chapitre 4
C'était la panique, au pied des murailles, des centaines de fantassin urgoth était entassées. Les gardes était dépassés, tous les soldats qui étaient sortit pour faire face à leur ennemis étaient mort. Les corps ensanglantés jonchaient le sol de cette campagne qui, seulement trois heure avant raisonnée encore des rires d'enfants, fils de marchand qui accompagnait leur père pour vendre les bêtes au marché de la ville. Maintenant c'était le chaos. Les urgoths deferlaient sur la ville, ils s'écrasaient contre les remparts. La porte principale était sur le point de céder, et a ce moment, ce sera la fin de cette cité prospère et calme. Pourtant, un homme marchait au milieu de cette désolation, comme si il ne voyait pas le chaos ambiant. Comme si il traversait une simple rue. Cet homme avancés, sans ce soucier du danger. Il avait une armure entièrement noir, une lance dans le dos, et une épée au flanc. Des motifs en écailles de dragons parcourait son armure. Lorsqu'un urgoth lui fonça dessus, il fit apparaître une masse d'arme dans la main, et décapita son ennemi d'un seul mouvement. D'autres urgoths se jetèrent sur lui pour tenter de le tuer. L'homme virevoltait sur lui-même en distribuant des coups au ennemis assez fous pour s'approcher de lui. Le pire dans tout ça, c'est que tout ces mouvements, ça façon d'avancer et de frapper démontrait un ennuis incroyable. Il avançait avec flegme, et tué ces ennemis avec rapidité. Cette homme était une machine à tuer. Il ce plaça devant les portes, enleva son casque et le posa sur un rocher, il avait les cheveux bruns, et les yeux mauves. Il avait les yeux vif, mais fatigué. On voyait bien que le combat l'ennuyait. Alors il leva une main, et fis apparaître une centaine de lances au dessus de ça tête. Il sourit. Puis il leva tranquillement ces doigts, et les lances partirent. Chaque fois qu'une lance partait une nouvelle apparaissait. Après de longue minute, il ne restait plus d'urgoths en capacité de se battre. Le mercenaire annula son sort, puis il se retourna, remis son casque et se posa devant les portes en attendant que quelqu'un lui ouvre.
Quand le mercenaire entra dans l'auberge, le silence ce fit, la plupart des autres clients le dévisageait tandis qu'il s'asseyait tranquillement dans un coin sombre. La plupart se demander comment un gosse si jeune avait pu écraser une armée. Bien sûr beaucoup de fille venait lui faire du charme, mais c'est à peine si il semblait les remarquées. Mais tout d'un coup un autre gosse entra, il avait les cheveux noir corbeau et les yeux vert, il portait un grand et ample manteau, quand il vit le mercenaire il sourit à pleine dents.
- A te voila toi ! Je t'ai vue toute a l'heure c'était incroyable, ouai la ton coup des lances c'était épique.
Il parlait comme si ils se connaissaient depuis toujours.
- Karaka c'est ça ? Demanda-t-il
Le mercenaire fut surpris. L'autre était étonnamment chaleureux, ce qui était rare. La plupart des gens avaient peur de lui. Mais surtout, comment pouvait-il connaître son nom. Comment pouvait-on le connaitre alors que c'était la première fois qu'il s'arrêtait dans la région. Mais surtout, le nouvel arrivant avait une aura dangereuse, il ne ressentait pas une once de mana en lui ce qui était plutôt rare. Mais ça cicatrice faisait tache, une cicatrice qui partait du front pour s'arrêter un petit peu au-dessus du menton, en passant par l'œil. Mais les personnes sans mana était rare, et il ne pouvait pas être dangereux. Lui-même, pour avoir cette force et cette vivacité surhumaine qu'on lui enviait, était obligé de constamment renforcer son corps avec la magie. Les yeux de l'étranger, étrangement vert, était vif et a l'affût du moindre mouvement. Et on voyait, à la position de ces doigts, qu'il avait une arme cachée dans la manche, et qu'il pouvait la sortir à tout moments. Il resta la pendant une petit heure, ne semblant pas remarqué que le mercenaire le regardait bizarrement. Au bout d'une heure, il remarqua un homme qui sortait de l'auberge avec empressement. Il commença à le suivre mais se retourna et dit:
- Désolé mec, je dois y aller. A la revoyure Karaka !
Puis il partie en marchand d'un pas rapide.
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