Bonus 3 : Questions indiscrètes




Il était tard, très très tard ... Iruka était chez moi. Et après une de nos longues soirées d'amour, nous étions étalés dans mon lit, à peine recouverts de la couette, en train de profiter de ce moment de chaleur l'un avec l'autre, se caressant de temps à autre les flancs, les bras, le visage avec tendresse. Lorsqu'il brisa le silence :

"- Je me suis toujours posé la question ?"

" - Hm ? "

Je ne me déconcentrais pas des arabesques que je dessinais sur son ventre.

"- Combien de personnes ont vu ton visage sans le masque ?"

Ce maudit masque, c'était dingue comme il était impossible de le détacher de moi. Je répondais machinalement, un peu blasé :

" - Et bien, une fois Gaï à vu mon visage alors que Naruto, Sakura et Sasuke, il y a deux ans par là, essayaient de me piéger pour voir mon visage mais au dernier moment ils n'ont pas pu voir ... mais Gaï s'est ...

"- Kakashi ?" M'interrompit-il. "Je ne voulais pas parler de tes amis."

Je compris soudain sa question plus clairement.

"- Tu veux dire, combien de personnes l'ont vu dans l'intimité ? "

J'arrêtais mes arabesques sur son corps, puis plongeais mes yeux dépareillés dans son océan chocolaté. Est-ce que je pouvais lui dire ? Souvent, il n'était pas vraiment conseillé de parler de ses expériences passées avec son actuel petit ami. Si l'on pouvait appeler Iruka comme ça. J'essayais de prendre des pincettes mais je ne voulais pas non plus lui mentir. Il était bien connu que j'avais un passé assez fournis et que je ne m'attachais pas beaucoup.

" - En réalité, malgré le fait que j'ai eu beaucoup d'expériences sexuelles, hommes et femmes confondus, je crois qu'il n'y a eu que très peu de personnes qui l'ont déjà vu. Bien souvent, il m'est arrivé de ne pas l'enlever."

Iruka hocha la tête, comprenant que je n'avais pas souvent fait l'amour avec des sentiments si je n'enlevais pas mon masque. Il était vrai qu'il m'arrivait souvent de ne même jamais embrasser la personne avec qui j'avais une relation. Il s'agissait d'aventures sans lendemain, le plus souvent que j'avais eus lors de mes missions dans d'autres pays. Je finissais donc de répondre à sa question :

"- Je crois donc, qu'à part toi, il n'y a qu'une seule personne qui a vu mon visage au village."

"- Et qui n'a pas vu ton visage mais avec qui tu as eu une relation ?"

Je soufflais d'appréhension :

"- Iruka, tu es sûr que c'est une bonne idée de parler de ça ?"

" - Je ne te demande pas une liste exhaustive ... mais juste histoire de me faire une idée."

"- Okay, si tu y tiens." Je fis une pause avant de me lancer. "Alors, ma première fois, c'était Ankô. Mais bon, tu me connais, avec la destinée que j'ai, fallait pas que je tombe sur quelqu'un de simple et classique non. J'ai choisi Ankô, enfin c'est plutôt Ankô qui m'a choisi. Cette fille est barrée. Vraiment ne t'approche jamais d'elle. Enfin bref, c'était ma première. Après, je n'ai plus vraiment le bon ordre mais du village, il y a eu Yugao, Mikagi, à l'unité médicale, Fû Yamanaka et aussi sa soeur aînée, Tsunade, Khoji Hyuga , Maï-.

Iruka m'interrompit soudain :

"- TSUNADE ?"

J'avais espéré qu'il ne m'entende pas lorsque j'avais trés vite énuméré son prénom. Il me regardait, époustouflé, peut être un peu choqué.

Je me justifiais :

" - Arf ! oui ! Je sais, c'est vraiment pas professionnel de coucher avec sa boss. Mais vraiment Tsunade m'a presque sauté dessus le soir où elle est revenu au village et elle n'était pas encore Hokage. Vraiment, il y a prescription. C'était vraiment pour un soir. Maintenant c'est du passé. Elle est mon supérieur hiérarchique. Et elle n'a pas vu mon visage, enfin techniquement dans l'intimité elle n'a pas vu mon visage. Car c'est mon docteur, donc du coup, elle a déjà vu mon visage lors de soin mais pas lorsque nous avons couché ensemble."

"- Mais Kakashi, tu sais qu'en vrai, elle pourrait presque être grand mère ?"

