Episode 7 : celui ou Rayleigh hésite

Léonie s'impatientait, elle voulais repartir au plus vite, discuter avec nos parents de notre entre vue avec les loups, elle voulait avoir leurs avis sur l'a question. Et tandis qu'elle se plaignait sans s'arrêter, je ne l'écoutait même pas, j'observais l'Alpha au loin qui discutait avec une vieille femme haute comme trois pommes. Sa posture était si droite, si imposante, et ses petits sourire me faisait un effet fou, même s'ils ne m'était pas adresser directement.

«— Dis le si je t'emmerde, a finis par lancer Léonie en me pinçant le bras.

— C'est un peu le cas, j'ai souffler.

Elle m'a mis un coup d'épaules et s'est mise debout pour se diriger vers la grange, histoire de voir si les hommes s'en sortait avec la voiture et comment ça avançait. Je ne suis pas rester bien longtemps seul dehors, j'ai fini par entendre des bruits de pas dans mon dos et bientôt une autre personnes s'est assise à coter de moi.

— Je suis désolé pour hier, à souffler une voix timide. C'est juste que nous n'accueillons jamais de chasseur, nos relations avec eux sont plutôt tendus.

Je me suis tourner vers Serena, qui jouait nerveusement avec ses mains comme si quelque chose la préoccupait. Je savait que, comme son frère, elle désirait savoir pourquoi j'étais avec des chasseurs alors que j'étais sensé être comme eux. Mais je ne me sentais pas encore prête à répondre à ses questions, surtout à des étrangers.

— Je comprend, ai-je dit.

— Mais tu sait, après avoir parler avec Sam, je ne pense pas que vous soyez tous des monstres, elle a ajouter. Ça ne veux pas dire que je vous fait confiance pour autant.

J'ai sourie en coin, c'était compréhensible. Nous ne leurs faisions pas confiance, eux non plus, ça me semblais très bien comme ça. Mon regard s'est de nouveau tourner vers l'Alpha qui discutait toujours très patiemment avec la vieille femme, bien qu'il était désormais moins souriant.

— Il te plaît ?

J'ai déglutit.

— Pardon ?!

— Mon frère, a insisté Serena. Il est à ton goût ? Parce que j'aimerais mieux t'avertir que depuis que je le connais, je ne l'ai jamais vue avec une femme. Il a toujours dit être à la recherche de son âme sœur. Sauf que, parfois, une vie entière n'est pas assez grande pour tomber sur elle.

Ma louve frétillait, tandis qu'un poids dont je n'avais même pas conscience a sembler se retirer de mes épaules. J'étais soulager qu'il n'est aucune femme, et qu'il n'en ai eu aucune. Ma louve désirais le garder pour elle, et moi j'en était perdue.

— Alors tu y crois vraiment ? j'ai demander, curieuse en arquant un sourcil.

Elle a parut surprise par ma question, puis elle a fini par m'offrir un énorme sourire. Si grand qu'on y voyait plus ses yeux, c'était le genre de personne au sourire contagieux.

— Bien sur ! a-t-elle dit sans aucune hésitation. J'ai rencontrer la mienne !

Daven. Ça expliquais parfaitement la réaction qu'il avait eu dans la mâtiné lorsqu'on avait vus Serena accompagner de mon petit frère. Je me demandais cependant comment fonctionnais cette histoire d'âme sœur. N'était-ce pas juste un béguin absolu, une sorte de coup de foudre instantanée ?  J'avais vraiment du mal à cerner ce lien apparemment unique.

— Serena, ai-je commencer. Comment ça marche, ce lien ?

— Et bien, a t-elle dit s'arrêtant pour chercher ses mots. Je me souviens la première fois ou je l'ai vue, je ne jurai que par lui. Je voulais qu'il me regarde tout le temps, je voulais qu'il me touche, qu'il m'aime. Quand je ne l'avais pas pour moi, ça m'agaçais. Et quand il était près de moi, j'avais envie de lui sauter dessus. Ses sentiments sont toujours là, et comme je vie près de lui, ils s'amplifient en sa présence, elle a soupirer avant de continuer. En faite, ce n'est pas vraiment descriptible, il faut le vivre pour comprendre. C'est plus que de l'amour.

J'ai hocher la tête mollement, ne trouvant rien à dire à ça. Après tout, les livres que j'avais lu avec Sam décrivait a peu près la même chose. C'était décrit comme un sentiment intense, une envie de possession, une envie d'aimer plus que sa vie. Ça avait l'air romantique comme ça, dans les livres, mais moi j'étais effrayer par quelque chose d'aussi puissant.

Au bout de quelques minutes, Léonie et réapparu devant nous en sautillant presque, grand sourire au lèvres. Petit Sam là suivait de près, les mains dans les poches et les sourcils froncés comme s'il était perdu dans de lointaine pensés. Je me suis redresser pour les rejoindre et Léonie m'a offert un grand sourire.

— On va pouvoir se tailler d'ici ! a-t-elle dit. On va aller récupérer nos armes fissa et ciao.

Mon cœur s'est serrer à l'idée de partir, parce que partir rimait avec ne plus jamais le voir. Et pour une raison qui m'échappait, l'idée de ne plus rencontrer son regard de jade me faisait mal.

— Sam ? j'ai appeler, alerter par son air soucieux. Qu'est-ce qu'il y a ?

