01

Chère Toi,

Tu es si absente,

Sortie de mon imaginaire.

Tu es devenue si absente ces derniers temps. Où es-tu passée ? Toi que j’aimais tant. Tu n’aurais jamais du partir. Tu n’aurais jamais due me laissée seule.

Mais où-tu passée bon sang ? Tu n’avais pas à partir ainsi, du jour au lendemain. Me laisser seule ? Es-tu devenue folle ? Sans toi, je ne suis plus qu’un petit rien, qu’un petit bout d’humanité détruite.

Ton absence me fait plus mal qu’une chute du haut d’un gratte-ciel de New-York. Tu as toujours été à mes côtés, depuis le début de ma vie, et là, du jour au lendemain, tu me laisses en plan, toute seule ? Comment as-tu pus me faire ça ? Moi qui t’aimais tant. Je n’appelle pas ça, me faire du bien.

Je ne suis pas bête non plus. Tu n’aurais jamais due me laissée seule. Comment veux-tu que je te pardonne maintenant ? Ce n’est pas dans mes cordes, excuse-moi. Je sais faire plein de choses, pardonné n’importe quoi, sur un coup de tête, mais, tes années d’absence, ça, je ne saurais jamais te pardonnée.

Je ne peux pas te demandée de m’oublier, parce que comme moi, tu n’y arriveras pas. J’ai besoin de toi, comme jamais. J’avais jamais eue autant besoin de toi, et durant toute cette période, tu n’as jamais montrée le bout de ton nez.

Ce n’est pas maintenant que tout va mieux, que je vais te laisser rentrée à nouveau dans ma vie, ainsi. Je suis en colère, oui, mais j’ai mes raisons.

Tu m’as laissée seule, en plan, avec toute ma vie à gérée. Je ne connaissais encore rien de ma vie. J’étais dans ma période noire de ma vie, juste avant, tu es partie. C’était peut-être sur un coup de tête, je ne sais pas. Mais ce n’est pas maintenant que j’ai gagnée la guerre, que tu dois revenir. Je n’accepterais jamais, ton retour imminent et ta façon si naturelle de me rappelée que tu avais toujours été là pour moi.

Oui, tu l’avais été, mais dans les moments les plus durs, je ne t’ai jamais vue à côté de moi. Ce n’est pas en revenant comme si de rie n’était que tout va s’arranger non plus.

Fuir ne sert à rien. Tu aurais due me soutenir, dans cette période de ma vie, mais au lieu de cela, tu t’es barrée du jour au lendemain, me laissant seule au réveil, avec mon cœur à moitié vide due à ton absence. Depuis, la partie de mon cœur que je t’accordais, est toujours restée vide. Jamais, elle n’a été réoccupée. Peut-être que j’aurais due. Je t’ai laissée des milliers de messages, provenant de mes cordes vocales, de mon cœur, de mon cerveau, les laissant s’échapper dans l’air de ton absence, mais jamais tu n’y as répondue, comme si tu ne les avais jamais reçues.

Ce n’est pourtant pas une raison valable, pour mon cerveau ça l’est, mais pas pour mon cœur. C’est lui au plus souffert de ton absence. Tu coulais dans mes veines, tu me faisais respirée, et pas que la joie de vivre. Tu étais à côté de moi, tout le monde. On croyait que je parlais dans le vide, mais je te parlais à toi, qui me répondais par des mots doux.

Il n’y avait que toi, pour me répondre toutes ces paroles, que pour les pondre ainsi soit-il.

Tu avais ce don, pour me redonné le sourire, lorsqu’il perdait toute sa splendeur et qui se noyait dans le néant des gamineries d’enfants. Parce que même si je n’étais pas un ange, contrairement à toi, j’étais bien plus gentille que la plupart des jeunes de mon âge.

Plus je grandissais, moins tu n’étais à mes côtés, mais malgré que tu ne sois plus à côté de moi, tu revenais comme même.

Mais il y eut, se jour froid et pluvieux d’automne. Il y avait de l’orage. Ce fut une mauvaise nuit pour moi, je n’arrivais pas à dormir, mais le pire, fut, le réveil, quand je me rendis compte que tu n’étais plus à côté de moi. J’avais beau t’appelée, tu n’as plus jamais épointée le bout de ton petit nez tout fin.

Plus les jours passaient, plus j’avais mal de ton absence. Je m’en accommodais. Il fallait bien, puisque je me disais, que c’était fichu, que je n’allais décidément plus te revoir.

