Chapitre 24

Jacob baissa son regard vers le bébé qu'il tenait au creux de ses mains. Il avait donner naissance à un merveilleux garçon quelques heures plus tôt. Ses parents et ses grands-parents était partie il y avait une heure, pour aller manger ensemble et le laisser seul avec ses amis, Ophélia et Brian qui était débarquer, mais les voilà repartit le laissant seul avec son nouveau-né. Il dormait dans ses bras sans un bruit. Lui aussi était fatiguer. Voir tous ses gens tout de suite après avoir expulser ce bébé de son corps l'épuisait. Il pourrait roupiller comme son fils. Un infirmier viendrais le réveiller rendu là. Voilà qu'il ferma doucement les yeux, mais les ouvrits aussi rapidement que des coups fut frapper à la porte.

Il releva la tête pour apercevoir Mathieu dans l'embrasure de la porte. Première fois qu'il le voyait depuis des mois. Les deux s'observèrent un moment à distance et en silence. L'oméga lui fit un signe de tête d'entrer. Il n'avait jamais abandonner l'idée de le contacter. Tentant de l'appeler pendant des mois, une fois par semaine. Il ne voulait pas forcément reparler de leur rupture qu'il jugeait ridicule, mais s'organiser pour le bébé.

Mathieu décroisa les bras et entra tranquillement dans la chambre d'hôpital en regardant autour de lui. Lorsqu'il fut au côté du lit, il baissa les yeux sur la forme endormi dans les bras du garçon.

"Tu peux le prendre, tu sais." Informa Jacob en lui tendant le bébé. "C'est le tiens."

Mathieu sembla hésiter, peu sûr de lui, mais approcha ses mains du bébé. Il galèra quelques instant à le mettre dans une bonne position, avant de le coller à son corps et l'observer dormir contre lui.

"On lui a trouver un nom?" Demanda-t-il en venant dégager le visage du bébé pour mieux le voir.

"Zachary."

"Je suis fier du choix de nom qu'on a fait." Dit l'alpha en contemplant l'enfant.

Jacob fronça les sourcils. Ses farces n'était pas drôle. Il n'avait rien fait de toute la grossesse.

"J'ai essayer de te contacter pendant des mois. Pourquoi tu viens juste quand je t'écris que j'ai accoucher."

"Je reçoit pas tes messages. Je t'ai bloquer. Je suis venus, car JADE ma dit que tu avais accoucher." Précisa Mathieu.

"Donc tu te pointe quand le travail est fini."

"Quel travail?" Ce choqua Mathieu en relevant le visage vers lui. "Je pouvais pas t'aider à le faire développer dans ton ventre. Le vrai travail, c'est maintenant qu'il commence et je suis là, alors arrête de te plaindre."

"Tu plaisantes j'espère? Et tout les achats. Préparer la venus. Trouver des garderies. Organiser les jours de garde et le budget à venir?"

Mathieu haussa les épaules en signe de désintérêt.

"Tu vois, c'est exactement pour ça que je t'ai bloquer. On se serait prit la tête à chaque fois, comme toujours." Maugréa l'alpha.

"Vraiment? Car te pointer à la toute fin, ne créer pas des frictions peut-être?" Se choqua Jacob en se redressant dans le lit.

"Oui, mais juste une fois et non plusieurs!" Argumenta Mathieu en retendant l'enfant. "Je me pousse, j'ai plus envie de te parler. Reprend le."

Jacob reprit son fils décourager.

"Tu me diras combien je te dois." Dit Mathieu en s'éloignant.

"Pardon?"

"Pour l'allocation familial. Tu me diras combien je te dois par mois." Précisa Mathieu en levant les yeux au ciel.

"3000$!" Proclama Jacob un sourire aux lèvres.

Il reçut un doigt d'honneur du géniteur.

"Va chier, je te donnera 300, pas plus."

Jacob lui tira la langue en resserant son bébé contre lui.

"Tu le prends tout les fins de semaines?"

"Mais j'aurais plus vie! Hors de question. Au deux semaines, ça te va?"

"Et moi je l'aurais 12 jour sur 14, mais ma vie ça on s'en fou? 1 semaine sur deux."

"Nah. Pas là. Peut-être quand il sera plus vieux. Une fin de semaine sur deux, à prendre ou à laisser."

"D'accord, mais tu viens le chercher le vendredi vers 17h et tu le ramène dimanche vers 21h!" Préviens Jacob.

"Ouais, ouais. Je ferais ça." Répondit Mathieu nonchalant en ce grattant la tête.

"Tu as acheter ce qu'il faut?" Demanda ensuite Jacob bien décider à le garder un peu plus longtemps dans la chambre d'hôpital.

L'alpha haussa les épaules.

