Daliluxe_ Fais pas attention au fautes 😔

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La ville de Tokyo était belle, malgré le temps maussade qui résidait en cette fin de novembre.
La période où les gens préféraient être assis bien au chaud dans leurs domiciles, a boire un bon chocolat chaud que d'être dehors sous le temps mauvais et la pluie qui ne cessait de tomber.
Cependant notre Roronoa en avait décidé autrement. Après tout cette bel algue n'était pas du genre à suivre la norme. Non du tout.

Sa journée de travail venait de se terminer. En tant que policier il avait bien sûr une journée assez chargée, étant donné qu'il habitait dans la capitale.

A noter que monsieur ne travaillait pas spécialement pour l'argent. Ayant déjà reçu un grand héritage d'une ancienne tante milliardaire jusqu'au os.

Il aimait juste beaucoup utiliser sa matraque. (Quand il le fallait bien sûr). Puis ça lui permettait de ne pas paraître au chômage.

D'ailleurs c'est même grâce à ce boulot que le Marimo avait croisé la route du jeune délinquant Daishi. M'enfin délinquant c'est vite dit, a part télécharger des films de façon illégale, ce jeune homme n'avait pas commis de grands crimes.

Zoro lâchait un long soupir, sa journée venait tout juste de se terminer. Il laissait tomber sa veste et vint s'affaler sur le canapé, desserrant sa cravate, une bouteille de saké à la main. Il n'eut le temps de le porter à sa bouche, son téléphone vibrait annonçant la venue d'un message.

D'un regard intéressé, il y portait son attention :

Daishi
Pelo ? Tu te souviens hier quand tu es venu chez moi, et par la même occasion j'ai eu la bonté de te passé une bouteille gratis ?

- M'en souviens pas.

Si il s'en souvenait, c'était même celle qu'il avait en main a l'instant.

Daishi
J'estimais que les algues  avaient une meilleure mémoire...Allez sérieusement, j'ai envie d'un burger king, invite moi et t'auras mes fesses en cadeau

Les propos de Daishi n'étonnait pas Zoro, il était totalement habitué à entendre ce genre de chose, l'une des premières choses qu'il avait remarqué chez lui d'ailleurs, son "ouverture" d'esprit.

- 19h30.

Daishi
Je serais à l'heure.

Zoro reposait son téléphone, buvant alors un verre de cette bouteille d'alcool. Il grimaçait aussitôt.
Cette alcool n'était pas bon.

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Zoro râlait une énièmes fois, s'étant encore trompé de chemin. Il y avait de quoi plomber son humeur qui de base n'était pas très positif, assez grincheux sur les bords on va pas se mentir.

Cependant son portable vibrait une nouvelle fois, le vert le prenait d'un léger mouvement fatigué :

Daishi

Un léger sourire imperceptible vint s'afficher sur le visage habituellement neutre du Marimo.

« - Tss. »

Ainsi le jeune homme arrivait au lieu indiqué,
La porte glissait sous sa poussée et une tête brune apparut à son horizon, assis tranquillement sur une table.

A la vue du Roronoa, le brun le saluait, un sourire au lèvres.

« - C'est pas trop tôt. j'ai déjà précommandé, il te reste plus qu'à payer.»

« - Hm. »

Il acquiesçait doucement et ses yeux glissèrent vers le reçu, qui était plutôt imposant effectivement, Daishi ne se gênait jamais pour profiter, il le savait.

Cependant il ne râlait pas. Allant chercher leurs plateau.

« - Bon appétit ! » avait gentiment souhaité le brun, qui ne reçut qu'un léger grognement de la part du vert.

Une petite discussion banale s'installèrent entre les deux, et par je ne sais quel miracle, (sûrement Zoro) le sujet de l'alcool fut abordé.

« - L'alcool que tu m'as donné hier était vraiment pas bon. Je sais pas d'où tu le sors. »

Le brun rigolait légèrement, n'ayant pas l'air très surpris :
« - C'était juste de l'eau dans une bouteille, auquel j'ai rajouté une légère dose d'alcool. »

Le vert grognait de mécontentement. Sirotant sa boisson.

« - Tu me dois doublement quelques choses, alors. »

Daishi souriait. Un sourire malicieux, et se penchait légèrement vers Zoro, chuchotant alors :

« - Pourquoi se contenter d'une bouteille alors que tu peux avoir bien plus...? »

Le ton de Daishi était formel dans le sens ou il voulait dire ce qu'il voulait dire.
Et Roronoa l'avait très bien compris.

