Chapitre IV
J'ouvris les yeux lentement et avec aucune envie. Je pris la peine de lancer une discutions avec mon démon. J'avais mal à la tête et au bras gauche. Je voulais lui demander pourquoi.
Hey ! Léo.
*Hein heuu hey ? Qu'est ce qui a ? Quand tu me parle comme sa sa veut dire qu'il va se passer quelque chose de grave...*
Quoi ?! Méchant ! J'te boude, voilà.
*Un vrai gosse.*
Et c'est toi qui parle ? Tu t'est jamais remis en question toi... Bref ! Tu sais pourquoi j'ai mal a la tête et au bras gauche ?
*Alors heuu surtout tu ne t’énerve pas...*
Je ne le sens pas là...
*Et tu as bien raison... Alors voilà. J'ai peut être un peu... souillé ton bras et tes cheveux...*
… Me dit pas que...
*Si. J'ai pas pût me contrôler après tellement de temps... Pardon pardon pardooooon !*
Pfff tu n'est pas possible... ne t'inquiète pas. Je ne t'en veux pas mais par contre j'aimerais bien savoir comment tu fais pour de telle connerie...
*Je suis un démon... c'est naturel pour moi de faire sa...*
Oui mais là... C'est vraiment... Enfin. Ce n'est que la partie haut de l'iceberg. On s'y habitue au bout de 12 ans.
*J'ai vraiment de la chance de t'avoir*
Ouais... bon je vais voir l’étendue de ta bêtise...
*Mhhh*
Je coupa le lien entre ma conscience et la sienne et me réveilla un peu mieux. Vraiment. Parler avec Léo peut être vraiment dangereux... surtout quand il y a une bataille de nourriture. Triste histoire quand toute la salle te vise parce que tu bouge pas d'un poil. Et la galère pour les habits... j'avais du m'habiller avec l'uniforme des filles... Bruuuh j'ai des frissons rien que d'y penser. Une fois bien réveiller je jeta un coup d’œil sur mon bras gauche et je vis qu'il était... noir. Entièrement noir avec des ongles blancs. Cet abruti c'est laissé allé... et pas qu'un peu. Je chercha du regard un miroir et en vit un accroché au mur. Je me leva assez difficilement et me dirigea vers le morceau rond de verre. J'ai jamais été aussi long pour marcher 5 mètres même pas. J'ai failli tombé un nombre incalculable de fois. J’arrivai essoufflé, devant le miroir, mains sur mes hanches pour reprendre mon souffle. Je suis toujours comme sa après que Léo m’ait piqué mon corps, fatigué, essoufflé et souffrant. Le moindre petit mouvement me fatigue à un point... je dois attendre au moins dix minutes avants de pouvoir me remettre à bouger comme avant. Le pire c'est que sa ne le fait que quand je suis éveillé. Quand je dors sa ne fait strictement rien.... a part me fatiguer encore plus. Je me releva tout en haletant et me posa devant le miroir. Mes cheveux était devenue d'un blanc neige et mes yeux d'un rouge profond. Sur mon front ce trouvé un espèce de tatouage. En plein milieu se trouvé un cercle avec à l'intérieur un dessins représentant une larme ou une goutte de couleur rouge. Le cercle était noir et des vagues formant un peu comme des cercles ce trouvé des deux côtés du cercles. (Vous n'avez rien compris, je paris T0T. C'est pour sa que j'ai fait un dessin -tout pourri- car je ne veux pas m'éterniser sur sa. Il est en haut 🔝) Je passa ma main droite dessus et resta un moment perdu devant le miroir. Je sortit de mon état de transe après au moins cinq bonnes minutes. Je m’étira et remarqua, avec bonheur, que je n'était plus sous l'emprise de la malédiction. Je baissa le regard sur mes habits et vit que j’étais habillé d'une chemise blanche à manches longues et d'un pantalon noir moulant. Ça devait être Dylan qui à dut choisir car il connaît bien mes goûts. Je sourit un peu et chercha une fenêtre du regard. J'en vit une qui était grande ouverte. Je courras vers elle et une fois arrivé devant celle ci, je posa mes mains sur le bord de la fenêtre. Elle était grande au moins un mètres de haut faite en bois et blanches. Elle avait des volet bleu ciel et il n'y avait pas de vitre mais il y avait quelque fragment de verre. Comme ci elle avait été brisée et qu'on avait enlevé le reste en vitesse. Je posa un pieds sur le bord et me hissa. J’étais accroupi, baisser un peu en avant et je voyait ma ville de là ou j’étais. Je regarda le jardin qui était à la fois en face et sous moi. Un jardin digne d'un roi avec une superbe fontaine orné de dessins d'ange en dessous et fait de marbre. Elle crachait de l'eau par un tout petit tuyau lui aussi fait de marbre que l'on voyait à peine. L'eau était d'un bleu envoûtant et se marié à merveille avec les fleurs bleu et blanches et les bancs ici et la de la place. Un petit labyrinthe se trouvé non loin de là et je vis un portique à l’intérieur du labyrinthe. Il y avait un petit dôme blanc avec sûrement une tables et quelques chaise en dessous, sans doutes blanches elles aussi. Je sourit à la vue de la nature d'une beauté à coupé le souffle et entendis Léo grogné. Je pouffa discrètement de rire et me laissa tombé. J’atterris sans aucune égratignure sur une place rond faites de pavé beige et chercha la sortie. Je la vis et me dirigea vers l'immense portail blanc et me retourna pour voir la demeure où j’étais il y a quelque instants. Je la reconnu tout de suite. C'était le manoir bleuté où communément appelé ''La demeure du ciel'' à causse du bleu de la même couleur du ciel et du blanc aussi blanc que les nuages. Je ne me posa pas plus de questions, sachant que c'était la maison d'Alex. Je sortit du manoir tranquillement car le portail était ouvert. Je rangea mes mains dans les poches de mon pantalon et commença à marcher vers ma mon chez-moi quand j'entendis un cri de femme. Je m’arrêta net et me retourna vers le manoir et vit une adolescente avec des cheveux blanc et des yeux rouges passé la tête d'une chambre. Sûrement la mienne puisqu'elle n'avait aucune vitre. Elle chercha quelque chose ou quelqu'un du regard, sûrement moi, et s’arrêta dans ma direction. Je sortit ma main gauche de mon pantalon et lui fis coucou timidement et je la vis me regarder avec panique.
