L'or s'écoule
Sur son lit ensoleillé,
Se reposant avec beauté
Dans son délicat moule.

Lorsque ma fourchette
Plonge à même le lac enflammé,
Relevant la tête
Garnie d'alacrité,

Elle franchit la barrière
Formée par mes lèvres
Apportant telle une chèvre
Un joie légendaire.

La chaleur se propageant
Dans mon estomac affamé
Laisse s'inviter
Le bonheur procuré par l'aliment.

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Voili voilou, petit poème sur l'un de mes plats préférés, et rien qu'en l'écrivant, ça m'a donné faim ! Franchement, il en faut peu pour me rendre heureuse...attendez...mais ça veut dire...
"Il en faut peu pour être heureux, vraiment très p-"...Bon ok j'arrête je vais manger des haricots, cordialement!
Bisous magiques de la déesse des chèvres ! !😘😘