Il a redresser la tête, replaçant une mèche de ses cheveux derrière son oreille en mordant sa lèvre nerveusement comme il le faisait souvent quand il hésitait à dire quelque chose.

— Je me suis approcher de la forêt tout à l'heure, à t-il commencer. J'ai voulu aller y faire un tour, un type d'ici m'a dit de ne surtout pas y mettre le pied.

Je devinais la suite.

— Comprenez que ça m'a donner envie d'y aller, et c'est là que j'ai remarquer des sortes de traces de pas, et du sang séché.

Le visage de Léonie s'est assombris, elle a froncé les sourcils en faisant marcher ses méninges a fond. Les yeux clairs de mon frère ne m'ont jamais paru aussi sombre et sérieux, il n'y avais plus cette petite lueurs joyeuse qui y brillait d'habitude.

— Je ne pense pas qu'il s'agisse d'un Loup-Garous, a continuer mon frère d'une voix grave. Je crois qu'il y a quelque chose dans ses bois.

— L'alpha me l'a dit, ai-je lancer en évitant soigneusement le regard de ma sœur. Il a dit que d'étrange créatures rôdait dans les bois, et que certains membres de sa meutes s'y aventurait sans jamais en revenir.

— On doit y aller, à déclarer ma sœur en tapant du poing dans sa paume de main. Si jamais c'était une autre meute, ou une créature plus dangereuse qu'un Loup-Garou ? Il s'agit peut être même des coupables de la boucherie.

J'ai hocher la tête de la même façon que petit Sam.

— D'abord, on rejoins papa et maman , on part d'ici. En suite on reviendra enquêter dans ces bois avec tous le matos nécessaire.

Nous avons opiner du chef une seconde fois puis on a suivis Léonie jusqu'à la mustang, réparer apparemment. Ma sœur a voulu payer Raphaël, mais celui ci a refuser en prétextant que c'était Daven qui l'avais bousiller et que c'était donc normale de l'avoir réparer. Tandis que ma sœur tenter à toute fins de lui mettre des billets dans les mains, je sentait un regard dans mon dos mais ne me tournais pas.

— Bon, a soupirer Léonie. Je vous les met sur une étagère et vous vous débrouiller avec !

— Je vais les brûler si tu les laisse ici, à dit Raphaël les bras fièrement croiser sur son torse. Garde ton argent, nous sommes quitte pour le petit maintenant.

Elle a soupirer bruyamment une nouvelle fois et s'est tourner vers l'alpha que je savait juste derrière moi.

— Merci pour l'hospitalité, a-t-elle dit. Et pour la caisse, cependant on reviendra. Ce qu'il y a dans ses bois, on va s'en occuper.

Il a grogner, visiblement mécontent.

— Crois tu qu'on ne peux pas s'en occuper nous mêmes ?

— Que vous puissiez le faire ou non, on reviendra, à décréter ma sœur.

Elle m'a tourner le dos pour monter dans la voiture, suivis par petit Sam qui a saluer de la main Serena en souriant. Tandis que je m'apprêtais à rejoindre ma fratrie, je me suis tourner vers l'alpha. Mes yeux on rencontrer les siens, clairs mais pourtant si sombre à l'instant. Je n'osais pas ouvrir la bouche, me contentant simplement de le dévisager tant que je le pouvais.

Reste

Sa voix m'a implorer, comme s'il n'y survivrai pas. Ma louve m'a envoyer son profond sentiment de tristesse à l'idée de le quitter, me priant de l'écouter. D'un coup, je paniquais presque, les mains tremblantes contre mon corps. Je ne pouvais pas rester ici, je ne les connaissait pas, c'était complètement fou. Et pourtant, une part de moi me hurlait de rester ici, que si je partait, je le regretterai toute ma vie. Comme si je laissais passer quelques chose d'important en partant. Il m'a vue hésiter, et n'a pas plus parler mais son regard en disait long. Une idée à germer dans mon esprit, le cœur a l'agonie, je me suis approcher de ma sœur qui attendais dans la voiture avec la fenêtre ouvert et ses lunettes de soleil sur le nez.

— Je devrais rester ici, ai-je dit une fois à sa hauteur.

Léonie a ouvert ses yeux en grand.

— Pardon ?

— Oui, tu sait j'enquêterai dans mon coin ils me laisseront faire, je suis comme eux, ai-je ajouter comme si c'était une évidence alors que je n'y croyais pas vraiment. J'appellerai pour vous faire part de se que je découvre.

— Ok, a soupirer Léonie. Débrouille toi avec papa pour lui annoncer la nouvelle, tu es sure de toi ? Et si il t'arrivais quelque chose ?

— Il ne m'arrivera rien Léonie.

Je le pensait sincèrement, j'avais la conviction que rien ne m'arriverait ici.

— J'appelle papa dès que je peux, ai-je dit. Attention sur la route.

— Et attention à toi ! a-t-elle dit. Je suis sérieuse Rayleigh, je n'ai pas confiance en eux je ne suis pas certaine que rester ici soit une sage décision.

— Je suis une grande fille Léonie, fais moi confiance.»

Elle a opiner, m'ordonnant d'appeler mes parents des l'instant où elle serait partit. J'ai pris mon sac dans le coffre de la voiture, et je l'ai regarder faire demi tour et emprunter le chemin qui la mènerait loin de moi. En observant la voiture devenir plus petite a mesure qu'elle s'éloignait, j'eus soudain un énorme moment de doute.

Qu'est-ce que j'avais fais ?!

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