Il penchait sa tête sur le côté, une légère mine intéressée. Il répondait de voix basse.

« - Ça te dit qu'on passe notre nuit dans l'hôtel le plus cher de la ville ? »

Daishi abordait un grand sourire et lui offrit un beau clin d'oeil.

« - Avec plaisir. »

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En une poignée de seconde, la plus belle chambre leur était attribuée, Zoro s'étant seulement contenté de poser une grosse liasses de billets sur le comptoir sans aucun dialogue. La dame de l'accueil avait bien sûr fait son travail leur attribuant une chambre de luxe.

Daishi entrait dans la chambre, qui donnait grande vue sur la ville du a sa baie vitrée, le lit était positionné de sorte à ce qu'on puisse avoir une vue panoramique sur la capitale, ainsi qu'un jolie spa, tout cela intégré dans cette grande pièce.

Mais bon, ils n'étaient pas venu pour une petite visite loins de la.

Dès qu'ils furent dans l'enceinte de de cette chambre d'hôtel, Zoro plaquait le brun contre le mur et l'embrassait langoureusement. Leurs langues dansèrent ensemble quelques longues secondes jusqu'à que le plus âgée rompe le baiser, s'écartant légèrement, plongeant son regard dans celui de l'autre. Il soupirait légèrement fermant les yeux.

Ils pouvaient bien se permettre un petit péché tout de même.

Les deux amants basculèrent alors, tout deux sur le lit, surface parfaite pour ce qui allait suivre.

Leurs mains se baladèrent, chacun sur le corps qu'ils convoitaient, de manière réciproque, sans aucune timidité. Daishi venait déboutonner sa chemise , la laissant glisser sur ses épaules, dévoilant ainsi un torse parfaitement sculpté dont il ne s'abstenait pas d'y promener ses mains.
Zoro vint de nouveau l'embrasser, avec plus de hargne que tout à l'heure. Ses mains qui caressait l'entièreté de son corps trahissait le désir qu'il éprouvait pour lui.
Le haut de Daishi s'envoler a travers la pièce, le plus âgée voulait laisser trace de son passage. Ainsi donc qu'il parcouru ce jolie torse, de marques violacées, alternant parfois avec de simples baiser.
Petit à petit les vêtements s'éclipsèrent. Plus aucune barrière n'existait entre eux.
Les caresses se firent plus osé, les baisers plus chaud, la température augmentait.

Le Roronoa rompit le baiser. La patience n'était pas son fort, il voulait passer au choses sérieuses.
Il redressait alors le haut de son corps. Regardant le plus jeune avec envie. Il saisit avec fermeté ses hanches, et le retournait.
Daishi compris et se mit en bonne position. Le vert le dominait fièrement, se tenant juste derrière lui.

Ses mains parcouraient le corps du plus jeune. C'est alors que Daishi sentit quelques chose en lui, comme ça, d'un coup seul, il venait de le faire sien.
Son souffle se coupait, et ne reprit qu'au rythme des brusque coups de reins que Zoro lui offrait.
La douleur était présente, mais le plaisir et l'adrénaline dominait cette sensation.
De toute façon, il voulait cela autant que lui. Ce besoin qui consumait toute pensée cohérente, en un brasier de désir infernal. C'est ainsi qu'il lui intimait d'accélérer, ce que le vert ne se tardait pas d'exécuter, le sentant plus a l'aise.

Il n'était pourtant pas vierge, mais il fallait dire que le Roronoa était une grosse pointure dans tout les sens du terme.

Les coups de reins du vert se firent plus intenses, faisant des vas et viens au brun qui se cramponnait aux draps pour encaisser les assauts du Marimo.
Ainsi fut lâché, le premier cri de plaisir d'une longue série de la part du brun. Ce son procurait d'ailleurs un millards de frissons chez le dominant.

Plus le temps passait, plus les coups de bassin se firent plus insistant. Procurant un grand plaisir partagé chez les deux partenaires.
La notion du temps était perdu. Mais ce qui semblait durer une éternité les emportait tout droit vers le septième ciel.

Zoro était là, chaud, le faisant devenir fou, jusqu'à lui faire apercevoir des étoiles sous ses paupières fermées...Et il finit par être inondé de la jouissance qui le désarmait complétement.

