Chapitre 10
Ps : rating mature
Enjoy 😏
Chapitre 10 : J'additionne les addictions part. 2
J'arrivai vite chez lui et rentrai par la fenêtre, retrouvant avec aisance cette habitude que j'avais prise. J'eus un pincement au coeur à cette réflexion mais n'y réfléchissais pas. De toute façon, dés qu'iruka entrait dans la balance, il y avait toujours une foule de sentiments qui me dévastait sans que je ne puisse rien y faire. Ce soir, j'étais trop fatigué. J'acceptais de recevoir toutes ces émotions mais je n'avais pas l'énergie de les gérer alors je me contenterais de les laisser glisser.
J'allai directement dans la salle de bain pour allumer l'eau de la baignoire pour y faire couler un bain. Cette salle de bain était vraiment petite mais étant professeur ainsi que ninja de l'administration, Iruka avait la chance d'avoir une baignoire chez lui. Nous, les ninjas de terrain, nous n'avions pas cet avantage. De toute façon, nous étions très peu chez nous. Mais je soulignais quand même dans ma tête l'injustice de confort entre ceux qui risquaient leurs vies en dehors du village et ceux qui restaient barricadé à l'intérieur des frontières du village.
Le bain était prêt et je me débarrassai de mes habits, qui étaient dans un état pitoyable. Encore un uniforme qui partirait à la poubelle. Je gardai néanmoins mon masque par habitude. J'inspectai une minute, dans le miroir, mon corps meurtris, me rendant compte que j'avais maigris ces derniers mois malgré mon corps musclé. En effet, ces six derniers mois, je n'avais pas beaucoup été présent au village et je n'avais pas eu l'occasion de prendre le temps de me regarder dans la glace. Je me demandais si Iruka avait remarqué ma perte de poid, puis me baffai mentalement en me disant qu'Iruka se fichait complètement de mon poids ou de toutes autres choses pouvant me concerner.
Je commençai à me laver avec lenteur, j'étais vraiment épuisé, laissant les traces de sang et de terre s'évanouir dans l'eau du bain. Je me permettais des pauses, m'allongeant un peu dans l'eau chaude pour essayer de me détendre. J'entendis soudain la porte d'entrée s'ouvrir et je me sentis comme pris sur le fait, comme si j'avais fait une bêtise. Je me calmai en me rappelant qu'Iruka m'avait invité et que je n'étais pas un étranger pervers qui s'était introduit contre sa volonté dans sa maison. Cela me faisait tellement bizarre de me retrouver chez lui alors que nous n'étions plus intime.
La porte de la salle de bain s'ouvrit et j'arrêtai subitement mes gestes, pétrifié, ne sachant comment réagir alors qu'il entrait dans la salle de bains, un regard lourd porté sur moi. Il commença à se déshabiller et je le regardai bêtement faire, ne pouvant pas détourner mon regard du corps qui m'avait tant manqué pendant ces long mois de séparation. Je ne comprenais pas ce qui lui arrivait. Il semblait avoir mis les six derniers mois aux oubliettes.
Ne quittant pas ce regard lourd et brûlant, je le vis ensuite, avec des gestes souples, lever la jambe par dessus la baignoire pour me rejoindre et se glisser derrière moi dans l'eau chaude. Je ne comprenais absolument plus rien et mon cerveau se mit sur pause jusqu'à ce que je sente le corps d'Iruka contre mon dos, sa fierté contre le haut de mes fesses. Un frisson me traversa l'échine et mon cerveau s'embruma immédiatement. Ma virilité pulsa soudain, le sang affluant plus rapidement vers mon bas ventre.
Iruka alluma le robinet d'eau chaude pour réchauffer l'eau du bain et alors que je n'avais toujours pas bougé. Il attrapa du savon et toujours sans rien dire, posa ses mains sur mon dos avec douceur, puis commença à me masser et à nettoyer cette partie que je ne pouvais atteindre. Je frissonnai à nouveau. Toujours pétrifié, je me demandais si ce n'était pas un rêve et si la chaleur des mains d'Iruka et ses caresses n'était pas un mirage que créait mon cerveau. Cela m'avait tellement manqué. Je faisais en sorte de ne rien faire qui pourrait le faire arrêter. J'en retenais même ma respiration.
