Episode 2 : celui avec le type froid


Le soleil me réchauffait doucement le visage et derrière mes lunettes de soleil, je fermais toujours mes yeux en laissant les rayons doré me caresser la peau chaleureusement. Le dos contre la mustang de ma sœur, j'attendais patiemment, les mains dans les poches de mon jean. A l'intérieur de la voiture, sur la banquette arrière, Shawn le petit loup-garou mangeait des chips bruyamment. Le petit garçon n'avait pas voulu dire grand chose en présence de ma famille, il s'était blottit contre moi en tremblant de tout son soul et avait refuser d'ouvrir la bouche. Il s'était accrocher à moi comme à une bouée de sauvetage et alors il n'y avais que moi qui avait pu le questionner. Seulement il ne nous avait pas beaucoup aider, il ignorait où se trouvait l'emplacement de sa meute et par conséquent de sa famille. Mes parents avait du mal à y croire, un loup savait normalement se rendre naturellement sur son territoire même les yeux fermer celons eux.

Mais je n'étais pas comme eux, je n'avais pas vraiment la même façon de penser. Quand je regardait Shawn, je ne voyais que l'image qu'il me renvoyais. Celle d'un petit garçon triste, perdu et effrayée. Alors plus que tout, je voulais l'aider. Léonie et petit Sam sont revenus vers moi, l'air renfrogner.

«— Ils ne sont pas dans le coin, à lâcher Léonie une fois à ma hauteur.

— Qu'est-ce que t'en sait Léo ? s'est braquer Sam. Les Loups ne laissent pas de traces derrière eux d'habitude hormis quand ils ont commis un meurtre ce qui n'est sûrement pas le cas.

— Pourquoi Papa et Maman se serait déplacée si ça n'étais pas le cas ? a répliquer Léonie.

— Écouter cherchons ailleurs, ai-je couper car je sentait déjà une dispute interminable arriver. Cette ville est vaste, mais la forêt qui l'entoure l'est encore plus. Quelque chose me dit qu'ils pourrait être dans la forêt.

— Voyez vous ça, a dit Leonie en relevant le menton. Encore cet instinct d'animal qui prend le dessus.

Je lui ai offert un regard sombre, accompagné du plus beau majeur que je pouvais lui offrir, et elle n'avais cas se le mettre où je le pensais. Nous sommes monter dans la voiture, prêt à rouler vers la forêt.


Il n'y avais rien au abord de la foret, et celle ci semblais s'étendre sur des kilomètres. Shawn se tenais à moi, ses petits mains solidement accrocher à mon t-shirt, il fixait les arbres défiler par la fenêtre devant lui avec un intérêt certain. Quelque chose me disait que nous étions sur la bonne piste, c'était certain.

— Tu peux pas mettre autre chose que cette merde ? a rouspéter Sam en baissant le volume de la radio.

Visiblement, il ne supportait plus d'entendre hurler le groupe de chanteur  métaleux de Léonie. Moi j'y étais bien trop habituer pour en être préoccupée.

— Touche pas à ce bouton petit, Léonie a remonter le son. C'est pour les grandes personnes.

Sam a de nouveau baisser le volume, lui lançant un regard qui signifiait qu'il attendait la suite, et qu'il ne baisserai pas les bras. Léonie a remonter le son. Ça aurait durer encore longtemps, si il n'y avait pas eu cet homme au beau milieu de la route.

— ATTENTION ! ai-je hurlé en enfermant dans mes bras le petit, pour le protéger avec mon corps au cas où.

Léonie a brusquement appuyer sur les freins, et dans un crissement des pneus, la voiture a glisser quelques secondes avant de s'arrêter brutalement en émettant un drôle de bruit étouffer. Secouer, mais rassurer de n'avoir rien eu, j'ai redresser la tête pour regarder à travers le pare-brise si l'homme se trouvais toujours la seulement je ne pouvais rien voir, le capot de la mustang crachait des panaches de fumée grises et épaisse qui m'empêchait d'y voir claire. Contre moi, le petit a remuer et redresser la tête vivement, comme si ses sens était en alerte.

— Daven ? a-t-il dit en se levant, prêt à sortir. Daven !

— Attend Shawn !

Je l'ai retenue, il s'est tourner vers moi un instant et à brusquement retirer ma main de sur son bras pour sortir tout aussi vivement de la voiture. Je l'ai suivis sans chercher à comprendre, je ne me faisait pas de soucis pour Sam et Léonie dans la voiture. Face à moi, Shawn serrait dans ses bras un jeune homme au cheveux bruns qui avait les yeux tout aussi clairs que lui. Les traits de son visage était fin, et quelque chose de sauvage brillait dans son regard fixer sur moi. Sa mâchoire s'est contractée, il a doucement poser le petit sur le sol et d'un pas vif et rapide il s'est diriger vers moi.

