Elle pleurait. En rentrant chez elle elle avait était accueilli par la police, et ils étaient maintenant en route pour un foyer d'enfants délinquants. Ils lui avait dis qu'elle avait poignarder quelqu'un. Mais il allait l'agresser, normalement elle n'aurait pas du être en tort. Le pire, c'est le fait que c'est parent n'ont rien dit, ils ce sont contentaient de la regardé juste avec un air déçu. Et maintenant elle était en route pour ce foyer. Au départ elle s'était dis que ça l'éloignerait des harceleurs. Mais en voyant les autres enfants du foyer, elle compris que cela serait pire. Elle passa la soirée à pleurer seule dans sa chambre, il ne lui restait que son téléphone et un peu d'argent. Et la elle sourit, un espoir, si infime soit-il venait de prendre vie. Cet espoir était un bout de papier froissé, le numéro d'un inconnu du parc. Cet homme qui avait en lui quelque chose de rassurant, qui lui avait essuyé les mains sans posé de question alors qu'elles étaient pleines de sang. Elle prit son téléphone et appela le numéro. C'était son dernier espoir. Le téléphone sonna, la sonnerie retentit. Plus le temps passait, plus elle désespérait, et si il ne répondait pas ? Elle tomba sur la messagerie. Comment avait-elle pus croire qu'un inconnu allait l'aider à se sortir de cette situation désespérée. Elle était seule.

Elle marché doucement vers son nouveau lycée. La tête basse, elle savait que sa vie était foutu, que c'est camarade allait la prendre en grippe. Et elle n'avait pas tort. Au détour d'une avenue, trois garçons la poussèrent dans une ruelle sombre.
- Allez la miss, tu nous donne gentiment ton fric et on te laisse partir sans trop de dommage.
Elle avait laissée son maigre magot au foyer. Elle leur dit, mais bien sûr ils ne la crue pas.
- Tu n'as rien ? On va vérifier ça.
Il leva le bras, et s'apprêta à la frapper. Elle fermis les yeux, et attendis que le coup, qui ne vaint jamais. Elle entendit une sorte de crissement horrible. En ouvrant les yeux elle eu un mouvement de recul, le corps de ces assaillants était enfermé dans du givre. En tournant la tête, elle vit un homme, il avait un imperméable noir, et un chapeau en haut de forme. Mais le plus impressionnant, c'était le chemin de glace qui partait de ces bottes pour s'arrêter au niveau du coup des harceleurs. Il avait fait apparaître de la glace pour gelé les harceleurs et la sauvé.
- Désolé de ne pas avoir répondu je n'ai pas entendu mon téléphone sonné. Tu vas bien ?
Elle était sonné, Comment avait-il pus faire apparaître de la glace comme ça.
- Vous nous avez agressés, on vas porter plainte ! Cria vainement l'un des attaquants.
- Et tu vas dire quoi ? Dit-il en riant. Qu'un adulte vous a empêcher d'agresser une jeune fille ? Ou mieux, qu'un mec random a fais apparaitre de la glace pour vous empêtré dedans ?
Devant leur mine dépités il sourit.
- Voila merci. Puis il ce tourna vers la jeune fille, moi c'est Jago et toi ?
- Evie..... Evie frye.
- j'ai une proposition miss frye, que dite vous de venir avec moi, pour que je vous fasse découvrir les merveilles de la liberté.