Je sursautai lorsque je sentis soudain ses lèvres chaudes se poser sur le haut de mon épaule droite. Cette fois, cela m'électrisa. A quoi jouait-il ? Mon coeur s'emballa et je ne savais pas très bien comment réagir. Il mettait à mal mon self control mais à la fois j'étais tellement fatigué que je ressentais que j'aurais été incapable de faire beaucoup plus que de me laisser guider et caresser par ses mains viriles et douces à la fois. Je perdais pied à la réalité. Mon désir pour lui commençant progressivement à se diffuser partout en moi. De toute façon, je ne pouvais jamais rien lui refuser. Il avait trop d'emprise sur moi. Sous ses caresses et sans pouvoir plus longtemps retenir ma respiration, je soufflai de plaisir. Merde ! Est-ce qu'il m'avait entendu ?
Je ne voulais pas l'encourager car je savais que cela pourrait devenir nocif pour nous de replonger dans cette intimité. Après tout, c'était lui qui avait initié notre éloignement mais maintenant qu'il était en train de prendre soin de moi et de me caresser. Je n'arrivais pas à l'éloigner et encore moins lui demander d'arrêter.
Maintenant que je m'étais manifesté, je ressentis le besoin de me justifier ou au moins de dire quelque chose. Je grognai donc :
Je n'ai plus de forces ... tu le sais très bien. Ce n'e
Je n'eus pas le temps de terminer ma phrase que mon masque, s'était brusquement fait malle alors qu'Iruka venait de tourner mon visage vers lui pour m'imposer un baiser lourd de sens et de désir. Complètement surpris, je lui rendai son baiser en le laissant accéder à ma langue, inclinant la tête pour intensifier la passion de ce baiser.
Mon ventre faisait des bonds, et je n'étais plus très sûr d'être dans la réalité tellement Iruka m'avait manqué et que je n'arrivais pas à croire qu'il était contre moi, en train de m'embrasser.
Encore une fois, je dus subir, n'étant pas vraiment maître de la situation, lorsqu'Iruka cassa le baiser et de sa main toujours sur ma nuque, me retourna dos à lui, ne lâchant pas mon visage, son souffle venant me rendre fou contre ma nuque et mon oreille lorsqu'il chuchota :
- Tu sais lorsque nous étions dans la vallée de la fin et que j'étais en train de souffrir de ma blessure... j'avais tellement envie de toi que je t'aurais laissé me prendre comme ça. Sans préparation et sans douceur, je me serais ouvert pour toi sans que tu n'ais rien à me demander. A la fois, j'avais mal, je souffrais mais rien n'était pire que de te sentir contre moi pour la première fois alors que l'on ne pouvait rien faire.
Je n'aurais jamais cru qu'Iruka aurait pu me dire un jour des choses comme ça... je retins de peu un gémissement alors qu'il embrassait ma nuque avec langueur. Mon souffle ne cessait de se saccader. J'avais tellement envie de lui à ce moment précis mais je savais bien que quelque chose se passait chez le brun qui n'était pas commun. J'essayai donc une nouvelle tentative pour comprendre malgré mon état d'intense fébrilité et mon désir pour lui :
Iruka, tu me tues. Arrête. Je ne peux rien faire, je ne peux plus bouger.
Sous mes paroles, il vint caller sa main sur ma cuisse pour la presser, puis la caresser doucement à l'intérieur, faisant tout pour caresser autour de mon sexe, puis le bas de mon ventre qui se contractait sous ses caresses laissant deviner mes abdominaux. C'était intenable. Il ajouta, toujours à mon oreille, alors que je ne pouvais empêcher un gémissement :
- C'est toi qui me tues ... j'ai tout le temps envie de toi, je n'en peux plus, dès que tu te rapproches je sens mon corps s'embraser. Je deviens fou. Dés que tu parles, ta voix me transporte vers la luxure et je perd tout contrôle. Prends moi Kakashi, j'en meurs d'envie. Prends moi comme si c'était la dernière fois. Comme si ma vie était en péril, comme à la vallée de la fin où tu n'as pas pu finir ce que tu avais commencé.
