✙ L'histoire risque de prendre une tournure assez triste avec la 3éme partie et celle ci , la mutilation étant un sujet sensible . Et au vu de la politique de Wattpad , je n'encourage personne a pratiquer celle ci , c'est juste une boucle sans fin .Si vous êtes légèrement sensible éviter cette partie de l'œuvre .NE REPRODUISEZ JAMAIS CE QUE MES PERSONNAGES FONT. Sur ce bonne lecture 09/07/2017 ✙

✖ CETTE PARTIE n'est pas corrigée complétement ✖ (si vous remarquez une faute mentionnez la en commentaire merci )

" Je venais de passer , la porte , son regard venais de me perdre . J'ai récupérer rapidement mes chaussures , je l'es ai enfilés sans les lacer , des regards se posaient sur moi , sur mon bras , je les sentaient , des regards lourd et dégoutter , il me voyais comme un faible , surtout les parents qui avais compris a la vu de toutes les traces rougeâtre sur mon bras . Personne n'ai venu m'aider , ils étaient tous entrain de protéger leurs enfants de moi , ils les empêchais d'approcher le monstre que j'était . Je suis sortis rapidement en courant , courant les larmes au yeux , je voulais fuir , fuir ma vie . "

Je courais en regardant ma montre , il était déjà 17h57. Mon mobile-home n'était plus qu'a quelques mètres , le sang commençais a sécher mais certaines plaies coulais encore . Je n'avais qu'une seule envie , crier de toute mes forces , laisser ma souffrance sortir de mon corps meurtris . Mais je ne pouvais pas , je devais garder tous sa a l'intérieur de moi même , je devais souffrir , crier en silence .

La porte du mobile-home était en face de moi , mes parents semblaient ne pas être la , ils étaient sans doute partis en ville , je sortis les clés de ma poche avec mon bras droit , je l'entre dans la serrure , je tourne la clé jusqu'à entendre un petit "clic" qui m'indique que je peut empoigner cette poignée . Je lève mon bras gauche sans réfléchir un instant , j'empoigne la poignée d'une main sanglante , et je m'aperçois que je suis incapable de l'ouvrir , je ne peut pas ouvrir cette porte , mon bras gauche souffre trop .

Je me suis empresser de l'ouvrir avec l'autre bras et me réfugier dans la salle de bain , pour me regarder , pour voir dans le miroir a quel points les choix que j'ai fait dans ma vie on meurtris mon corps .

Je commence par enlever délicatement le t-shirt que j'avais remis en sortant de la piscine , en essayant de ne pas le tacher de sang , je passe en suie mes mains sous l'eau délicatement . Le sang s'écoule mélanger a l'eau chaude , je ferme le robinet . J'enlever mon caleçon de bain et je me glisse sans regarder dans l'immense glace mon corps plus longtemps sous la douche .

Je règle la température vers le froids , et je laisse l'eau couler le long de mon corps , je regarde mon bras gauche ou l'eau lave le sang caillé sur mon bras , j'aimerai rester sous cette douche éternellement , pour pouvoir laver mon corps de toute les sales choses qu'il a enduré .

# Jeudi dans les environ de 18h30

Le temps tournais , le temps s'écoulais toujours plus vite que la douleur ne s'effaçait .Mais je ne pouvais plus continuer , je devais sortir , je lui avais promis d'être la bas pour 19 heure, je ne voulais pas le faire souffrir pour moi . Je ne voulais pas entrainer quelqu'un dans ma souffrance , mais je l'aimais tellement , j'était devenu complétement fou de lui . Je venais de le penser , je venais de me l'assumer a moi même .

Je suis sortir rapidement , je me suis séché rapidement le corps et j'ai enfilé un t-shirt , c'est un t-shirt complétement blanc avec le début des manches rouges et le col rouge . Je met un boxer Calvin Klein, et un pantalon du type jean noir.
Je prend la boites de pansements et le désinfectant et je commence a soigner ses plaies qui marquent la douleur de ma vie . Je prend ensuite le sèche-cheveux rapidement pour sécher la touffe de cheveux châtain avec quelques mèches blondes qui partage ma vie . Un peut de cire et de laque et le tour est jouer , j'était prêt , un petit coup de déodorant , et une chemise rouge et noir autour de la taille , je ressert ma ceinture , prend mon téléphone et mon sac sur le dos , il est déjà 18h45 , je veux être la bas avant lui , je ne veux pas le faire attendre , je veux qu'il sois a moi ?

Je sort en claquant la porte derrière moi , il est déjà 18h48 je ne veux pas , je ne veux pas le faire attendre , il a déjà trop souffert a cause moi, je marche plutôt rapidement , en me dirigeant vers vers le parc, il me manque , ses yeux bleus me manque , j'ai envie de le voir , de passer ma main dans mes cheveux sans qu'il me juge pour ce que j'ai fait .

