Chapitre II
Je me réveilla sur quelque chose de moelleux. J'ouvris légèrement les yeux mais les refermas directement car je me fit agressé par la lumière. Jabandonnais le combat contre la lumière et décida de me rendormir mais je ne réussit pas à m'endormir. C'est vraiment énervant. J'allais ressayer d'ouvrir les yeux mais je sentis une pression près de moi. Je ne bougea pas et préféra attendre ce qui allait se passer. Une main vin se poser sur mon front et j'ouvris les yeux. C'est là que je me rendis compte qu'il n'y avait pas de lumière, les rideaux sont fermés. Je fronça les sourcils suite à cette constatation. Je tournis la tête et vit Alex, Dylan et Renaud me regarder. Dylan, j'en été sur. Alex, un peu moins mais Renaud, là il y a un problème. Je cherché à qui appartient la main et vit que c'était Alex. J'asseyais de parler mais aucun son ne sortit de ma gorge, juste un petit grognement. Comme j'en avait marre de rester dans mon lit, j'essayais de me lever mais Alex me pris les épaules et me reposa doucement. Dylan, lui, se mis à mengueuler.
« Mais punaise Léon ! Pourquoi tu ne m'a pas dit que tu était malade ?!
-...
-Calme toi, Dylan. Il vient à peine de se réveillé. Et puis sa ne serait sûrement pas arrivé si l'autre ne lavais pas frapper.
-Je ne savais pas que la fille manqué était malade ! C'est pas ma faute !
-M'en fiche. Tu l'a quand même frapper.
-Chut ! Un peu de calme ! Léon à besoin de calme ! Si vous voulez aller vous battre faite le dehors.
-Tch, peste Renaud »
Ils ne dirent plus rien et le silence s'installa. Renaud sortit de l'infirmerie sans rien dire et Dylan le suivi. Alex resta avec moi et il me mettait une serviette remplis d'eau froide toute les 5 minutes. Je ne dit rien, étant trop fatiguer et légèrement nauséeux. Le mal de tête était toujours là mais était moins violent que tout à l'heure. L'envie de vomir, elle, commençait à partir. Quand à mon mal de ventre il a disparu. Pouf. Comme par magie. Jattendis encore 5 minutes et essaye de me lever. Alex me pris par les épaules et mobligea à me recoucher mais je me levais à chaque fois. Il souffla et abandonna. Je lui sourit et je m'asseis sur le lit. Il pris la parole pour me demander si sa va :
« Mais oui ! Juste un peu mal à la tête, je lui sourit en lui disant cela.
-Tu est sûr ? Pourtant tu avais l'air de souffrir quand tu t'était évanoui à la cantine.
-Oui mais sa va maintenant. Il est quel heure ?
-Il est 17 heure 20.
-Pas français, je souffla de détresse.
-Tu n'aime pas ? Pourtant tu est très bon en littérature et grammaire.
-Non, j'adore sa juste que la prof me fait flipper..., je marmonna dans ma barbe imaginaire. Avec ces yeux noir et sa peau blanche. On dirait un vampire immortelle qui aime la chaleur.
-Hein ? Mais elle ne fait pas peur ! Quoi que si ces goûts pour la mode sont très bizarre ?
-Toi aussi ? La dernière fois avec une robe en laine et un jogging En plein été en plus ! A croire qu'elle ne sens pas la chaleur ! Faut dire qu'avec son corps...
-Oui ! Je me deman- Comment sa avec son corps ?
-Hein ?
-Tu as dit ''Faut dire qu'avec son corps''
-Ah... j'ai parlé à voix haute... Bas enfaîte... comment dire... Elle a le teint pâle, TRÈS pâle et des yeux rouge qui te transperce. Elle à aussi de long cheveux blanc mais à l'air jeune. Je ne suis pas à l'aise avec elle. Et sa voix elle est douce et tentatrice. On dirais la luxure en personne.
- Tu viens de me faire la description d'une vampire là. Et quel belle comparaison !
-Je sais, c'est bizarre, pas vrai
-Mais tu n'est pas le seul à penser sa ! Je vois pareil que toi mais en moins bien précis. Des cheveux argents, des yeux bleu et un air assez vieux. Brian, lui un peu plus flou que moi.
-Brian aussi ? Pourquoi il ne me l'a pas dit ?
-Daprès elle et de ce qu'il m'a dit, c'est parce qu'il à peur que tu le prenne pour un fou et que tu l'abandonne.
-Mais jamais je ne ferais sa ! Il est mon meilleure ami, le seul et lunique. Je ne le laisserai jamais !
-Et moi, dit-il avec une légère touche de jalousie
-Bonne question je pense que c'est pareil.