" - Et alors ? On est des adultes non ? Et puis vraiment, cette poitrine Iruka, tu ne vas pas me dire que tu n'es pas d'accord avec moi ? Je sais que tu as fréquenté des femmes."

Il me regardait, vraiment très surpris. Il ne s'en remettait pas. Il ne disait plus rien. C'est pourtant lui qui avait demandé. Je grognais :

" - Je savais que ce n'était pas une bonne idée de parler de ça."

"- Tu as raison, c'est très nocif pour ma santé mentale... inutile de continuer la liste. "

Je reprenais donc mes dessins sur le corps de mon compagnon brun, faisant frissonner sa peau lorsque la caresse était trop légère.

Iruka continuait de me contempler avec sérieux, semblant vouloir poser une autre question, se demandant si c'était une bonne idée ou pas.

Pour ma part, j'avais déjà deviné quelle serait la prochaine question qu'il hésiterait à poser. Il était si curieux. Ca ne pouvait pas être une bonne chose autant de curiosité. J'en profitais pour décider si je lui répondrais ou non. Il mit du temps à le faire mais il se décida finalement à poser la question fatidique :

"- Et... qui est-ce, la personne qui a vu ton visage ?"

J'empêchais avec difficulté un sourire de se former sur mon visage. Je ne savais pas du tout comment il allait réagir et je ne voulais pas le brusquer mais après tout c'est lui qui avait entamé cette conversation. Je lâchais donc dans un souffle :

" - Tenzô." *

Il se redressa en position assise sur le lit, avec raideur, me cachant la réaction de son visage en répétant le mot "Tenzô" dans un murmure, avec un ton très surpris. Quelques secondes plus tard, il se tournait vers moi, sans se rallonger pour autant.

"- Ton collègue des forces spéciales ?"

Iruka ne le connaissait que de réputation. Je n'arrivais pas à discerner s'il était jaloux ou non. D'ailleurs, lui même semblait acharné à comprendre ce que cette information créait comme sentiment en lui. Il ne semblait pas s'être décidé. Cette réaction était bien différente de celle qu'il avait eu juste avant concernant la Hokage. Je me demandais si c'était parce qu'il avait vu mon visage ou parce que c'était un homme qu'Iruka était tellement surpris.

" - Ouai..." Je passais tranquillement mon bras derrière ma tête, regardant le plafond. "On se connait depuis longtemps, on a découvert un paquet de chose ensemble. Il était sous mon commandement quand j'étais capitaine... Et il possède le meilleur dossier de performance des ninjas de Konoha. Maintenant que j'y pense, je crois que j'ai un faible pour les bruns."

Cette fois, j'avais bien discerné des éclairs dans les yeux d'Iruka. J'avais dépassé les bornes mais je n'eus pas le temps d'arrêter ma phrase lorsque je remarquais sa réaction.

Il ne disait plus rien. Je décidais qu'il était temps de changer de sujet. Du coup, je lui demandais à mon tour, sans prendre de gant :

"- Et toi Iruka ? Qui sont les personnes qui ont la chance de t'avoir eu dans leur lit à part moi ?"

Iruka me regardait sans vraiment me regarder, le regard dans le vide. Etait-il en train de s'imaginer des choses entre Tenzô et moi ?

Il sursauta quand il comprit que ça faisait longtemps maintenant que je lui avais retourné la question :

" - Oh ! ...Et bien, en réalité.... je pense que l'on peut dire que je n'ai pas eu autant d'expériences que toi. Je ne suis pas aussi populaire que toi mais j'ai eu une relation assez longue, comme tu le sais, avec Tsubaki, lorsque j'avais 16 ans. Nous sommes restés ensemble un long moment puis elle s'est fiancé avec mon meilleur ami de l'époque, Mizuki. Mizuki avec qui j'ai couché, la veille de son mariage. D'ailleurs, je me suis rendu compte plus tard que cette amitié n'était définitivement pas saine du tout. Ensuite, j'ai eu des rapports plus ou moins réguliers avec une femme du village caché du sable mais nous avons dû arrêter de nous voir. Voyons après il y a eu, Hisae, du clan Nara ... une collègue de l'académie, mais elle est partie de Konoha et je crois que c'est tout ... C'est déjà pas mal pour un professeur comme moi. Mais je ne suis pas vraiment versé dans les coups d'un soir, ça c'est sûr."

J'en restais coït. Le jeune professeur cachait bien des choses dans son apparence de ninja sage et amical.

