- Ok demain matin je viens te chercher Sophie, puis je fais demi tour, à demain.

Sur ceux je cours dans le sens opposé de ma destination, et lorsque je trouve un coin à l'abri des regards, je mis dirige pour me téléporter cher Forkle, et lui raconter la journée.

Le lendemain je me lève plus tôt ; fichu décalage horaire ; me prépare, attrape mon sac de cours, avec mes cahiers, et me téléporte chez Forklenator.

La première chose que je remarque fu l'absence du propriétaire, puis des aboiements venant de dehors. Lorsque je m'approche je remarque un homme blond au yeux bleu, qui avançais vers Sophie, qui tenais une petite boule de poile dans ses bras.

Sophie semblait en pleine réflexion, et alors que l'homme continuait à s'approcher d'elle, Mr Forkle s'interposa et lui dit quelque chose.

Ils se regardèrent dans le blanc des yeux, avant que Sophie ne lâche le chien. Le joggeur parti à la suite du chien pour le courser, et fini par disparaître.

Je toque à la porte que Sophie venait de refermer.

- Sophie c'est moi, dit je et l'instant d'après la porte se rouvrit, salue Sophie sa vas ? 

- Je... oui vient rentre.

Je lui souri en fronçant les sourcils.

- C'était qui le type blond qui étais chez toi ?

Sophie soupire avant de hausser les épaules.

- Je sais pas trop un type qui promenait le chien de sa sœur un truc du genre

- Mouais, répondais je pas convaincu, il était bizarre et ... différent.

- Comment sa différent, demanda t elle.

- Je ne sens pas c'est émotions comme pour le reste, elle ouvrit grand les yeux et je rigole, je ne te l'ai pas dit ?

Elle me fit non de la tête et je lui explique.

J'arrive au lycée avec Sophie,tout le monde nous regardait bizarrement, mais je continuais à discuter avec Sophie.

La sonnerie retentit et je me téléporte dans un arbre non loin de Sophie et lorsque je vois Fitzroy la tiré en arrière, je les laisse discuter et lorsque je vois Sophie commencé à paniquer en regardant un point, j'apparaître dans leurs dos.

- Il est là, le type qui à essayer de m'embarquer.

- Où demande Fitz. 

Sophie pointe un endroit ombragé du doigt, et Fitz sortie sont éclaireur.

- Je ne vois personne mais filons d'ici, dit Fitz, et ils ne vaut mieux pas les faire attendre.

- De qui ?

- Surement sa famille, dit je un sourire au lèvre à cause de leurs étonnement, et ceux qui vont nous faire passer le test.

Fitz me regarde surpris et fronce les sourcils.

- Tu viens de dire à Sophie qu'il était inégal de lire les pensées des gens sans leurs accords et c'est pourtant ce que tu t'apprêtes à faire.

Il baissa la tête, et nous sautions.