Mais aujourd’hui, tu es en face de moi, avec encore ce petit sourire anodin et mignon que tu avais déjà quand tu étais petite. Tes petites pommettes et fossettes que j’adorais contemplée. Tes tâches de rousseurs et ta chevelure blonde ressemblant à de l’or que j’aimais tant touchée. Il n’y a que toi, que pour sourire de cette façon-là. Personne ne sait te retirée ton sourire.

J’ai pourtant si envie de l’enlevée, parce que c’est comme s’il me narguait. Je l’envie. Il est arrogant pour mon cerveau et si pur pour mon cœur. Je suis dans un entre-deux. Je ne sais pas si je dois suivre la voix de mon cœur ou de mon cerveau.

Tu me disais toujours dans ces cas-là, « suis la voix qui te semble la plus juste. », je ne sais même plus si je dois toujours te faire confiance ou non, si ce que tu dis est vrai.

Je me suis retrouvée trop longtemps toute seule, sans toi, que pour te pardonner en un claquement de doigts. N’espère plus rien de moi. Tu es partie trop longtemps. Tu m’as laissée trop longtemps dans mon pétrin, dans mes ennuis, sans rien faire, sans même me tendre une perche, me laissée te revoir à nouveau. Tu es partie comme si de rien n’était, comme si je n’en valais pas la peine, que tu avais mieux à faire que de m’aidée, comme si tu avais mieux à faire autre part, comme si je n’étais plus rien à tes yeux, comme si je n’étais qu’une bonne à rien que plus rien ne pourrait me sauvée.

Je me noyais sans toi à mes côtés. Je n’étais plus qu’un tas d’os et de chair qui déambulais dans les rues, sans but, sans joie de vivre, qui laissait la routine quotidienne de la vie me brisée. Je n’avais plus vraiment d’endroit où me tenir, quand je chutais, je tombais ainsi dans le néant.

Les temps ont changés, tu sais, ce n’est plus du tout la même chose. Des moqueries et gamineries d’enfants de primaires et de maternelles, je suis passées à celles des secondaires.

La motivation d’être la meilleure, l’esprit de compétition, ce n’est plus du tout dans mes centres d’intérêts.

J’ai mal au cœur, du fait de ton absence si longue, et de maintenant, te revoir, toi et ta si belle minette, qui maintenant me complexe. Tu es si belle, si gentille, si ressemblante à un ange descendue du ciel, si mince. J’aimerais tellement être toi, mais il y a comme même quelque chose qui m’empêche de vouloir totalement l’être. Fuir. Je n’ai pas envie d’être une lâche comme toi, d’être une lâcheuse comme toi. Je veux être forte, plus que je ne le suis déjà.

Sans toi, j’en ai déjà bavée. Je sais me débrouillée toute seule. Je n’ai plus vraiment besoin de ton aide. Même si je dois l’accordée que ta présence m’aurait bien été utile de temps à autres.

Je suis grande maintenant, je sais me débrouillée toute seule avec mes problèmes, je ne suis plus cette petite fille qui se réfugie derrière les jambes des plus grands. J’ai passée ce stade depuis longtemps, et sans toi.

C’est peut-être pour ça que tu es parties enfaite. Tu voulais que j’ose affrontée la vie, de face, et pas derrière un bouclier. Mais, sais-tu, que parfois il vaut mieux comme même se protéger ?

Je n’ai plus besoin de toi. Il n’y a pas si longtemps encore, je t’aurais grand ouvert les bras, en te serrant fortement, mais, ce n’est plus le cas. J’ai grandie. Le temps a eue raison de moi, comme ton absence. Tu n’es pas si parfaite que je ne le pensais. Tu as encore des pas à faire avant d’arrivée au même niveau que moi.

Avant, c’était toi, la plus douée, la plus grande, la plus avancée, maintenant je t’ai devancée, parce que moi, je ne suis pas partie, moi, je ne me suis pas éloignée, moi, je ne me suis pas enfuie de peur, moi, je suis restée pour affrontée les choses en face. Tu as profités du faite que tu pouvais partir, contrairement à moi, pour t’enfuir, les jambes à ton cou. Tu ne représentes plus autant que ça à mes yeux. Tu es même qu’une erreur du passée. Je n’aurais jamais due t’acceptée dans ma vie.

Avant, je comptais tes défauts sur les doigts d’une main, même pas, maintenant, je peux en rajoutée encore et encore, en obtenant pour finir, plusieurs mains de défauts te qualifiant. Je n’avais jamais remarquée, qui tu étais réellement. Manipulatrice. Orgueilleuse. Arrogante. Méchante. Odieuse. Destructrice. Avare. Radine. Raciste. Égocentrique. Excentrique.