" - Et ben dis donc ... Et tu dis que tu n'es pas aussi populaire que moi ?" Je rigolais.

J'étais presque sûr de voir des rougeurs apparaître sur son visage. Il ajouta tout penaud :

" - Shizune essaie aussi de m'avoir dans son lit à chaque fois que l'on sort boire un verre. Je crois qu'elle aime bien mon petit air sérieux, elle me l'a avoué un soir d'ivresse. "

Je grognais, soudain un peu possessif :

" - Donc beaucoup de femmes ... C'est à se demander ce que tu fais avec un homme ?"

Il répondit plein de provocation, en haussant les épaules :

" - Que veux-tu ? Je crois que je dois être un bon parti. Je suis bon à marier !"

Je me redressais pour l'attirer contre moi en grognant, l'allongeant sur mon torse, goûtant ses lèvres avec désir :

" - Personne ici ne se mariera avec toi, pas tant que je serais dans les parages. "

Il soupira lourdement :

" - On en reparle quand on croisera Tenzô ! Peut-être qu'il accepterait de se joindre à nous un soir ?"

Les yeux d'Iruka lancèrent des éclairs et un frisson lui traversa le dos. Non mais c'est qu'il était sérieux en plus ? Je resserais ma prise sur lui, répondant d'un voix rauque :

"- Je ne partage pas Iruka. "

Nous rîmes un peu et je regardais Iruka avec une grande attention, mon regard plongé dans le sien. Il n'arrêtait pas de me surprendre. C'était fou ! Jamais je n'aurais pu imaginer qu'Iruka et moi, nous serions un jour aussi proche. On me l'aurait dit que je ne l'aurais jamais cru.

Je lui demandais :

" - Pourquoi ces questions soudaines Iruka ?"

Il se redressa un peu, s'appuyant de ses mains sur mon torse.

"- Je dois t'avouer que c'est beaucoup de curiosité de ma part. Tu sais, tu es très remarqué au village. Tu ne laisses pas les gens indifférents. "

"- J'avais cru comprendre ça oui." Je souriais d'un air arrogant et moqueur. Iruka me l'avait bien fait comprendre lors de notre première fois.

Il rosit un peu puis continua son explication :

"- Beaucoup de choses se disent sur toi. Et moi, je n'aurais jamais cru qu'un jour je puisse retenir ton regard."

"- Ca aussi j'avais cru le comprendre..." Je souriais." De plus, je me fiche royalement de ce que peuvent dire les gens."

"- Oui, ça je le sais bien !" Il m'assèna d'une petite frappe sur le torse.

"- Tu sembles bien surpris du fait que je m'intéresse à toi si soudainement, mais toi, quand est-ce que ton regard sur moi a changé Iruka ?"

Cette fois, c'était moi qui posait la question gênante. Il s'était fait avoir à son propre jeu. Pour autant, il ne semblait pas ennuyé de cette question. Il resta calme et son regard, plongé dans le mien devint très sérieux. Il prit son temps avant de parler, choisissant ses mots avec précision.

"- En fait, d'une certaine manière, tu as toujours été là. Dans beaucoup de moments importants de ma vie et plus encore de ma carrière de ninja, tu étais présent. Déjà, lors de l'enterrement de mes parents, tu étais là, même si l'on se connaissait pas à cette époque mais je me rappelle de ton visage dans l'assemblée. Lorsque je fus fraîchement diplomé Chunin, lors de ma première mission de médiation, tu m'as sauvé moi et mon équipe. Nous étions détenus par des ninjas ennemis et je sais que c'était toi, derrière ton masque des forces spéciales."

Il fit une pause alors qu'il se dévoilait à moi, rougissant un peu. Je ne fus pas sûr qu'il comptait vraiment m'avouer un jour le fait que je l'avais déjà sauvé. Honnêtement, je ne me souvenais absolument pas l'avoir sauvé. Peut-être, un jour lui demanderais- je de me raconter plus précisément ses souvenirs car pour ma part, c'était le néant. Je n'osais pas lui avouer cette confidence. Avec ce qu'il était en train de me dire, je trouvais déplacé de le vexer alors que clairement, il était en train de me confier des choses très personnelles.

