Pars Connor, laisse moi mourir je manquerais à personne.
Ses mots me donnèrent des frissons qui parcoururent mon corps entier, sa phrase me glaca. Comment pouvait-il dire des choses pareilles? Je devais calmer ses tremblements et sa respiration irrégulière. Je le pris légèrement par les épaules et le calla contre le mur derriere lui, je tenais son visage dans mes mains. Il suffoquait, n'arrivant pas à garder les yeux sur moi car il ne faisait que tourner de l'œil, son corps tremblait, je devais faire quelque chose. Je commencais à paniquer me demandant ce que je pourrais faire. Je me mis à réfléchir. Je m'approcha alors lentement de ses lèvres, voulant l'aider mais aussi ressentir ce que j'avais ressentit hier même si j'en avais honte. Il me regardat, puis regardat mes lèvres. Je tenais encore son visage entre mes mains et posa alors mes lèvres sur les siennes, je bougeais lentement mes lèvres contre les siennes, et lorsqu'il qu'il réalisa ce qui était en train de se passer, il fit de même. Les mêmes frissons que hier revinrent se balader dans mon corps, puis de doux frissons, et les même sensations, les mêmes sentiments refirent surfasse, ce sentiment de liberté, de passion. Quand je posais mes lèvres contre les siennes tout me semblait si insignifiant si petit je ne voyais que nous. Troye posa alors ses mains sur ma nuque pour intensifier le baiser, ses tremblements commençaient à diminuer et sa respiration repris un rythme à peu près normal, je passa alors ma langue entre ses lèvres, lui tirant un gémissement, nos langues tournèrent ensemble comme un ballet de ballerine. Nos corps se rapprochèrent, puis nos mouvements s'intensifièrent. À bout de souffle je sépare mes lèvres des siennes et le regarda dans les yeux. Le visage de Troye changea soudainement, une once de dégoût se posa sur son visage, il venait de réaliser que je l'avais embrassé encore une fois, il venait de reprendre conscience. Troye pris la parole:
-Ça t'amuse? Dit-il froidement.
Je ne comprenais pas. Il se leva en fermant les yeux et en se tenant les côtes à cause de la douleur. Je n'avais même pas remarqué qu'il était autant amoché. Qui aurait pu le tabasser à ce point? Je me leva à mon tour, je ne comprenait pas je venais de l'aider à sortir de ça foutu crise d'angoisse.
-Ça t'amuse Connor? Hier tu me ramène aux toilettes tu m'embrasses puis tu te casses comme un lâche, tu me crache à la gueule, tu m'insultes et...
Ça voix se brisa.
..et tu reviens comme une fleur, en me sauvant de ma crise d'angoisse en m'embrassant? Tu réalises à quel point tu es contradictoire? À quel point tu est égoïste, tu joues avec les gens, tu les manipules, tu ME manipules, puis tu vois que je me suis fait tabasser au lieu de m'emmener à l'infirmerie tu m'embrasses, ça prouve que tu ne penses qu'à ta petite personne.
Il s'arrêta de parler et ferma les yeux en serrant ses cotes, il souffrait.
Les mots de Troye résonnaient dans ma tête, comment osait-il? Mon cerveau se mit à bouillir.
-Tu te fous de ma gueule? Hurlai-je en le faisant sursauter. Je dois admettre que ce baiser était en parti de ma faute mais Troye je ne suis pas le seule fautive, arrête de remettre la faute sur mon dos, j'ai essayer de t'aider mais si tu ne veux pas de mon aide d'accord très bien, ok j'ai pas eu le bon réflexe de t'emmener à l'infirmerie mais j'ai calmer ta crise d'angoisse bordel Troye! Tu soulignes tout mes tords, tu veux peut-être des escuses alors? Je m'escuses Troye, je suis désolé de t'avoir embrassé, désolé de t'avoir insulté, j'aurais pas du te traiter ainsi mais j'ai paniqué, j'ai paniqué parce que je n'ai jamais embrassais d'homme de ma vie, je n'ai jamais eu des pareils putain de frissons je n'ai jamais ressentit sa pour personne, je.. j'ai..
Ma voix se brisa et la colère pris possession de mon corps contre mon gré. Je venais d'avouer à Troye que j'ai ressentis des choses pendant ce baiser. Je venais de m'avouer à moi même que j'aimais les hommes, ou peut être que Troye était le seul à me faire autant d'effet? Mes émotions ce mélangèrent. Un brouillard ce format dans mon crâne, m'empêchant de réfléchir clairement. Je posa mes mains sur mon crâne, me massant les tempes, je plissa les yeux, tout s'embrouille, je sentis une haine m'accaparer l'esprit, une boule se forma dans ma gorge m'empêchant de pleurer.
-Oh et puis tu sais quoi va te faire foutre troye JUSTE NE M'ADRESSE PLUS LA PAROLE PUTAIN! Criai-je hors de moi.
Je donna un coup de poing dans le casier ce qui fit immédiatement sursauter Troye. Il s'écarta de moi, apeuré. J'observa le creux que j'avais causée dans le casier, Troye s'approcha et chuchota mon prénom.
-Ne me touche pas. Crachais-je froidement emparé d'une haine d'une humeur que je connaisais trop bien depuis quelques jours.
Je partis presque en courant regrettant encore une fois ce qui venait de se passer. Tout était floue. Pourquoi avait-je ces putain excès de colère?
Point de vue de Troye:
Connor venait de m'embrasser et il m'a sortit de ma crise d'angoisse, je n'en revient toujours pas j'ai toujours pensé qu'il n'y avait que Maia qui réussisait à m'aider et à me calmer mais quand il m'a embrassait tout mes muscles ce sont détendus, mon cerveau c'est alors concentrais sur le goût si sucré de ses lèvres. N'ayant pas compris pourquoi il jouait avec moi nous nous sommes alors disputaient.
Je pris une grande inspiration, partis aux toilettes avec difficultés et me rinça le visage enlevant les traces de sang. Ma joue et le dessous de mon oeil me faisait mal demain j'aurai sûrement un oeil au beurre noir et beaucoup de bleue, génial. Je leva mon t-shirt et remarqua que le peu de peau présent sur mes côtes était déjà bleu foncé, plusieurs bleue c'etait formés, la douleur m'étais insuportable mais je devais faire avec ne voulant pas alarmer l'infirmière et donc mes parents.
Je sortis alors derrière le lycée sur mon petit muret, sortant mon carnet noir et me remit à écrire des paroles, des mots, des dessins, voulant me changer les idées. Quand quelqu'un vint s'assoir en face de moi, je leva alors la tête de mon carnet, surpris.
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Voilaa!
•Hey! J'espère que vous passez de bonne vacances! Comme promis j'ai écrit un chapitre un peu plus long que d'habitude!
•Comme je l'avais dit je suis entrain d'écrire une nouvelle fiction j'avance pas mal j'ai très hâte de vous la faire découvrir!
•J'espère aussi que le chapitre est assez compréhensible avec les sauts d'humeur de Connor.
•Sinon j'espère que vous avez aimé ce nouveaux chapitre n'hésitez pas à donner votre avis en commentaire et de laisser une petite étoile!! Que pensez vous du comportement de Connor? De Troye? Et des leurs réactions?
Bonne soirée!
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