Le Seme l'accompagnait, et il venait alors en lui, savourant chaque seconde de cet instant magique qu'il venait de lui offrir.

Après un petit moment de récupération, il se retirait, pour se laisser tomber au côté du plus jeune, venant l'embrasser chastement. Chacun reprenaient leurs esprits, après cette séance qu'ils avaient tout deux partagés.

Et le sommeil finit par les emporter.

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Le lendemain. Après cet épisode plutôt bestial, le jeune Daishi se réveillait de bonheur, là chambre encore plongée dans le pénombre, l'automne faisait son affaire, le soleil ne se lever pas de sitôt.

Le jeune homme s'apprêtait à se redresser mais deux bras puissant l'emprisonnèrent l'empêchant d'aboutir à son action. Une voix rauque résonnait près de son oreille. Le ton légèrement cassé de celle-ci signifiait bien qu'il venait de se réveiller.

« - Où tu vas ? »

Alors que le brun s'apprêtait à répondre, une paire de lèvres vint se poser sur les siennes, lui arrachant un léger sourire. Il dit alors, d'un petit ton taquin :

« - La séance de cette nuit ne t'as pas suffit ? »

L'interpellé rompit le baiser, laissant glisser ses lèvres dans le creux de son cou, pour souffler :

« - La nuit est pourtant loins d'être terminé... »

Ses mains glissèrent sur la peau encore nu, alors que le brun se laissait mener. Ce n'était pas pour lui déplaire après tout.

Daishi fut alors poussé, dos contre le matelas, son partenaire se dressant au dessus.
Il se couchait alors de nouveau sur lui, capturant ses lèvres dans un baiser hargneux. Leurs langues s'enlaçaient dans un ballet sensuel et leurs lèvres se dévoraient au son des quelques soupirs qu'ils échappaient.

Les mains de Daishi se perdait sur la musculature ferme de son compagnon. L'excitation l'envahissait, alors qu'il se permit de fermer les yeux, profitant de cet instant.

De son côté, le Kendoka, eut une petite idée. Sans rompre le baiser, il vint saisir les mains de son partenaire, les transportant au dessus de la tête de son propriétaire, sans que celui ci ne comprenne son vice, un bruit de cliquetis se fit entendre, et la sensation du métal froid contre son épiderme se fit ressentir chez Daishi.

Réalisant ce que son monsieur venait de faire, il rougit.

« - Qu-... »

Il n'eut le temps de répliquer que Zoro lui mimer de se taire en rendant le baiser plus avide.

Ce n'était pas la première fois qu'il se faisait menotté par Zoro, mais là, les conditions étaient totalement différentes. Pourtant sans mentir cette situation lui plaisait bien mieux que le jour de son arrestation.

Le vert attrapait les cheveux de Daishi dans une poigne forte et tirait sa tête en arrière enfin de dégager son cou qu'il vint dévorer de baisers et de suçons puis de descendre sur ses clavicules qu'il maltraitait tout autant.
Enfin, il arrivait sur les pectoraux du jeune homme, sur lequel il s'attardait, s'amusant avec les deux petits bourgeons rosés du brun qui ne faisait que gémir librement.
Et lentement il redescendit laissant un sillon de marque rouge sur son torse.

Puis il se redressait admirant son compagnon dont la respiration était irrégulière, les pommettes rouge. Il soufflait près de son oreille :
« - T'es sacrément mignon comme ça. »

Daishi comme réponse, vint onduler son bassin contre le sien, abordant une petite expression taquine malgré la position, soutirant ainsi un léger grognement de la part du Kendoka.

« - Me fais pas plus attendre... »

Le marimo ne se fit pas prier. Il soulevait son bassin, d'un petit regard il s'affirmait que le brun était prêt et le possédait sans plus de cérémonie. La pénétration faite, il n'attendit pas plus, commençant de grands mouvements de bassin.

Plus il gémissait, plus il accélérait, et plus il accélérait, plus il gémissait, un cercle de plaisir infini, jusqu'au moment où ce ne sont plus des gémissements qui sortent de la bouche du brun mais des cris de plaisir.
Le Marimo redressait le haut de son corps, son bassin se séparant du sien pour le rencontrer de manière plus "profonde", sentant la chose venir, il y allait avec une telle puissance que le plus jeune ne savait où donner de le tète.

Et Les deux amantes sombrèrent alors ensemble dans l'abysse de sensation qu'offrait la luxure.