— Qu'est ce que tu lui a fais ? il m'a demander , j'ai froncé les sourcils. Répond ! Tu lui voulais quoi ? On en a pas assez bavez comme ça peut être pour que tu me prenne en plus mon frère ?

Son frère donc. Je n'ai rien dit, ses yeux bleus me fixait avec une animosité intense, une colère noire se dégageait de tout son être.

— Je te conseillerais de te décaler si tu ne veux pas toute suite avoir un gros bobo à la tête.

Ma sœur a surgis, pointant le canon de son arme sur la tête du type. Une fois de plus, sa mâchoire s'est contractée et il a serrer les poings en reculant un peu de moi sous l'œil attentif de Léonie. Elle n'aurait pas hésiter à le descendre, s'il le fallait.

— Qui vous êtes ?

— C'est moi qui ai l'arme, c'est moi qui pose les questions.

Il a eut un sourire en coin.

— Les armes ne me font pas peur, a-t-il dit.

Léonie a approcher son canon plus près de son crâne.

— Tu devrais pourtant car ces balles là, celles avec lesquelles j'ai charger ce bel engin, elle a sourie d'un air satisfait. Elles sont faites rien que pour ceux de ton espèce.

Le jeune homme a perdu son sourire.

— Nous avons retrouver ton frère dans un hangar près d'ici, ai-je dis. Il ne savait pas comment rentrer, on a juste voulu l'aider.

Il a braquer de nouveau son regard sur moi, froid comme de la glace, impénétrable, alors que lui semblait lire en moi comme dans un livre.

— Et si tu nous menais à ton Alpha ? a demander ma sœur, arrogante comme toujours. On aurait peut être quelques questions à lui poser.

Il ne m'a pas quitter des yeux, le visage toujours aussi crispé, comme s'il cherchait quelque chose sur mon visage qu'il ne parvenais pas à trouver.

— En plus, est intervenue mon frère. A cause de toi, notre caisse est carrément foutu.

Je jetait un œil à la mustang, elle fumait toujours. Le jeune homme, Daven si je me souvenais bien, s'est tourner vers la voiture et à soupirer avec lassitude.

— Baisse ton arme, à t-il durement ordonner à ma sœur. Je vais vous y mener mais je vous préviens, nous sommes plus nombreux que vous et si vous tenter quoique se soit, on vous tuera.

Le petit Shawn, qui était rester agripper à sa jambe depuis que ma sœur avait pointer son arme sur lui, s'est alors détaché de lui.

— Montez dans la voiture, à dit le brun en me lançant un autre regard perçant . Tous.

J'ai froncé les sourcils, ma sœur n'a pas objecter , Sam non plus, ils sont monter dans la voiture avec le petit garçon. Daven s'est approcher de l'arrière, à poser ses mains bien à plat sur le coffre du véhicule et s'apprêtait à pousser quand il s'est tourner vers moi.

— Qu'est-ce que t'attend ?

— Je vais t'aider. »

Je me suis mise à coter de lui, il n'avais pas l'air si content que je vienne l'aider mais je ne pouvais décidément pas le laisser pousser un véhicule seul. Je savait que les loup-garous étaient forts, mais tout de même. Il a secouer la tête, comme si j'étais une parfaite idiote, et à commencer à pousser, je l'y ai aider. Étonnement, la voiture me paraissait légère, mais il n'y avait pas de doute que c'était surtout grâce à la puissance des bras de Daven, pas de la mienne. Nous avons fais glisser la voiture sur une longue route, puis nous avons tourner dans un chemin sinueux et sombre, presque cacher par la hauteur des arbres. Le chemin était surtout plein de boue, il était difficile de faire rouler la voiture dessus, elle glissait souvent mais bientôt nous avons aperçu un chalet se dessiner non loin, puis un autre.

En réalité il y avait plus de chalet que je ne pouvait les compter, on aurait dit une sorte de résidence privé où avait été construit plusieurs habitations du même type. Au loin, j'entendais couler une rivière et les oiseaux au dessus de nous chantait gaiement, ça rendait le cadre magnifique. Nous avons continuer notre chemin, et Daven nous a fais garer la voiture près d'une immense grange ou d'autres hommes se trouvait là, le regard hostiles.

Bientôt, nous étions encercler par un tas d'hommes et de femmes loup-garous, que nous savions plus puissant que nous.

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