La guerre est finie, Bernadette n'en revient pas...

La guerre est finie, Hitler est mort et de nombreux soldats vont être décorés, à titre posthume.

Malgré cette nouvelle, la résistante a un lourd deuil à porter, celui de la perte de ses amis, sur son groupe, peu sont encore vivants.

Parce que cette guerre n'a pas seulement tuée des soldats mais aussi des civils, et parmis ces civils, des engagés qui savaient très bien ce qui aller leur arrivés mais qui étaient prêts à mourir pour la liberté.

Elle est tout de même effrayée par rapport à son amour, Marcel. La femme d'origine sicilienne a lu toutes ces lettres.

Nombreuses questions tournent dans sa tête, la première : Est-il encore vivant ?

Bernadette sait très bien que même si il revient, Marcel sera mort quelque part.

Les blessures de guerre ne sont pas que physiques mais aussi mentales.

Bernadette a été témoin de certains rescapés au début de cette guerre qui se sont volontairement mutilés pour ne pas rester là-bas.

Le peu de temps qu'ils sont restés les ont déjà profondément marqués...

Alors elle n'ose imaginer ce que cela donne avec une personne qui y a passer six ans, voir plus...