VIII
Pendant cette nuit où tu étais loin de moi, le sommeil et les songes se sont écartés de ma couche, j'ai veiller les yeux ouverts dans le noir.
J'entends les frissons des feuilles, et lentement j'ai vu venir l'aurore.
Alors le coq a chanté et la voix de la cloche s'est élevée dans la tour qui regarde la vallée.
Des chèvres ont passé sur le chemin, tout s'éveillait, mais la joie restait endormie.
Car le jour sans toi, ô Sylvius, est un jour ?
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