-Et pourquoi d'après toi ?
-Question difficile je pense parce que j'ai l'impression de te connaître depuis toujours. On te cerne facilement et tu n'est pas du genre à laisser tomber tes amis. Tu est digne de confiance.
-
-J'ai dit quelque chose qu'il ne fallait pas ?
-Non juste que sa fait chaud au coeur.
-J'ai toujours eu les mots justes.
-Je viens d'en être la victime.
-Ahahah tu devrai devenir humoriste.
-Merci, j'y réfléchirais. Sinon, sa fait combien de temps que tu peux la voir ?
-Heu depuis un mois. Je ne l'ai reconnu quaprès une stupide bêtise fait en cours, elle m'a gronder puis m'a repris gentiment. Elle est la seule à se comporté comme sa avec moi. En plus elle est la seule prof de français dans tous le collège, j'aurais du m'en rendre compte.
-Maman poule ?
-Peut-être. Au fait, Alex, tu ne devrai pas être en cours là ?
-O-oui mais... heu... Comment dire c'est... Ah voilà ! Linfirmière nous à donner l'autorisation de rester ici !
-Il est vrai au moins ce mensonge ?
-Non. Heu je veux dire bien sûr !
-Mouais. Sa passe. Sinon, on ne devrai pas aller en cours ?
-Oui mais tu va arrivé à suivre un cours ?
-Mais oui, ne tinquiète pas.
-D'accord, je te fais confiance. »
Je lui sourit et essaya de me lever mais je retomba sur le lit. Je réessaya une deuxième fois et j'y arriva. Je vis Alex aller vers l'armoire à médicaments et pris son sac. Je vis mon sac à coté du lit ou j'étais couché il y a quelque instant. Je me baissa pour le prendre quand je fut pris d'un mal de tête encore plus violent qu'avant et je me laissa tomber à genoux, tête dans les mains. Je souffrais à mort mais essaya de retenir de petit cri qui voulait passer la barrière de mes lèvre. Alex se jeta sur moi et me demanda si sa aller. Je lui dit non de la tête et pointa ma tête, mon ventre et ma gorge. Je ne l'entendis plus et commença à minquiéter. Je leva la tête vers Alex et il me regardait avec inquiétude et... soulagement ? Et aussi de la joie ? Il se leva et sortit de l'infirmerie et me laissa tout seul. Une fois partit, je laissa passer de petit gémissement de douleur. J'attendis comme sa, mes mains sur ma tête qui était baisser et de petit gémissement de douleur qui sortait quelque fois. J'attendis au moins dix minutes avant que sa ne se termine. Je jeta un coup dil à l'horloge. Il est 17 heure 45, j'ai encore 15 minutes de cours en français. Je me leva et me dirigea vers ma salle de cours. Une fois arriver devant, je toqua et attendis. La porte s'ouvrit et ma professeur de français me souriait.
« Pourquoi n'arrive tu que maintenant, Léon ?
-Jétais à l'infirmerie Madame. J'ai fait un malaise ce midi et je viens à peine de me réveillé.
-Sa va ?
-Oui Madame, je vais bien.
-D'accord. Comme tu viens d'arriver et que tu ne sais pas de quoi on parle, tu peux te mettre à cotés de ton ami. Mais pas de bavardage autre que sur le cours.
-Oui Madame.
