XVIII-A death too difficult

L'alliance, année 1985

Le professeur est mort, Takumi garde son manteau, les papillons comme les morts l'on tué, tout est fini, c'est le premier mort que j'ai vu, les autres ont dit que le trépa a toujours été si destructeur, alors pourquoi nous ont-ils laissé avancer ? Debs a dit que j'étais idiote a resté enfermé dans cette chambre alors que cela ne fait que trois mois que je le connais, mais il était si gentil avec moi, ma chambre est plongée dans le noir, les murs blancs et le parquet en bois qui a l'habitude de craqué, on tous commencé à disparaître. Caché sous mes couverture, j'espère seulement disparaître dans cette si grosse couverture si chaude, c'est au moment où ils ont brûlé le corps du professeur que Debs m'a donné le nœud que le professeur mettait autour de son coup. Il m'a avoué que c'était un principe à l'alliance qu'à la mort d'un métamorphe, ses élèves reprennent quelques affaires de lui pour leur porter bonheur pendant leur combat, le bruit de quelqu'un tapant à la porte me sors de ma transe.

<Rubs, c'est le professeur Takama peux-tu m'ouvrir ? Se rapporte une voix féminine à mes oreilles

-Il n'y a personne ici, je souffle sous les couvertures

-Je viens de t'entendre, je sais qu'il est difficile de remonter l'une des première mort que l'on voit, j'étais comme toi autrefois,

-Les papillons comme ces morts l'ont dévoré !

-Ce sont des choses courantes par chez nous, tu t'habitueras

-On ne peut pas s'habituer à cela, on ne peut pas s'habituer à la mort !

-Rubs...>

Qui finirait par s'habituer à la mort ? Personne ne peut oublier les souffrances d'une mort, si on oubliait cela ne serait juste, cela serait cruelle pour ceux qui sont partis et ceux qui restent. Alors je n'oublierai pas le professeur, je n'oublierai pas tout ce qu'il a fait pour moi, au grand jamais je ne l'oublierai, je ne peux pas. Serrant la couverture plus fort autour de moi, je laisse couler mes larmes. Quelques minutes plus tard, mes yeux s'alourdissent sous la fatigue et la tristesse, je me laisse sombrer doucement vers un autre chemin.

Tac...Tac....Tac

<Ru, c'est Taku, tu devrais sortir, tout va bien aller, tu n'as pas à t'inquiéter je serais là pour sécher tes larmes, mais s'il te plaît ne pleure pas seule, alors sort s'il te plait je m'inquiète Ru, Souffle Takumi derrière la porte>

Combien de temps ai-je dormi ? Il m'a réveillée, il n'y a pas de volet pour voir si la nuit est tombée, j'aimerai rentrer à la maison, je n'ai jamais été aussi triste même lorsqu'ils sont morts, professeur j'aurais aimé vous garder à nos côtés encore quelques temps, peut-être même jusqu'à la fin.

<Ru si tu ne sors pas Debs va devoir intervenir, je ne veux pas que tu finisses comme cela, dit-il

-Qu'il tente d'entrer ici, le renard le mangera, je marmonne

-Ru, Debs n'est pas comme toi et moi, il est un dragon et les flammes bleus ne sont pas la seule chose qu'il puisse faire, alors s'il te plait sort d'ici avant que l'alliance décide d'envoyer Debs >

Debs est un dragon, les flammes sont dans son sang, mais il y autre chose qui brille quelques choses de beaucoup plus grand que même le renard ne pourra arrêter, je ne sais pas réellement ce qu'il se passera, mais je veux seulement me souvenir à jamais de cet homme qui nous avait « élevé » si on peut dire. Le bruit du bois qui craque, levant mon buste grâce à mes bras je remarque le regard deux pupilles bleus fixés sur moi.

<Va-t'en ! Je hurle en lui jetant la couverture dessus

-Tu comptes rester un légume pour toujours, alors tu aurais mieux fait de te faire tuer par ces sorciers, grogne-t-il en s'approchant

-Je n'ai pas vécu comme vous moi ! Je ne suis qu'une enfant ! >

Les larmes coulent, mes jambes tremblent contre le sol froid, ma main serre mon haut abimé, je n'avais jamais vu cela est-ce pour cela que les marques restent ? S'il te plaît, ne m'enlève pas mes souvenirs de lui, avec une lenteur horrible il passe sa main chaude contre ma joue froide, approchant son pouce de mon œil il efface les traces de larmes, il avance d'un pas et pose son front contre le mien en souriant doucement, mes yeux sont encrés dans les siens à la recherched'une réponse.

<Tout ira bien, alors au moment où mon regard quittera le tien, tu oublieras complétement le professeur, mais aussi les sorciers, tous ce qu'ils t'ont fait c'est du mal, tu oublieras aussi le trépas, tu oublieras toutes les choses qui te lie au professeur, chuchote-t-il d'une voix douce >

Il retire sa main, mais... Je n'arrive pas à me défaire de lui, je suis bloquée, je n'arrive pas à m'éloigner de lui, je suis comme appelé vers lui systématiquement, pourtant je ne veux pas oublier, je ne veux pas perdre ses souvenirs. Je ne veux pas oublier Lauren et Williams !
Ces yeux quittent les miens et .... Je me demande ce qu'il fait ici, ses yeux ont l'air tristes, mais il sourit doucement en me voyant pencher la tête.

<Quelques choses ne va pas Debs ? Je demande perturbé par son regard bleu

-Tu n'as toujours pas jeté ta baguette, souffle-t-il

-Ah ! Je m'exclame en tapant mon poing dans ma main >

Me tournant vers mon meuble en bois à côté de mon lit, j'attrape la baguette et la brise en deux, Debs l'attrape et l'enflamme avec ses flammes bleus un grand sourire apparait sur mes lèvres lorsque la baguette se consume et laisse place à des cendres. Je me demande pourquoi je l'ai gardé aussi longtemps, alors qu'elle ne mer servirai plus jamais, je ne ressent aucun sentiment positive envers ses monstres.

<Les choses sont mieux lorsque tu suis mes conseille Ru, souffle-t-il à mon oreilles

-Arrête de faire ton numéro de dragueur, allons manger Debs ! Je m'exclame heureuse >

Je parcours la distance entre la porte et moi, je me retourne vers lui en souriant, allons-y lui dis-je sans parole en tendant ma main vers lui, il sourit et attrape ma main, ouvrant la porte nous tombons sur Taku les mains sur la tête à genoux dans le couloir.


<Taku ? Je demande en mettant ma tête sur le côté

-Ru, tu vas mieux, me demande-t-il en me serrant dans ses bras,

-Bien sûr, pourquoi cela n'irait pas ?>

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