Elle lisait, elle écrivait continuellement et tout le temps, une vrai passion qu'elle partage seul. Personne ne savais se que Éléna écrivait, pour toute personnes qui l'a connaissait, c'était un grand mystère. Elle plongeait littéralement dans les histoires qu'elle lisait, à chaque action, chaque moment triste et plein d'autre elle les ressentait. Cette petite Toulousaine ce sentant parfaitement bien dans son monde et dans sa peu était très heureuse dans sa vie. Toujours un peu effacée de la société elle s'en moquait, ses amis étaient des vrais.

Elle sortit de la classe, toujours en dernière comme à son habitude, Éléna traversa les couloirs immense de son lycée pour retrouver la cour. Elle s'assit sur un banc au fond de cette cour et sortit un gros livre de son sac. Même avec le bruit des élèves s'amusant elle arrivait à se concentrer et à imaginer son histoire.

Un roman d'amour avec une jeune fille d'un peut près son âge tombant sous le charme d'une gars complètement stupide mais irrésistible. Elle savait très bien qu'elle ne l'aurait jamais. Un jour elle fit tomber ses affaires par terre et ce charmant garçon l'aida à les ramasser et à partir de la allait naître une belle histoire.

Chapitre 25:

Cassandre avait toujours peur, peur de lui et des autres filles, elle pensait qu'il allait la trompé. Elle l'observait du fond de la classe, elle le voyait essayer de comprendre se que disait le prof de maths. Sa stupidité la faisait rire, même avec des cours particulier il ne comprenait toujours rien. La sonnerie retentit et elle sortit vite de la classe, elle traversait les couloirs d'un pas rapide mais elle sentit une main sur son épaule.

- Tu m'évite? Demanda-t-il

- Non, pas du tout c'est juste que j'ai envie de rentrer vite chez moi.

- Alors monte dans ma voiture je te raccompagne.

- Non c'est bon j'ai envie de faire un peu de sport.

Elle n'avait trouvé que ça comme excuse, mais il ne dit rien alors elle s'en alla presque en courant. Elle ne savait...

- Ana, tu crois qu'elle nous entend de la où elle est?

- Oui je te reçois Peter, rétorqua Éléna.

Peter et Ana étaient des faux jumeaux et ses deux meilleurs amis, les seuls d'ailleurs mais si elle était un peu absente. Elle leva la tête pour le regarder dans les yeux, ses tout petit yeux bleus.

- Un jour tu crois que tu vas lâcher tes livres et t'amuser.

- Je m'amuse moi.

- Ce n'est pas ça qu'il veut dire, commenta Ana.

- Alors que voulait-il insinuer?

Elle jeta un regard à Peter ne sachant pas quoi dire car il avait raison, encore une fois Ana avait parler pour ne rien dire.

- Ne t'inquiète pas j'ai compris, mais je ne suis pas prête à les lâcher.

- Mais nous aussi on n'est là, dit-il

- Je sais et je vous en remercie mais ça c'est monde.

- Sauf que nous aussi ont n'est sensé en faire partir.

- Mais vous en faites parti, avoua Éléna.

Un sourire s'afficha sur le visage de Peter après ce qu'elle venait de dire. Même après ses paroles elle se remit dans son livre en faisant abstraction de la conversation de ces deux derniers.

Elle ne savait pas pourquoi elle avait refusée, elle savait juste qu'elle avait besoin d'être seul et de réfléchir. En rentrant elle trouva sa mère sur le canapé de salle, elle redoutait se qu'elle allait dire.

- Cassandre?

- Maman?

- On part.

- Comment ça on part, répéta-t-elle.

Elle ne comprenait pas la situation, pourquoi devaient-elles partir?

- J'ai accepté un poste à l'autre bout du pays, nous sommes donc dans l'obligation de déménagé, je te conseille du courir voir Daniel et de lui dire au revoir, on part demain.

Elle jeta son sac sur le sol et partit en courant de chez elle. Elle courait dans les rues jusqu'à ce qu'elle n'en puisse plus. Elle s'arrêta sur un banc pour souffler un peu et se concentrer sur les événements précédés, la vue était magnifique, le soleil éblouissant lui brûlait le visage.

Quelques minutes plus tard Cassandre reprit sa course jusqu'à la maison de Daniel. Elle vit que sa voiture était là et elle frappa contre la porte assez fortement. La porte....

La sonnerie retentit pour signaler la fin de la récréation, elle ferma son bouquin et alla jusqu'à sa classe.

+ + +

- Éléna tu sors? Demandèrent Peter et Ana.

- Depuis quand je sors?

Elle les regarda mal, elle avait l'impression qu'ils la prenaient pour une débile.

- On sait jamais, un coup de folie.

Elle ne repondit pas à sa réponse et s'en alla, Éléna était partit pour cinq minute de marche avec de la musique dans les oreilles. Elle observait le monde qui se déroulait devant elle au rythme de sa musique. En ouvrant la porte de chez elle, elle ne vit personne se qui ne changeait pas de d'habitude, elle monta les escaliers toujours au son de la musique. Quand elle rentra dans sa chambre elle vit sa mère assise sur le rebord du lit.

- Je voulais te le dire quand tu serais rentrer, tu père ma appelé.