Je suis arrivé , il est 18h56 environ , il y a un banc dans un coin sous un arbre , il n'était toujours pas la , je le cherche du regard , il n'est toujours pas arrivé , j'avance , je vais l'attendre sur le banc je pense . Pourquoi mon cœur commence a battre , pourquoi j'ai envie qu'il arrive , pourquoi j'ai autant envie de lui .Dans ma tete des images commence a se bousculer, mais avant qu'elles n'ai le temps de se mettre en place une petite voix nouée crie mon prénom :

-Thommmass !

Je le cherche de vue, j'ai reconnu sa voix si mignonne mais qui semble être plus froide que d'habitude.
Je le vois, il me regarde dans les yeux.

- Vient t'assoir Baptiste,s'il te plaît.

Je ne sais pas si je venez de lui l'ordonner ou si mon visage affichait une mine triste encore mais son visage à sembler se décomposer à la suite de cette phrase.
Mais il est venu, il c'est assis à côté de moi, il a posé sa tête sur mon épaule et il m'a dit :

- Je t'écoute.

Deux mots, seulement deux mots qui m'ont frappés de plein fouet, je ne savais pas par où commencer, de quoi lui parler.

#Jeudi dans les environs de 18h50

Je venais de lui expliquer toute ma vie,je venais de lui parler de ma Bisexualité, de l'homophobie que vivait constament, de mes problèmes familiales, il continuait de me regarder droit des les yeux à travers ses lunettes noire qui lui donner un petit côté sexy. C'est au moment où j'ai commencé à parler de mes plaies sur mon bras... Du bonheur que me procurait le fait de me faire mal ...le fait de laisser le sang de mes veines couler... Qu'il a posé un doigt sur ma bouche et qu'il m'a dit :

- Chut, ne termine pas cette phrase.

Et il a ensuite passé sa main dans ses magnifiques cheveux châtain clair pendant que je le fixait et il c'est approché de mon visage, en posant sa main gauche sur ma cuisse et l'autre dans mes cheveux et dériere ma tête puis il a déposé ses lèvres sur les miennes, j'ai goûter à sa salive, à son corps. J'ai passé ma main dériere son dos pour le rapprocher encore plus de mot et j'ai fermé les yeux pour ressentir le bonheur que me procurait l'instant présent.
Je continue à me délecter de ses lèvres, à passer mes mains sur son corps.
J'etait déconnecté, je pensais plus qu'a lui, a ses lèvres pulpeuses que j'etait entrain de dévorer.

~

On aurais pus resté comme sa une éternité sans se soucier de rien, mais le regards pesants et remplient de dégoût des personnes autour de nous mon fait réagir.
J'attrape sa main, je me décolle de ses lèvres goûteuses.

-Vient suis moi.

-Okay mon coeur.

Il venait de m'appeler mon coeur, un seul mot, un mot qui m'a touché au plus profond de mon coeur.
Cette phrase peut paraître extrêmement niaise mais c'est vraiment l'effet que cella ma fait.

Je serrais sa main,je ne voulais pas la lâcher pour rien au monde. On marchais en riant sans savoir pourquoi, mes parents rentraient vers 21h se qui nous laissait environ 2h dans le mobile home.

- Sa te dit d'aller dans mon mobile home pour parler tranquillement ? Je ne sais pas pourquoi j'avais quand même peur de sa réponse.

- Ouiiii ! Il avait répondu d'une façon tellement mignonne, comme si je venais de lui proposer une chose merveilleuse.

On se dirigeait main dans la main mais discrètement vers mon mobile home, je voulais pas que ma famille nous voient, ou surtous la sienne.

J'etait entrain de vivre le meilleur moment de ma vie. On était entrain de monter les marches pour accéder à la terrasse de mon mobile-home. Une fois devant la porte, je sort les clés de ma poche et j'ouvre la porte que je ferme directement une fois que l'on est tous les deux dedan, je tire ensuite le rideaux.
J'attrape ensuite sont visage, pour plonger mes yeux dans les siens et ensuite caresser ses magnifiques cheveux et commencer à descendre ma main sur son dos et l'embrasser langoureusement.
Il m'embrasse tellement bien, ses lèvres sont parfaites sur les miennes.
Je descend mes mains au niveau de son bassin, je continue de l'embrasser en le regardant, je suis légèrement baisser à cause de la différence de taille mais il m'a attrapé par le col de mon t-shirt.
Il décolle doucement ses lèvres douce des miennes, il commence à dénouer la chemise qui est attachée à ma taille et il se relève s'approche de mon oreille.

- J'en ai tellement envie.

