Chapitre 31

La fièvre d'Aaravos était retomber. Il se sentait toujours aussi vider, mais au moins il pouvait se lever sans avoir des étourdissement. Il se dirigea doucement vers la salle de bain pour prendre la médications que son médecin lui avait prescrit et se passer de l'eau au visage. Puis il quitta la chambre sentant son ventre crier famine.

"Noatak. Noatak, je suis réveiller." Maugréa-t-il en descendant les escaliers.

Il n'eut aucune réponse et entra dans la cuisine ou planait un silence de mort. Il travaillait aujourd'hui? Et Onyx? Il se servit un déjeuner qu'il mangea doucement avant de parcourir la maison. Vide. Pourtant Noatak n'aurait pas du travailler. Il avait diminuer ses heures de moitié pour suivre des cours prénataux. Sept mois de grossesse et toujours anxieux a l'idée qu'il arrive malheur à son bébé. Il observa l'horaire coller au réfrigérateur et fronça les sourcils. Noatak ne travaillait qu'en après-midi, aujourd'hui et il n'avait pas de cours ou formation particulière ce matin. Ou était-il?

Il se dirigea vers le salon pour se laisser tomber sur le divan en soupirant. D'ici 30 minutes ses anti-dépresseur devrait faire effet. Il devait juste attendre. Il prit son téléphone et composa le numéro de l'oméga. Aucune réponse. Étrange. Il n'aimait pas la tournure que tout cela prenait. Il appella donc Onyx.

"Salut bébé." Répondit la voix caverneuse de son époux.

"Onyx." Lâcha Aaravos décourager. "Je ne vais pas te déranger longtemps, mais je me demandais où était Noatak."

"Il... est avec moi. Prend sa relax. Repose toi."

"J'ai l'impression que je fais juste ça me reposer."

"Car tu en as besoin!"

"Ok, je te laisse travailler. Passe moi Noatak."

"Euh... il est occuper."

Un silence retentit dans le combiner et Aaravos se rendit compte que son époux lui cachait visiblement quelque chose.

"Onyx?"

"Bon je vais te laisser, car je dois..."

"Passe moi Noatak, Onyx." Ordonna-t-il.

"Il est occuper je t'ai dis."

"À faire quoi?"

Mais Onyx ne semblait pas vouloir répondre.

"Si tu réponds pas je débarque à la compagnie t'emmerder."

"Ok... soit pas fâché, mais... il est pas avec moi."

"Et il est où?" Soupira Aaravos.

"À la compagnie."

"Mais toi tu es où si tu n'y est pas?"

"À la compagnie de ma famille."

Aaravos observa l'écran vide de la télévision devant lui tentant de traiter l'information.

"Je comprend pas? Pourquoi es-tu aller voir ta famille en laissant Noatak seul?"

"Je... le ministre nous a donner la subvention qu'on voulait, alors je dirige les recherches."

"Tu... je croyais que... félicitation. C'est tout à ton honneur que ta famille... mais... qui s'occupe de ma compagnie, alors?"

"On a voulut t'en parler, mais tu était encore plus malade qu'avant, alors..."

"Onyx, répond moi. Qui dirige ma compagnie?"

"Depuis une semaine... Noatak."

Aaravos n'en croyait pas ses oreilles. L'oméga, qui n'avait que des diplômes en cuisine et couture, contrôlait sa compagnie? Faites que ce soit une putain de joke.

"Aaravos ne te choque pas. La première semaine j'étais avec lui. Il gérait, mais j'étais là en renfort pendant que je travaillais sur mon projet! Là c'est ça première semaine seul, mais il s'en tire bien... je crois."

"Comment ça, tu crois?" S'énerva Aaravos.

"J'ai pas... prit la peine de me renseigner." Avoua Onyx honteux.

"Et merde."

Il s'en allait raccrocher, mais Onyx enchaina.

"Aaravos, Noatak est très content de pouvoir faire ça pour toi. S'il te plait, fais lui le plaisir d'être fier de lui."

Mais Aaravos coupa la communication avant d'aller s'habiller.

***

L'oméga n'écoutait rien de ce que l'homme devant lui disait. Trop de mot qu'il ignorait. Trop de chiffre qui ne lui donnait aucune idée du montant. Tout ce qu'il analysait était le sourire de l'homme devant lui et ses grand gestes. Le fauteuil dans lequel il était assis était beaucoup trop grand, ce dit-il perdant intérêt de l'homme devant lui.

"Et donc, qu'en pensez-vous?"

Noatak reporta son attention sur l'homme et lui offrit un sourire gentil.

"Je... je dois y réfléchir. Envoyez moi un courriel avec les détails et je vais y pensez." Dit simplement l'oméga qui tentait de paraitre confiant.

"Pas de problème, monsieur. Je l'envoie à votre alpha, je présume?"

"Non à moi. C'est moi qui gère!" Dit Noatak en se redressant sur le fauteuil et lui lançant un regard dur.

L'homme devant lui le jugea un moment du regard avant d'hocher la tête.

"Bien. Vous direz a monsieur Aaravos que nous espérons tous son rétablissement dans les plus bref délai."