-Aller, va tasseoir. Et tu viendras me voir à la fin du cours. »
Je lui répondit d'un petit hochement de tête et me dirigea vers Dylan. Je me suis assis et ne lui dit pas un mot. Je lui en voulez pour ne pas m'avoir dit qu'il était passer par la même expérience que moi donc je lui fait la tête. Il me fit un petit coup de coude et je me retourna vers lui. Il minterrogea du regard et je souffla. Je pris ma feuille de classeur dont je suis sûr, n'aurait pas été remplis du cours mais de dessins. J'ai écris ''Je te le dirais après. Attend moi devant le portail du collège'' et la lui passa. Il me regarda en froncent les sourcils et il écrivit quelque chose. Il me rendit la feuille et je pu lire ''D'accord mais tu n'a pas intérêt à me mentir ou quoi que ce soit. Ah et je dois te prévenir que je vais à mon entraînement de tir à l'arc. Alors si tu me vois avec mon arc c'est normal''. Je lui répondit d'un petit hochement de tête et me concentra sur le cours. Bien que jétais légèrement mal à l'aise à causse des coups d'oeil que me lançais la prof et ses petits sourires, je réussis à comprendre l'Odyssée. Écouté ma professeure m'a donné envie de le lire. Il faudrait que j'aille à la bibliothèque pour le lire. Sérieusement. Ulysse à braver tout les danger, à attiser la colère de Poséidon et est revenue vivant d'autre épreuve encore plus difficile que les autres. Tout sa pour revoir sa femme, Pénélope et son fils, Télémaque. J'ai vraiment trop adoré !! J'ai vraiment trop hâte de lire ce livre !!! DRING DRING Zut. C'est déjà la fin du cours. Je rangea mes affaires et attendis à ma table que tous le monde sortent. Une fois tout ceux-ci sortit, je me dirigea vers Mme Laterre. Je m'arrêta devant son bureau et elle se leva de sa chaise. Elle s'avança vers moi et se stoppa devant moi. Avec mes petit 1 mètres 65 je vais pas la dépasser avec ses 1 mètres 76. Elle avança ses mains près de mon visage et caressa mes joues. J'eus un frissons en sentant ses mains froides sur mes joues. Elle sourit et approcha son visage du miens et posa son front sur le mien. Je ne bougea pas, bien trop surpris et déconcerté. Soudain, je fut pris d'un violent mal de tête et je me laissa tomber au sol, mains sur ma tête. Ma professeure me fit une révérence et s'agenouilla devant moi. Elle mis ses mains sur mon cou et s'approcha de celui ci. Elle me mordit et je laissa passer un petit crie de surprise. J'aller la repousser quand elle mis ses deux mains dans mon dos et me serra contre elle. Elle me remordit mais violemment cette fois. Je cria de douleur et je sentis comme deux dents pointu se planter dans mon cou. Je laissa mes bras retomber et des larmes coulèrent de mes yeux et je me mis à trembler de plaisir. J'avais chaud et je ne pouvais pas bouger. Elle arrêta de me mordre et lécha là ou elle m'avais mordu. Je continua à trembler et je ne sentais plus mon corps. Elle desserra son étreinte et me coucha sur le sol. Elle c'était assise sur ses genoux et posa ma tête sur ceux-ci. Je ne dis rien, bien trop engourdis et fatiguer pour faire quoi que ce soit. Elle s'approcha de mon visage et posa un bisou sur mon front. Mon mal de tête partit aussitôt et elle sourit en voyant que je ne grimaçais plus de douleur. Soudain, Dylan entra dans la classe. Il me regarda puis regarda mon cou. Il entra dans une colère noir et lança un regard remplie de haine vers notre professeure. Il s'approcha de nous et sortit son arc de sa sacoche. Il tira sur Mme Laterre et je me sentis porter. Je ferma les yeux et les rouvrit plus tard pour voir que j’étais dans les bras de ma prof et qu'on était sur son bureau. Dylan lui décocha un regard noir et je sentis un souffle chaud dans ma nuque.
« Mon Prince... vous êtes tellement délicieux... Mais avant toute chose, il faut vous marquer.
-Non ! »
J'entendis Dylan hurler et je vis Mme Laterre sourire et planter ses dents pointu dans ma nuque... Ou plutôt des canines. J'hurla de douleur, j'avais l'impression que quelque entrais par ma nuque de force. Je me remis à trembler mais de peur cette fois. Et de douleur. Je referma mes yeux et attendit qu'elle arrête. Quand elle arrêta, je me sentis tirer vers l'avant et atterrit dans des bras chaud et réconfortant. Je ne fis rien, je me laissa dans ces bras. Je leva la tête et vis Alex en train de pointer un katana vers notre professeure.
« En se rencontre enfin, Kululu Thépes.
-Tu me dis quelque chose...
-A-Alex ?
-Alex ? Ah ! Alex Jaller ! Mon précieux petit esclave... Je t'ai cherché pendant tellement longtemps. Et dire que tu à faillis me tuer ce jour là... Mais dit moi ? Tu ne déteste pas les vampires ? Après tout, c'est nous qui avons tuer toute ta famille et tes amis. Mais dans ce cas. Tu ne devrai pas le détester aussi ? Car après tout, il est aussi un vampire maintenant... Et pas n'importe laquelle...
-Comment sa ?! Que lui à tu fais ?!
-Oh mais rien. Je lui est juste éveillé sa nature de vampire... N'est-ce pas, mon Prince ?
-Hein ?
-Salope ! »
Alex me lança sur Dylan qui me rattrapa. J’étais encore sonner et je commençait à m'endormir. Je ferma les yeux petit à petit en voyant Alex en train dessayer de la blesser. Soudain, elle se téléporta derrière lui et aller lui transpercer le coeur quand je cria « Thépes arrête toi ! ». Elle sarrêta et se tourna vers moi, avec un sourire tout tremblant et ses yeux était remplie d'extase. Je lança un dernier regard inquiet vers Alex qui tremblait et m'endormis dans les bras de Dylan qui resserrait sa prise sur moi.
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