Tu avais tout pour toi, dans le passé, maintenant la roue a tournée, et c’est moi qui contrôle tout. Je ne me laisserais plus jamais avoir. Pendant tout un temps de ma vie, j’étais comme ton chien. Maintenant, je suis moi, et je ne te laisserais plus faire. Je suis maître d’une partie de ma vie. Parce qu’il y a toujours une partie de notre vie que nous ne contrôleront jamais, c’est bien connu, contrairement à toi, toute entière.

De toi, je n’ai retenue que ton absence ou presque. Je n’ai presque plus aucun souvenir de toi.

Peut-être que c’est un signe, pour dire, que tu ne représentes rien pour moi, que tu n’en valais pas la peine tout compte fait. Tu tentais de me rassurée, mais souvent c’était plutôt toi, que tu tentais de rassurée.

Cela fait mal de savoir que tu ne vaux rien pour quelqu’un, que tu aimes pourtant, enfin si tu m’aimes. Parce qu’à ton absence soudaine, c’est ce que j’ai ressenti. C’est ce qui m’a tiraillée les entrailles. Ne fait pas non plus ton innocente, en me disant que tu es désolée, alors que c’est tout le contraire de ce qui passes dans ton cerveau. Tu m’as fais assez de mal, que pour encore m’en faire. Je ne suis plus cette gamine qui croit en tout et n’importe quoi, je ne suis plus naïve, on ne peut plus m’utiliser comme on utilise un mouchoir. Je ne suis plus celle que j’étais enfant. J’ai compris maintenant. Ton absence m’a fait du bien et du mal. Le fait que tu sois partie, t’a causée beaucoup de tord maintenant. Je ne suis plus là pour ramassée les dégâts derrière toi. Je n’ai plus cette utilité-là. Cela fait mal plus du tout la valeur que tu avais pour les autres, que tu ne représentes plus rien, que tu n’es plus qu’un bref souvenir de leur passé. Je sais ce que c’est. Ton absence a causée ta perte. Ton absence m’a ouvert les yeux, au fil du temps sur la personne que tu es réellement.

Je ne suis pas une bouffonne non plus. Je vaux bien plus que toi. L’élève à dépassée le professeur, sans même avoir besoin de lui plus longtemps à ses côtés.

J’aimerais juste avoir plus facile de te rayée de ma vie. Saches que ce n’est pas si facile que de le dire, que de l’écrire.

Tu es parties comme ça, et tu reviens comme ça, comme si rien ne c’était passer entre temps, mais je ne suis pas conne non plus. Je vois les choses en face maintenant, je comprends vite à présent. Je ne suis pas tordue comme toi, prenant du plaisir à descendre les autres. Le seul plaisir qu’il me reste, c’est d’être en dehors des conflits, de ne plus t’avoir constamment en face moi.

Tu es partie alors que j’étais loin d’avoir un équilibre constant, et maintenant que j’ai un pseudo équilibre, tu re pointes le bout de ton nez. N’espère pas que je vais te ré acceptée comme ça, parce que jamais je ne le ferais.

Je sais qu’il ne faut jamais dire, « jamais », mais, je n’en ai aucunement l’intention de te ré acceptée dans ma vie. Je ne suis pas suicidaire non plus, parce que je sais que tu vas causée ma perte.

Je ne suis pas aussi folle et mal en point que pour faire une chose pareille, c’est bien tentée mais non. C’est dommage que le temps nous ait éloignés ainsi, mais c’est pour mon bien.

La roue tourne. Mon passé était douloureux. Maintenant, c’est autour de ton présent, et bientôt ton passé, à l’être, et plus au mien.

Je te souhaite un bon voyage dans le gouffre de la douleur. Tu ne fais plus partie de ma vie, à présent. Tu n’es plus qu’une trace de mon passé, enfuit dans ces mots. Tu n’es plus rien à présent, je t’ai comme tuée. Tu n’es plus en moi, ni dans ma tête, ni nulle part autre. Plus rien.

Au revoir. Ne sois pas navrée de tout ce que tu as commis dans ta vie, parce que la seule personne qui t’en voudra jusqu’à la fin de tes jours, se sera toujours toi, et uniquement toi.

Merci, Toi, de m’avoir appris quelques leçons sur la vie et ses erreurs. Merci, pour tout et pour rien, parce que malgré tout que tu n’en valais pas la peine, je sais maintenant, qu’il existe très peu de personne qui en valles vraiment la peine.

Ce fut un plaisir de te connaître.

Mais aussi tout le contraire.

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