"Tu me passera ce qu'il faut pour quand je l'aurais." Dit-il en haussant les épaules.

"Tu plaisante, j'espère?" S'écria l'oméga. "Tu sais la quantité de chose qu'un nouveau-né à besoin? Tu dois avoir ta propre table à langer. Ton propre berceau. Tes propres jouets psychomoteur! Quand tu viendras le chercher, tu auras le droit à un sac de vêtements et de couche. Pas plus!"

Mathieu sembla soudain décourager.

"Mais j'ai pas le budget de..."

"Tu aurais tout su ça, si tu ne m'aurais pas fuit et répondu à mes appels! Tout d'un coup le travail commence avant la naissance, n'est-ce pas!"

Il vit alors son ex donner un coup de poing dans le mur à c'est côté avant de lui faire un nouveau finger.

"Bah garde le tout seul si tu es pour me faire chier!"

Puis il voulut quitter, mais une infirmière rentra au même moment.

"Oh. Bonjour. Vous êtes?" Demanda l'infirmière qui en tant qu'alpha sentait la tension des phéromones sur les lieux et était prête à défendre son patient.

"C'est le père." Préviens Jacob en collant sa tête à son bébé.

"Oh. Vous avez réussi à vous libérez, tant mieux. Vous pourrez signer quelques papier." Dit-elle en sortant ce qu'il fallait et changeant d'attitude.

Soudain Mathieu était mal à l'aise.

"Euh... oui... je... j'étais occuper." Dit-il en se tournant vers Jacob pour lui demander silencieusement ce qu'il avait raconter à l'infirmière.

L'oméga avait été trop gêner d'avouer qu'il serait un père célibataire et avait prétendu que son copain était sur la route à cause du boulot. Il ricana néanmoins amusé de voir que Mathieu était toujours enclin à ce joindre à sa version des faits et baratiner pour suivre le mensonge déjà en place.

L'alpha mis son nom sur quelques documents, puis il quitta la chambre d'hôpital. Jacob rebaissa son regards sur l'enfant dans ses bras. Il espèrait une chose, que son fils n'est pas le caractère de son parent alpha. Il redéposa sa tête sur l'oreiller et ferma les yeux. Il était épuiser.

Il entendit une notification sur son téléphone et réouvrit les yeux pour regarder. Mathieu venait de lui faire un transfert d'argent de 300$. Il accepta le montant en soupirant. Il allait laisser la tension redescendre et ensuite le recontacter pour l'aider à être assez organiser pour s'occuper de leur fils. Il le savait trop bien que Mathieu n'avait personne dans sa vie, à moins qu'il est repris contact avec ses parents ou qu'il c'était fait un nouveau copain oméga. Pour ça part, lui avait bien décider à faire une croix sur l'idée d'être en couple.

Déjà, car il savait que personne ne voudrais d'un oméga de 18 ans avec un bébé, dont le géniteur était d'une jalousie maladive, mais aussi, car il ne voulait plus offrir de son temps et énergie à personne, sauf à Zachary. Il renifla l'odeur de son bébé. Il sentait bon le nouveau-né, mais dés que sa véritable nature allait se révéler vers ses 5 ans, il était persuader qu'il sentirait aussi bon qu'un champs de lavandre en fleur.

Il referma les yeux collant la poitrine de son bébé contre son coeur et s'endormit en écoutant les battements de coeur de son bébé. Il fut réveiller par ses parents qui revient le chercher et ramener à la maison. Il allait rester en congé les premières semaines de vie, mais retournerait le plus vite possible au travail. Le salaire qu'on lui versait pendant son congé de paternité, ne serais jamais suffisant à payer tout les dépenses.

"Mathieu est venus me voir." Avertit-il néanmoins à ses parents.

"Il existe encore lui?" Grogna son père alpha.

"Il ma transférer 300$ pour le mois et va le prendre une fin de semaine sur deux pour commencer, puis si ça va bien, une semaine sur deux." Dit Jacob préférant ignorer le fait que son père se retenait bien de dire tout un tas de chose sur l'ex de son garçon.

"Il est mieux! Et quand il viendra le chercher, je vais lui parler moi!"

Mauvaise idée, ce dit Jake dans sa tête. Dire que ses parents l'avait adorer la première fois qu'il l'avait rencontrer. Bon Mathieu était le seul responsable de la haine que ses parents éprouvaient envers lui maintenant. À disparaître ainsi à l'annonce de la grossesse, ça laissait à penser qu'il ne voulait avoir aucune responsabilité sur le bébé. Le blondinet savait que c'était faux et qu'il pourrait compter sur lui au moins pour ça, mais quand même. Il aurait pu revenir s'impliquer avant la naissance.

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