Il entama quelques va et viens dans mon dos, et alors que son sexe appréciait le frottement, il gémit doucement dans mon oreille. C'en était trop, je n'en pouvais plus. Mon sexe était à présent si tendu qu'il en devenait douloureux. Avec toute ma rapidité de ninja, et usant du peu d'énergie qu'il me restait, je me retournais en m'étalant sur lui, faisant déborder de l'eau de la baignoire, le forçant soudain à s'allonger un peu sous le poid de mon corps. Je posais mes deux mains sous ses hanches pour l'attirer à moi et faire en sorte que nos nos sexes se rencontrent. Nous gémîmes ensemble et Iruka arbora un sourire de grande satisfaction à la vue de mon soudain regain d'énergie. Alors qu'il s'approchait pour m'embrasser à nouveau, je délaissai une de ses hanches et le bloquai de mon coude contre la baignoire, essayant de reprendre un peu de contrôle sur la situation et de ne plus penser à son corps que je désirais tant et à son sexe contre le mien.
Je lui demandai, les dents un peu trop serrées :
- Pourquoi tu fais ça Iruka ? Tu connais trés bien mes faiblesses te concernant alors ... pourquoi ce soir ?
Je dû user d'énormément de volonté pour lui poser cette question. Etant donné l'envie qui me dévorait de le prendre avec force après ce qu'il m'avait dit à l'oreille et le fait que nous soyons éloigné l'un de l'autre sans aucun contact depuis six mois. Mais je savais au fond de moi que ce ne serait pas une bonne chose de se laisser aller à ce désir brûlant. Alors je tentais une dernière fois d'être raisonnable.
Il ne se défit pas de son sourire et avec une force surprenante, débloqua mon bras de sa prise sur lui pour venir m'attraper à la gorge de son autre main. Il serra, puis avec la force de ses abdominaux et de son bras, me redressa, pour ensuite grâce à ses jambes, se relever, debout dans la baignoire, pour me bloquer contre le mur, ne desserrant pas sa prise.
Je dû user une nouvelle fois d'un contrôle immense pour refouler mes réflexes de shinobi. Jamais je n'avais laissé personne me tenir en joue de la sorte. Et si c'était déjà arrivé en combat, j'avais très certainement très rapidement réussi à contrer. Je me forçai donc à repousser l'envie de me défaire de la prise d'Iruka. Le fait de ne plus avoir de chakra aida beaucoup et je supposai que si je n'étais pas dans cet état de grande faiblesse, Iruka serait déjà étalé sur le sol de la salle de bain, ayant abîmé le mur de son corps violemment envoyé contre lui. Le rejet de mes instincts dû me donner un regard un peu fou et un éclair traversa mon regard. Probablement à la vue de ma réaction, Iruka desserra progressivement sa poigne sur mon cou ne quittant pas ce regard brûlant de détermination, d'envie et de désir. Je ne le reconnaissais pas mais en même temps cela me rendait fou de désir pour lui. Il m'avait tant manqué.
Tellement de sentiments contradictoires me traversaient à ce moment précis.
Me bloquant toujours contre le mur, il passa une main dans mon dos, puis remonta en caressant mon dos pour finir dans ma nuque. Tandis que son autre main descendit sur mon sexe pour l'empoigner et commençer à le caresser dans un va et vient très lent. Trop lent. Je ne pouvais retenir un gémissement alors qu'il passait ses doigts sur mon gland découvert et sensible. La lenteur de ses gestes étaient insupportable et sans que je ne puisse me rendre compte, seulement focaliser sur ses mouvements sur mon sexe, il attrapa mes cheveux et me les tira vers l'arrière, m'obligeant à quitter du regard sa main sur mon sexe pour lever le menton et le regarder de haut.
Je tombais dans son regard ténébreux . Il vint à nouveau souffler dans ma nuque dévoilée et l'embrassa tendrement, comme pour se faire pardonner de la brutalité de son précédent geste. Ses mouvements sur mon sexe n'accélèraient pas. Il m'embrassait la nuque, la mordait, y laissait un suçon qui s'ajouterait certainement aux marques de ses mains précédemment serrées autour de mon cou.