J'hochais la tête pour l'encourager à continuer. Il sembla reprendre plus de confiance en lui :

"- Durant la suite de ma carrière, tu etais toujours là, puisque nous avons aussi partagé quelques missions ensemble. On peut même souligner le fait que lorsque j'ai demandé mon transfert comme professeur, tu étais présent aussi. Ensuite, lorsque j'ai eu des difficultés avec Naruto à l'académie, le hasard a fait que j'ai trouvé chez toi un conseiller avisé ... et puis ensuite, pour couronner le tout, tu as été nommé sensei de Naruto. Toujours, tout le temps, tu étais proche de moi. Sans vraiment t'en rendre compte, tu es dans ma vie constamment ... Peut-être pas vraiment avec moi physiquement constamment mais tu es présent." Il haussa les épaules. "Que ce soit au tournant d'un coin de rue, à l'Ichiraku avec l'équipe 7, au bureau des missions... Tu as toujours fait partie de ma vie... mais pour autant, nous étions juste bons amis, tu vois ?"

Cette question ne demandait pas vraiment de réponse. Il passa une main dans ses cheveux, se mordillant la lèvre inférieure :

"- Je ne sais plus quand je me suis rendu compte qu'en plus d'être présent dans ma vie, il se trouvait que tu n'étais pas désagréable à regarder... Peut-être lorsque j'ai entendu Kurenaï raconter un jour que les filles de Konoha ne parlait plus que de toi. Je n'en sais rien mais c'est comme si c'était là pendant tout ce temps, alors que jamais je n'aurais cru que les choses se feraient entre toi et moi. »

J'étais bouche bée. Complètement soufflé de la déclaration que le chunin brun venait de faire. Iruka était comme ça. Il savait dire les choses. Et il savait les dire d'une belle manière. Une douce chaleur s'empara de moi à l'entente de ses paroles. C'était vraiment la première fois que l'on me disait des choses pareilles. C'était une situation incomparable tellement la chaleur de ses paroles irradiérent tout mon corps.

Le regard d'Iruka changea soudain ... et l'ambiance dans la chambre devint plus lourde alors que la voix suave d'Iruka devenait plus grave, plus intense. Ses yeux ne me lâchaient plus.

« - Au début, ce n'était qu'un fantasme pour moi. Mais après tu m'as embrassé à la vallée de la fin... et je me suis consumé de désir pour toi et après ça ne m'a plus quitté."

Son visage s'était rapproché inconsciemment du mien lors de la fin de sa phrase. Il murmura alors que je sentais son souffle contre mon visage :

"- Tu m'as embrassé ... et plus jamais je n'ai eu de répit. Je te voulais."

A ces mots, je frissonnais. Il caressa mes lèvres des siennes tout doucement et alors que j'allais m'avancer pour l'embrasser, il se recula subitement, un regard brûlant et un sourire carnassier aux lèvres. Je grognais :

"- Ne joues pas avec moi Iruka..."

Il souffla pour répondre :

"- Je ne joue pas Kakashi ..."

Et il s'empara de mes lèvres avec avidité me laissant à peine de le temps de récupérer mon souffle. Ce mec était un démon. Un démon de luxure et d'ostentation. Ses tentatives de séduction marchaient toutes sur moi et pas une seule fois, j'avais réussi à résister. Et dire qu'il me faisait croire le contraire.

Je ne voulais pas le laisser gagner. Il avait éveillé le dominateur que je pouvais être parfois.

Je me détachais de lui et attrapais vivement ses mains qui étaient en train de caresser mes abdominaux et qui s'apprêtaient à descendre plus bas. Je le tirais sur le côté et échangeais les rôles, le surplombant de mon corps et bloquant ses mains au dessus de sa tête.

D'un mouvement de hanche souple, je faisais nos bas ventres se frôler dans une lenteur insupportable, le faisant déglutir difficilement. Je lui disais d'une voix grave :

"- Tu sais pourtant que la rumeur dit que je ne m'attache pas ... "

« - Je me fiche complètement de ce que peut dire la rumeur. » Répondit-il fermement alors que son regard se voilait.

Je me baissais pour embrasser sa nuque et remonter sur son oreille, que je mordillais de mes dents. Il soupira de plaisir alors que je continuais mes ondulations du bassin pour le faire languir. Je lui glissais à l'oreille :

« - Il se dit aussi que je n'enlève jamais mon masque et que je n'embrasse personne. C'est que du sexe pour du sexe. »

Iruka gémit doucement, tout proche de mon oreille, sous mes paroles qui l'excitaient et qui dénotaient totalement avec tout ce que nous avions pu faire ensemble. Jamais je n'avais gardé mon masque avec Iruka. Et ce n'était pas près d'arriver !