"Ça veut dire quoi? Que je suis pas capable de gérer?" S'énerva Noatak de plus en plus irriter.

L'homme devant lui, lui offrit un sourire compatissant.

"De quoi suis-je venus vous parlez dites moi?"

Noatak rougit soudainement et perdit le tonus qui l'avait fait se tenir droit.

"De truc... pour la compagnie..." Dit-il gêner d'avouer qu'il n'avait rien compris.

"Je vous enverrai un courriel, monsieur."

L'homme fit une bref révérence avant de quitter le bureau du patron. De nouveau seul, Noatak gémit en s'enfonçant dans le fauteuil. C'était donc ça le métier de son âme-soeur? Gérer des trucs qu'il ne comprenait pas? Il avait envie d'appeler Onyx en larme pour lui demander de lire la dizaine de courriel qu'il avait reçut a sa place. Dire oui et non au bonne personne et guider la compagnie vers les bons chemin. La veille un homme avait appeler en parlant une langue qui lui était totalement inconnu et prit de panique il avait raccrocher au nez de la personne et avait ignorer le téléphone depuis. Pas pour rien qu'Aaravos était tomber en dépression, ce travail demandais tellement de pression.

Il aggrippa le stylo qui trainait sur le bureau et se mit à dessiner sur une feuille. Il était un oméga. Avec une formation basique d'oméga. C'était pas à lui de gérer le monde. C'était la job d'un alpha, mais Onyx avait tellement espoir en lui qu'il n'avait pas oser refuser et puis le projet sur lequel travaillait l'homme noir était beaucoup plus important que le reste. Il se sentait imposteur. Comme quand il appelait le médecin tout les semaines dans le dos d'Aaravos. Maintenant c'était envers Onyx qu'il...

La porte de son bureau s'ouvrit à la volée et comme un enfant prit sur le fait à copier sur son voisin, Noatak cacha la feuille et le crayon en se redressant. Aaravos se tenait dans le cadre de porte à l'observer curieusement. Soudain les valves étaient ouvertes et Noatak se redressa pour courir vers Aaravos et pleurer dans ses bras.

"Reviens s'il te plait! Je comprend rien, j'ai l'air d'un idiot!"

Il sentit la main d'Aaravos venir flatter ses cheveux pendant que son autre bras fort vient entourer sa taille et le soulever du sol. Même sans c'être entrainer des mois, il avait cette force et facilité à soulever un oméga enceint. Son visage à la hauteur du sien, il reçut un doux baiser sur la bouche.

"Je suis là, Noa. Ne pleure pas."

"Ne dit rien à Onyx. Il ma dit avoir confiance en moi. Je veux pas perdre sa confiance." Pleura de plus belle Noatak qui essuyait de sa manche des larmes qui revenait en force.

Il se sentit déposer au sol et ébourrifer ses cheveux. Il ouvrit les yeux pour apercevoir Aaravos pencher pour être à sa hauteur lui offrir un doux sourire.

"Noatak, il n'y a aucune honte à ne pas savoir gérer une entreprise."

"Mais je voulais aider!"

"Alors tu devrais commencer par plus simple."

"Mais Onyx, ma dit que..."

"Onyx est un éternelle optimiste. Des fois, ça ne lui fait pas de tord de retomber au sol. Je suis revenu là. Tu n'aura plus besoin de gérer quoi que ce soit, sauf ta grossesse et deux alphas qui aiment se prendre la tête, ok?"

"Tu es plus malade?" Demanda Noatak en reniflant.

"Je vais bien. Dis moi juste ce que je dois savoir?"

"Tu as une dizaine de courriel de personnes qui veulent je sais pas quoi, mais qui ont envoyer les détails par écrit. Et puis il se peux qu'un anglais soit fâché après toi, car je lui est raccrocher au nez et je répond plus au téléphone." Avoua timidement Noatak en fixant le torse d'Aaravos, incapable de gérer son regard.

Il reçut une caresse dans les cheveux.

"Bien, je vais m'en occuper. Tu as besoin de quelqu'un pour te ramener à la maison?"

"En fait... est-ce que je peux rester dans tes bras le reste de la journée? Je me suis ennuyé de tes caresses. Onyx me serre toujours trop fort lui. J'ai l'impression d'étouffer. Il est gentil, mais..."

"Sauvage?"

"Oui." Répondit timidement Noatak.

Aaravos ricana avant de lui embrasser le front.

"Bien sûr."

Il alla s'asseoir sur son fauteuil et Noatak se blottit contre lui respirant son odeur à défauts de ses phéromones et Aaravos ouvrit ses courriels pour soupirer en voyant que les dizaines de message que Noatak lui avait parler était plus une centaine de messages.

Ils sont tellement mignon 😭😭😭

Pauvre Onyx 😅 petit optimisste qui possède un amour brutaux 😏 c'est uniquement pour ça qu'il est pas compatible à 100% 😂 sa personnalité est parfaite, mais il est trop bourru pour notre petit Noatak.

Content qu'Aaravos va mieux?

En pensant, on ne sait pas le sexe du bébé 😱 Je prend les paris! Garçon ou fille?

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