Je ne disais rien, je le laissais faire, j'avais bien compris qu'Iruka avait beaucoup de chose à dire à travers ses gestes. Je le laissais donc faire, les bras contre le long de mon corps. M'empêchant de le toucher. Le laissant tenir les rennes de cette étreinte empressée et absolument pas tendre. Alors qu'il remontait à nouveau à mon oreille, il me posa donc la question fatidique :
Alors ? Je te fais bander hein ? Il n'y a que moi qui te fais perdre le contrôle Kakashi, c'est bien ça ? Même sans plus n'avoir aucune force, tu ne peux pas résister.
Je me mordis violemment la lèvre. Il semblait avoir besoin de me mettre dans cette situation de fébrilité. Il semblait avoir besoin d'entendre de ma part la validation de ces dires, alors qu'il savait très bien ce que j'allais répondre. Je le trouvais vicieux et ô combien tentant à ce moment précis. J'avais envie de le fendre en deux sans réflexion, comme une bête sauvage et je savais quand je tombais dans son regard que c'était ce qu'il voulait aussi.
Et pourtant, sans pouvoir l'expliquer, je réussissais à rester sage. Parfois je ruais en avant, ne pouvant m'en empêcher car je voulais que ces gestes s'intensifient et qu'il ajoute plus de rythmes aux caresses sur mon sexe. Mais je restais quand même sage. Il fallait bien que l'un de nous le soit pour l'autre. Car iruka semblait avoir perdu tout self-control sur ses envies et ses désirs. Lui qui était habituellement si calme et si tranquille.
Il resserra sa prise sur mon sexe et étala le liquide séminal qui s'en dégageait de son pouce. Mes lamentations et gémissements semblaient rendre son regard de plus en plus lubrique.
Iruka ... J'haletai.
Il accéléra un peu le mouvement sur mon sexe et je ruai à nouveau en avant, ayant du mal à rester clair dans mes pensées, complètement fou de désir. J'essayai néanmoins de comprendre malgré le brouillard qui commençait à s'installer dans ma tête. Et alors qu'il continuait ses caresses sur mon sexe, je cédai à sa demande, les yeux fermés, d'un sanglot sans larme déchirant ma voix, lui imposant des ratés :
Pourquoi Iruka ? Je suis prêt à répondre favorablement à te demande, malgré l'épuisement. Tu sais bien que je ne peux rien te refuser. Tu le sais que tu peux faire ce que tu veux de moi. Mais dis moi juste pourquoi ? Pourquoi ce soir ? Pourquoi comme ça ?
Il n'eut jamais autant l'air d'être aussi conscient de l'attirance et l'addiction que j'entretenais pour lui. Je ne savais pas si ça me dérangeait ou non qu'il en ait autant conscience.
La main d'Iruka s'éloigna de mon sexe et j'ouvrais les yeux en sentant qu'il s'éloignait. Sa main remonta sur mon torse et l'autre lâcha mes cheveux et se calla contre ma hanche bloquant nos deux sexe contre nos ventres. Et lorsqu'il effectua une pression dans mon dos pour que nos deux membres se frottent, il remonta sa main dans ma nuque pour attraper mes lèvres des siennes. Je gémissai lourdement dans notre baiser alors que sa langue caressait la mienne avec envie. Le baiser était fiévreux et nos têtes se balançaient en rythme pour soutenir l'intensité de ce baiser langoureux.
Au goût de ce baiser, un souvenir poignant me revint en tête. Et ma tête partit sans pouvoir rien y faire, contre cette roche de la vallée de la fin où j'avais embrassé Iruka pour la première fois. Ce soir, dans cette salle de bain ridicule, je retrouvais les sensations que nous avions eu lors de notre premier baiser. La frustration d'une situation qu'on ne contrôlait pas. La peur de voir l'autre disparaître. La déception d'avoir perdu quelqu'un de proche. Le besoin de se rapprocher pour dire des choses qu'on ne serait pas capable de dire autrement. Iruka était dans mes bras, et je retrouvais les mêmes sensations qu'au premier jour. J'avais laisser tomber toute raison, j'étais fou de lui et de son corps.
J'avais tellement envie de lui. Son empressement et son manque de tendresse, me firent réagir. Sans plus réfléchir, je nous emmenai vers la chambre. Nos deux corps collés l'un à l'autre, se cognant sur les murs ou sur les meubles. Tout cela car nous étions incapables de nous détacher plus d'une seconde, juste le temps de reprendre notre souffle pour se réambrasser fiévreusement. Nous arrivions finalement sur son lit et il m'allongea dessus, me surplombant de son corps.