Il rua en avant et j'eus le plaisir de sentir son excitation toucher la mienne. Je soupirais sous la sensation et me redressais pour le regarder à nouveau dans les yeux. Il ferma les siens alors que je baissais mon bassin pour faire nos virilités se rencontrer, en annonçant :

« - Tu savais que dans les rumeurs, il y avait toujours une part de vrai. »

Sa tête partit en arrière alors qu'il se mordait la lèvre et je compris qu'il avait du mal à suivre ce que je disais. J'accentuais un tout petit peu le frottement de nos sexes tout en le délaissant sadiquement la seconde d'après. Il n'eut pas d'autre choix que de répondre.

« - Han... non ... non, je ne le savais pas. »

« - Han, Iruka, arrête de ruer bébé. » Je disais douloureusement, mes yeux se fermant sous les caresses du sexe d'Iruka qui se pressait encore plus contre moi et qui se déhanchait pour accentuer le plaisir. J'étais maintenant au comble de l'excitation. Iruka frissonna sous moi à l'entente de ce surnom si intime, ses yeux laissant entrevoir ses plus vicieuses envies.

« - Si seulement tu me laissais te ... hm... te toucher. »

Sa voix était un appel à la luxure. Je tenais toujours ses mains dans les miennes au dessus de sa tête. J'attrapais sa lèvre inférieure de mes dents pour le faire cesser de se la mordre. C'était à moi. Je tirais sa lèvre et la mordillais pour ensuite la libérer. J'ajoutais :

« - Mais tu sais ce qu'est le mieux dans les rumeurs... Ce que je préfère ? »

Il haletait maintenant. Je déposais un léger baiser sur ses lèvres pulpeuses puis me reculait. Je faisais durer son attente. Je l'attisais et le frustrais. Je le faisais exprès. J'adorais le voir se tortiller d'envie sous moi. J'adorais créer ça chez lui.

Il grogna et je conclus enfin l'attente :

« - C'est de trouver l'exception qui confirmera la règle, mais ça la rumeur ne le dira pas. »

Et sans attendre une seconde de plus, j'écrasais mes lèvres sur les siennes avec passion et je libérais ses mains. Il gémit dans notre baiser alors que ses mains empoignèrent mes fesses pour intensifier le frottement de nos deux sexes.

Il était tard. Très très tard même ... et avec Iruka, nous profitions de cette longue et chaude soirée d'amour comme nous les adorions. Juste lui et moi et ses paroles qui m'enflammaient toujours.

La rumeur disait beaucoup de chose mais ce que ne savait pas la rumeur c'est que j'avais un jeune homme magnifique, brûlant de désir dans mon lit tous les soirs qui me rendait fou et me faisait plier sous ses baisers.

Un mot. Il suffisait d'un mot de la part d'Iruka et j'étais prêt. Prêt à tout pour le faire soupirer, couiner et crier mon nom alors que je gémissais le sien en retour.

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* Voir minifanfiction : "Le vertige de l'interdit" sur le profil d'Andywhou0

https://www.wattpad.com/story/176178787-le-vertige-de-l%27interdit

SURPRISE !

Et oui !!! J'ai une petite surprise qui va avec ce bonus !

C'est une minifanfiction qui s'appelle "le vertige de l'interdit" qui met en scène l'histoire qu'a vécu Kakashi avec Yamato, aka Tenzô lors de leur période ANBU. Le point de vue de cette histoire est celui de Tenzô et vous verrez qu'on y découvre un Kakashi ... plus jeune et moins tiraillé. A la base ce n'était qu'un OS mais plus j'écrivais, plus ça s'est allongé et j'ai adoré raconter le quotidien des forces spéciales ... en bref, mon imagination s'est encore énormément activée... J'espère que cette surprise vous plaira et que vous me laisserez vos impressions. :)

Ensuite, ce bonus... c'est mon préféré ! J'ai tellement aimé l'écrire. J'espère que vous me direz ce que vous en pensez car vraiment je l'adore et j'y ai mis tout mon cœur !!

Il ne reste (normalement) plus qu'un BONUS après celui-là et on passera au Tome 2. Je vous donne de le titre du Tome 2 : "Le jour où j'ai compris".

Et bien ! Que d'exclusivités dites-donc ! J'ai encore pas mal de choses à faire vivre et découvrir à mes deux acolytes, Kakashi et Iruka. Merci encore pour vos lectures !

Et dire moi ce que vous avez pensé de ce bonus !

Bonne soirée !

Andywhou ;p

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