unique
L'orage gronde.
Le ciel est gris ça noie mon envie.
L'air est trop lourd, le vent trop fort et j'en ai le souffle court.
Tu vas bientôt arriver...
Les nuages seront percés.
Ô pluie que je ne t'aime pas,
tu fais coller mes cheveux à mes joues,
couler mes yeux,
et tu te confonds à mon chagrin.
Tu accompagnes mes mélancolies,
trop de mes insomnies.
Je t'écris ma haine,
mais je te jure que je t'aime.
Mince j'ai dit le contraire plus haut.
Mais nous deux c'est l'amour vache,
on s'éloigne, on se rapproche puis ça fait des tâches.
C'est toxique c'est fragile, ça pique.
T'es la quand je regarde le plafond,
Quand je suis dans les tréfonds.
Quand tu tapes contre mes fenêtres,
c'est beau, tu touches mon être.
J'essaie pas de faire de la poésie...
Juste de te dire merci.
T'aurais pu me quitter y'a longtemps,
mais moi, j'ai que toi cher temps .
Que Zeus te fasse revenir.
Ici y'a des choses à faire vivre.
Des fleurs ou mon coeur,
mais surtout mon coeur.
Tu dois rencontrer le soleil,
Et nous faire voir des arc-en-ciel.
Reviens vite.
Tes gouttes me manquent et ça me tourmente.
Quand tes pas la en réalité je suis triste.
C'est fade, sec, je m'ennuie.
Je veux entendre les cliquetis sur mes volets.
J'ai besoin d'être consolée.
Je suis comme un putain de désert,
j'ai besoin que tu me serres.
Nous deux on va tellement bien ensemble.
Même si je suis trop tremblante.
T'as beau me déranger quand tu viens te déposer sur mes lunettes.
T'es tout le temps dans ma tête
et puis au fond, toi et moi on se ressemble.
Et puis ..on s'assemble.
Je sais que t'es triste,
hein je sais que t'es triste
Tu dégoulines.
Tu tombes, tu t'arrêtes puis tu retombes.
J'aimerais te relever et t'élever,
te voir vagabonder.
Et puis je me rend compte;
Que t'es exactement là,
là où tu devrais être.
Peut-être que c'est moi qui devrais te laisser.
Mais je suis trop lassée,
lassée du beau temps et de la chaleur,
je préfère bien trop ta fraîcheur.
J'aime tant ton déluge,
et toutes tes effluves.
Quand tu passes à travers les réverbères,
et que le temps d'un instant mon humeur n'est pas amer.
Tes comme une berceuse,
Je suis sûre que tes musicienne.
C'est apaisant comme une pommade à l'arnica.
Mais un jour tu m'abandonneras.
Dit moi le contraire je t'en supplie,
dit moi que je reverrais les larmes des cieux.
Dit la haut qu'ils ne soient pas trop capricieux,
et qu'ils te rendent à moi.
Un jour, demain ou dans un mois,
je serais la.
Ici ou sur le toit,
sur un banc ou sous un préau,
dans ma chambre ou la haut.
Éveillée ou en dormant,
muette ou chantant.
Puis ne m'oublie pas.
Ne me laisse pas seule ici bas.
À toi maintenant, je voue mon combat.
Habille toi de nuages,
Et ne te suffis pas qu'à être un mirage.
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