Rien que le fait de nous emmener dans la chambre m'avait à nouveau épuisé et je sentais et craignais que la fébrilité de mon corps puisse briser ce moment si précieux à mes yeux. Je rageai mentalement contre moi-même alors qu'en même temps j'étais le plus heureux des hommes sous les assauts passionné d'Iruka. Nous nous caressions de partout, nous retrouvions tous les endroits préférés de l'autre. En simplement quelques secondes, nos gestes et nos caresses reprenaient leurs habitudes pour faire souffler, gémir ou soupirer l'autre. Le corps d'Iruka avait toujours le même effet sur le mien et je ne comprenais pas comment nous avions pu rester rester si éloigné l'un de l'autre pendant six mois alors qu'il était clairement une drogue pour moi.
Durant nos préliminaires, deux fois, je faillis tomber dans les pommes. Et c'était vraiment gênant car la réaction que provoquait Iruka chez moi faisait battre mon coeur à mille à l'heure, mon corps répondant avec ardeur à ses baisers et ses caresses. Mais par deux fois, mon coeur se ralentit étonnamment vite, sous le contrôle de mon cerveau qui commençait à perdre pied et à manquer cruellement d'énergie. Ce fut tellement éprouvant que par deux fois, je devais retirer mes mains du brun et me calmer afin de faire disparaître le sombre brouillard noir qui m'arrivait devant les yeux. Le temps que ma tête comprenne qu'il ne fallait pas que mon cerveau appuie sur pause. Lorsque ça arrivait, Iruka calmait ses ardeurs et devenait très doux, ne se focalisant pas sur le fait que je ne puisse plus lui donner autant d'attention que je le souhaiterais mais lui m'apportant une attention encore plus intensifiée. Je ne l'avais jamais vu comme cela auparavant.
Lorsque je nous sentais prêt tout les deux et que j'étais sûr que je ne tomberais plus dans les pommes et après de longues préliminaires, j'approchai ma main de la bouche d'Iruka pour qu'il humidifie mes doigts. Seulement, c'est avec une grande surprise qu'il balaya ma main de devant sa bouche et effectua une forte pression sur mon torse pour me rallonger sur le lit.
Sans prévenir, il positionna son corps au dessus de moi, serrant ses deux jambes contre mes cuisses, attrapa mon sexe et s'empala dessus avec force. Je crus que j'allais devenir fou et alors qu'il commençait ses va et vient dans des mouvements sensuels et rythmé. J'haletai dans des râles de plaisir et de surprise, mon cerveau complètement embrumé :
Iruka ... tu es fou. Tu vas te faire mal.
Iruka se baissa pour me faire taire en m'embrassant passionnément pour ensuite me tirer par les bras pour me faire asseoir. Il n'arrêtait pas ses mouvements sur mon sexe et lorsque je fus assis, un nouvel angle se créa et il se resserra autour de mon sexe à chaque fois que je lui touchai la prostate. Dans un geste animal et incontrôlé, j'attrapai ses hanches de mes mains et l'accompagnai pour l'asseoir encore plus sur mon sexei à chaque accoup et le pénétrer plus profondément.
Des gémissements et râles rauques sortaient de ma gorge sans que je ne puisse rien y faire et je lâchai finalement une main de ses hanches pour venir le caresser sous le même rythme que ses empalements sur mon sexe.
Notre respiration et nos gémissements commencèrent à se saccader encore plus qu'à l'ordinaire tandis que mes mains lâchèrent Iruka pour venir agripper les draps en dessous de nous et les serrer avec force. Iruka, lui se colla encore plus à moi si c'était possible et attrapa mes omoplates pour les agripper et y enfoncer ses ongles. L'intensité du rapport nous obligea a effectuer quelques va et vient encore plus puissant et dans un gémissement de jouissance étouffée, nous relâchions la pression pour laisser l'orgasme s'insinuer en nous alors qu'Iruka laissait tomber lourdement son visage dans mon cou, reprenant sa respiration.
Après quelques secondes, je passai mes bras autour de lui, imprimant ce moment dans ma mémoire à jamais. Son visage et son souffle dans mon cou, satisfait du plaisir charnel, suant et essoufflé après une étreinte passionnée et ô combien déraisonnable.
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