- Mon père, répéta-t-elle, il voulait quoi.

- Te voir, il ma dit qu'il nous avait pardonner et il aimerait que tu passe les vacances chez lui.

Éléna était complètement perturbée, après dix années sans le voir, le connaître, elle l'avait oublié.

- Je sais pas, arriva-t-elle à murmurer.

+

- Maman, où on va?

- Loin, très loin.

- Pourquoi? L'avait-elle interrogée.

- C'est compliqué Éléna je t'expliquerai plus tard.

Il faisait nuit et elles n'avaient que quelques affaires sur elles. La route leur avaient parue tellement longue.

Le lendemain elle étaient arrivées dans une grande maison ou seulement sa mère connaissaient les personnes se trouvant à l'intérieur, qui était finalement ses tantes. Pendant ce temps les horreurs de la veille lui était revenu. Ses parents se disputant tellement fort qu'elle n'arrivait pas à dormir, elle les avait vu et sa mère avait frappée son père.

+

- C'est comme tu veux.

- Je crois que je vais faire mieux, je vais habiter chez lui.

- Quoi!? Cria sa mère.

- Calme toi mais c'est toi qui ma privé de lui tu me doit bien ça.

Les traits du visage de sa mère était indescriptible, mais Éléna voulait connaître le gentil de l'histoire même si sa mère à toujours dit le contraire. Dans ce moment elle se demandait pourquoi elle l'avait suivi après se qu'elle avait vue.

- Alors appelle le, déclara sa mère.

Elle tourna le dos à sa génitrice, et descendit en bas dans la cuisine pour l'appeler tranquillement.

<< Allô? C'est Éléna >>

<< Éléna, je suis heureux de t'avoir au téléphone >>

Sa respiration était irrégulière, elle stressait énormément face à la voix de son père et à la réponse qu'il allait dire.

<< Maman m'a dit pour les vacances et je ne veux pas >>

<< Ah, je com... >>

<< Je veux venir vivre avec toi >>

Il ne répondit pas alors elle reprit la parole.

<< Elle me doit ça, maman m'a enlevé de toi, je sais se qu'il sait passer ce soir là >>

<< Très bien je te prendrais à la gare de Rouen >>

Il raccrocha, laissant Éléna seul avec sa mère qui avait entendu toute la conversation.

- Tu as vraiment tu vue?

- Oui, tout, renchérit-elle, tu as battue mon père et pourtant je t'es suivie et toute ses années je me suis tus et je t'es laisser croire que tu était la gentil mais je ne t'en veux pas à présent je m'en moque.

Sa mère ne dit plus rien et Éléna partit dans sa chambre.

De Éléna:

À Peter:

Retrouve moi sur le banc dans le parc.

De Peter:

À Éléna:

Très bien.

Elle partit en courant de chez elle, traversant les rues et bousculant les moitié des personnes se trouvant sur son passage. Elle s'assit sur le banc attendant son ami qui devrait arriver d'une minute à l'autre. Elle le vit arriver en marchant.

- Assis toi c'est important, dit-elle.

- Raconte moi.

- Je pars et je ne sais pas si je vais revenir.

- Comment ça?

Ses yeux étaient remplit d'incompréhension et d'inquiétude en même temps, et Peter la fixait comme un objet qu'il ne voulait pas perdre.

- Je vais aller vivre chez mon père, en Normandie, j'habitais là bas avant, avoua-t-elle.

- Quoi!

Éléna ne lui avait jamais parlée de son père ou de son ancienne vie, à chaque fois elle esquivait le sujet mais aujourd'hui elle voulait en parler.

- T'as un père, tu habitais en Normandie? Quand je vais dire ça à Ana.

- Non surtout pas, l'arrêta-t-elle, je ne veux pas, il n'y à que toi qui es au courant' je lui dirai juste que je pars.

- Mais qui maintenant va nous corriger quand ont ce trompe ou va nous déstabiliser quand on l'embête.

Elle se mit à rire, mais elle ce demandait si elle ne servait que à sa au sein de leur petit groupe.

- Quand pars-tu? Demanda Peter.

- Demain soir et j'arriverai le matin.

- Mais c'est dans le nord?

- Oui.

+ + +

La porte s'ouvra et Daniel en sortit. Cassandre était essoufflé et n'en pouvait plus elle voulait limite en finir avec cette histoire.

- Je m'en vais.

- De quoi tu parle?

- Ma mère à trouvé un nouveau boulot, à l'autre bout du pays, je suis tellement désolé.

Il était choqué, elle voyais et elle ne le supportais pas.

- Mais on peut rester ensemble Cassandre avec la webcam.

- Ça ne marche pas ses relations parce que un jour tu en aura marre et tu ira vers une autre fille.

- Mais moi je t'aime et pas une autre.

- Je sais et moi aussi mais c'est la vie.

Elle l'embrassa, sûrement pour la derrière fois, avant de repartir chez elle pour son vol.

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Hey j'espère que ce premier chapitre vous plaît et que l'histoire vous plaît.

Alors tout se qui est et sera en italique, veut dire que c'est ce qu'elle est entrain de lire ou d'écrire.

Merci d'avoir lu, à la prochaine lecture.