C'est mots mon laissé sans voix, une partie de moi me disais qu'il était trop jeune, que l'on venais de s'embrasser, qu'il fallait prendre son temps.
Mais l'autre partie me disais : "Thomas pour une fois que tu aime vivre l'instant présent ne le gâche pas".
Je me baisse, et j'attrape ses jambes, il pose ses mains sur mes épaules et il m'embrasse, je le tien comme sa pendant un moment.
Il se retrouve au dessus de moi ducoup c'est lui qui attrape mon coup pour m'embrasser.
J'avance en l'ayant dans les bras vers la chambre de mes parents dans le mobile-home et je le dépose délicatement en tombant sur lui et en l'embrassant sur le lit.
Une partie de moi hésitait toujours à faire sa, mais je n'étais plus maître de l'instant, il passa ses mains sont mon t-shirt en les remontant pour me forcer à l'enlever délicatement.
Je me retrouve torse nu, il reste un instant comme si il contemplait mes ados et il lâche un rire sans que je sache pourquoi j'en fait de même et il me saute littéralement dessus, il dépose ses lèvres sur mon torse en l'embrassant, il descend pas loin de mes tétons et il s'arrête, il embrasse la peau légèrement transpirante à côté de mon téton droit et il commence à aspirer. Au bous de quelque instant il se retire avec un air de fierté en laissant dériere lui un petit sucon.

- Laisse moi marquer ton corps à mon tour.

Je voulais répliquer, je m'attaque à son coup que j'embrasse à plusieurs reprises le fessant échapper un orgasme, je rigole fier de mon acte et je commence à aspirer, à marquer son corps de ma présence, marquer mon appartenance sur sa douce peau.
On aurais pus s'arrêter à cet instant, il était jeune, sans doute inconscient de ce qu'il ce qu'il fesais, c'est ce que je pensais jusqu'au moment où il s'approche de mon bras sur lequel il remarque les pansements, je pensais que son visage se décomposerait mais il c'est contenter de s'approcher.
Il approche son visage, et d'un coup sec il arrache le première pansement avec ses dents, suivit des deux autres.
J'ai crié sur le coup, mais ensuite il a approché ses lèvres et à commencé à m'embrasser à cet endroit, bizzarement sans que je sache pourquoi cet endroit du corps semblais plus réceptif.
Il était sur moi à se moment la, il remontait le long de mon bras jusqu'à arriver à mon oreille.

- Je serrais toujours la... Pour toi... Je t'interdis de le refaire... Je t'aime.

Cette phrase ma fait extrêmement de bien.

- Si tu m'aime vraiment enlève moi se magnifique t-shirt.

Il s'exécute, à genoux sur moi. Je l'embrasse, en commençant à enlever son pantalon, doucement.

- Baptiste... Tu est sur ? Que tu veux le faire ?
J'hésitais encore, il était jeune pour sauter le pas.

- Chuutt, ne gâche pas ce moment en parlant.

Il semblait sur de lui, malgré qu'il avais l'air gêné quand même et tendu. C'était sa première fois, son regard en témoignait.
On avais pas énormément de temps,il fallait faire vite, je baisse rapidement son pantalon, il viré au rouge pivoine, il est gêné c'est absolument craquant.
Il a un boxer mauve de la marque Puma, je le plaque contre le lit et je commence a lui caresser l'entre jambe.
Je venais de reprendre le dessus sur la situation et sa semblais lui plaire,c'est sa que j'avais chez lui sont petit côté mignon.
J'avais encore mon pantalon sur moi, et sa semblais le perturbé.Il était perdu il ne savais pas quoi faire sa se voyais, il commençait à avoir vraiment peur.
Je me penche vers lui, en lui empoignant l'entre jambe et je lui chuchote :

-Ne t'inquiète pas sa va bien se passer mon coeur.

Il semblais encore plus gêné, je continuais à lui caresser la partie du corps qui semblais la plus chaude chez lui, et de l'autre main j'enlevais ma ceinture que je mis sur mon épaule pour me lever et ensuite enlever tranquillement mon pantalon.
Il était tellement mignon recroquevillé comme sa en boxer sur le lit.
Je m'approche de lui casiment dénudé je suis à quatre patte sur lui.

-Baptiste... Je t'aime.

Je ne lui laisse pas le temps de répondre j'abaisse son boxer,il gémis sans le vouloir sans doute. Il est extrêmement gêné, il ne sais pas quoi faire, quoi dire.
Je continue de le caresser senquellement, en accélérant, pour l'entendre pousser des petit cris aigus. Je l'embrasser de temps en temps, ses lèvres était tellement goûteuses, il avait une façon si sensuelle de me prendre les lèvres avec les siennes.
Du sang recommençait à couler délicatement sur mon bras, il s'approche de mon bras et met fin à cette goûté rougeâtre d'un coup de langue pour ensuite m'embrasser en amenant sa langue dans ma bouche, ma langue sentais ce goût de sang, le goût de l'amour sanglant...

✙ 28/07/2017 : Voilà c'est fini,j'espère que ce chapitre vous a plus, il était légèrement sexuel sans pour autant aborder les détails, j'en suis assez fière pour une fois.
Je suis encore désolé du temps que ce chapitre à mis à être écrit, c'est que je suis actuellement plus en France donc bon c'est un peut galère.
Pendant le mois d'août il devrait y avoir un chapitre ou plus par semaine normalement.
N'hésitez pas comme d'habitude à dire votre ressentis sur ce chapitre en commentaire et à voter.
Merci de suivre mon oeuvre sa me touche énormément ✙