« M-MONS-MONSIEUR !!! REVENEZ ICI ! »
Je me pointa du doigt et elle hocha la tête frénétiquement. Je me courba un peu en guise de « désolé » et lui fit non de la tête, gêné, et me mis à courir vers chez moi. Je l'entendis crier un « Revenez ! C'est trop dangereux pour vous de sortir to- » mais je la coupa en m’étend mes écouteurs, sons à fonds. Je courras au moins dix bonnes minutes avant de m’arrête, essoufflé, mains sur mes hanches comme tout à l’heure devant le miroir. Je me leva et chercha à me repérer. Je vis l'épicerie et compris que je n'était pas loin de ma maison. Je sourit un peu et me dirigea vers chez moi. Je marcha 8 petites minutes et m’arrêta, pile devant chez moi. C'était une petite maison fait de bois clair et un toit... en fait, il n'y a pas de toit. C'est juste du bois qui forme le plafond. Ma maison fait deux étages. Ma chambre se trouve au deuxième étages avec mon bure au, ma salle de bain et ma petite cuisine. Le rez-de-chaussée est le coin de mes parents adoptifs. J'ai encore du mal à les appelé papa et maman... Je les appelles par leurs prénoms... Je passa le petit portillons et sortit les clé de la maison qui était posé sur la commode de nuit à côté du lit sur laquelle je dormais tout l’heure. J'ouvris la porte et respira un bon coups avant de dire un « Je suis rentré » suivi d'un silence. Je devinais qu'il n'y avait personne, ils devait encore être en voyage d'affaire. Gabi -elle s’appelle Gabrielle mais je l'appelle Gabi- est une avocate reconnu dans le monde entier et Charly est un PDG d'une grande entreprise. Même si ils sont riches ils n'ont pas des goût trop... excentriques. Ils habitent ici depuis 10 ans et on voulu déménager à une époque mais je voulais rester ici avec Dylan et ils sont rester ici. Les voisin mais aussi les parents adoptifs de Dylan, sont les meilleurs amis de mes parents. Ils sont partit avec eux pour se reposer. Le père de Dylan est Caporal dans l'armé. Sa mère est une grande médecin. Ils sont aller avec mes parents pour ce reposer mais aussi pour voir si nous étions assez grand pour nous débrouillez. Ils nous on envoyais de l'argent chaque semaine : 100 pour moi et 80 pour mon meilleur ami. Il avait rouspéter pour sa et nos parents ont dit que c'était parce j’étais plus jeune que lui. Il m'a boudé pendant 4 heure avant de me demander de lui donner 10 euros comme sa on serait à égalité. J'ai accepter, trop malheureux de ne pas pouvoir voir son visage tout joyeux de d'habitude. Je sourit pour la je-ne-sais-combien-de-fois de la journée et me dirigea vers les escaliers. Je monta ceux-ci et alla directement dans ma chambre dont je claque la porte à peine rentré. Je me jeta sur mon lit et atterrit dans celui-ci sans aucune classe, je l'avoue. Je resta 2 bonne minutes là à ne rien faire, pas même respirer à causse des bruits venant du rez-de-chaussée. Je me leva doucement, sur mes gardes et ouvrit la porte délicatement. Je vis une ombre passé devant ma porte et partir vers mon bureau. Je fronça les sourcils et lâcha ma porte et m'avança à pas de loups jusqu'à mon bureau. Soudain, l'ombre apparut devant moi et je poussa un crie pas viril du tout. L'ombre se jeta sur moi et me fit tomber au sol. Il me plaqua au sol et se mis à califourchon sur mon bassin. Il me prit les mains et avança son visage devant le mien. Je me débattit autant que je pu jusqu'à que je reconnaisse la personne assis sur moi. C'est...
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