En ce rude hiver 1942, le froid, la famine et la peur régnaient dans le monde.
Quelques part dans le vaste continent Européen à feu et à sang, en Pologne se trouvait le tristement célèbre camp d'Auschwitz-Birkenau. Un jeune homme nommé Hans, issu de la bourgeoisie allemande et dont le père est un ami du Chancelier au pouvoir arrivait dans un fourgon militaire. Hans devait faire son servirce militaire comme tout les jeunes allemands et son père l'avait conseillé de le faire à Auschwitz pour y acquérir de "l'expérience".
Son père était un fervent nazi et il tenait à l'honneur familial ainsi qu'au respect des traditions. Il prônait l'idée du Pangermanisme et tout les idées racistes de l'époque.
Son fils, n'adhèrait pas aux idées nazis comme son père mais il voulait avant tout le faire plaisir et recevoir la fierté de celui-ci. Il dut intégrer un groupe de SS qui étaient des troupes d'exécution.
Son travail consistait à amener les détenus juifs, communistes ainsi que les handicapés à la mort. Cela ne le dérangeait pas plus que ça puisque que son père l'avait habitué pendant son enfance à répéter constamment que ces personnes étaient le mal, qu'ils nuisaient à l'Allemagne et qu'il fallait les éliminer.
Pendant les premiers jours au camp il était dérangé par des visions d'horreurs, des personnes vivants dans l'insalubritées, les poux et les maladies. L'odeur des fumées qui s'échappaient des fours crématoires n'arrangaient pas les choses. Régulièrement il ne se sentait pas bien et avait des nosées. IL n'avait jamais été habitué à ça.
Après quelques mois de travail, le chef du camp qui s'appelait Rudolf Franz Ferdinand Höss décida de l'affecter au secteur de la surveillance des prisonniers pour lui permettre de reprendre ces esprits.
En effet, Hans à force d'être dans ce milieu et entendre les cris, les gémissement, les pleures et voir les conditions des condamnés commençait à ressentir beaucoup de culpabilité. Il voyait peu à peu les choses différemment. Lui qui rêvait d'être écrivain ou poète n'avait pas envis de rester ici. Le matin même il avait refusé que l'on exécute une petite jeune fille ce qui était inadmissible pour l'officier chef. Néanmoins comme il est issu de la haute bourgeoisie on préférait étouffer son acte pour éviter des ennuis à son père.
Un beau jour de printemps 1942 la neige et le froid commençait à disparaître dans le camp. Le terrible hiver avait été l'un des plus dur du siècle. Néanmoins les fumées noires et les conditions misérables s'aggravaient. Hans qui faisait son tour de garde avait remarqué qu'une jeune fille certainement de son âge venait de s'échapper. Il décida de la courser et entraîné comme il était il n'eût pas de mal à la rattraper. Le jeune SS l'avait plaqué contre le sol. La fugitive se mit à se débattre. Hans la retourna et il fut choqué quand il vu son visage. Outre ça maigreur, elle avait un visage d'une belle finesse d'ailleurs malgré ce qu'elle avait dut endurer la fille était très jolie. En regardant de plus près son visage, après avoir essuyait la poussière qu'elle avait sur les joues il la reconnu. C'était une très bonne amie d'enfance qui s'appelait Hannah, mais les études et la guerre les avaient séparés. Il était étonné d'apprendre qu'elle était juive car dans leur enfance avant l'arrivée des nazis au pouvoir on se préoccupé beaucoup moins des origines des autres .
Deux propositions se posèrent à lui :
La première, c'était de la dénoncée, dans ce cas là elle aurait été envoyé directement en chambre à gaz.
La seconde, la remettre dans le bâtiment où elle loge et ne rien dire.
Ces sentiments et son cœur parlèrent. Il voulait aussi en savoir sur elle et son histoire. Après l'avoir ramener Hans se sentit soulagé. Peut être ce rendait t-il compte qu'il venait de sauver une vie? Ou peut être se rappelait t-il tout les bons moments qu'ils avaient passer ensemble?
Ils étaient tout les deux voisin à Munich et jouaient souvent ensemble. Toutefois peut après l'arrivé d'Hitler au pouvoir Hannah et sa famille durent déménager en Belgique pour plus de sécurité ce qu'à l'époque Hans n'avait pas compris. La nuit tomber il décida d'aller revoir Hannah. Elle ne se trouvait pas loin de son lieu de garde. Quand il arriva il entendit des cris, des SS cette nuit avait décider de prendre des gens au hasard pour les tabasser en représailles aux actes de résistance la veille. En effet des personnes avaient cassé les fours crématoires ce qui ralentissait le processus d'extermination ne plaisant pas au chef de camp. Hans se faufilla à l'intérieur du bâtiment où elle dormait. Il la réveilla et elle fut pris d'une crise de panique. Il se dépêcha de l'amener derrière le bâtiment à l'abri des regards pour éviter les soupçons. Hans lui expliqua qui il était et Hannah se calma. La pauvre eu du mal à le reconnaître et resta méfiante c'était quand même un SS et un nazi mais après plusieurs heures à parler elle reprit confiance. Hans la rassurait du mieux qu'il pouvait et il se remémorer ensemble les souvenirs d'enfance. Les deux se sentaient pendant un cours instant libre. Malheureusement il dut la raccompagner car le jour commençait à se lever. Elle travaillait dans les champs qu'elles devaient labourer telle une esclave chaque jour. Hans fit tout pour devenir son garde et il réussit après quelques fraudes à obtenir le poste de surveillant là-bas. Pendant des semaines ils parlèrent. Il lui apportait à manger car elle était très maigre. Le jeune homme prit soin d'elle et Hannah en tomba amoureux. Parler avec elle lui faisait presque oublier la guerre et l'échec du plan Barbarossa cette hiver  qui mettait l'Allemagne à mal.
Hans se sentait tellement bien dans ses bras pour la première fois dans sa vie il avait du réconfort.
Malheureusement la joie fut de courte durer.
Hannah le lendemain matin lors du processus de sélection habituel avait été jugée par les soldats comme trop faible pour travailler. Dans le camp nazi les gens qui ne servaient plus à rien étaient envoyé à l'abattoir. Hans l'apprit quelques heures plus tard par un soldat qui avait remarqué qu'il avait le béguin pour elle. Hannah aller se faire exécuter la semaine suivante. Hans était sous le choc c'était la seule chose qui redoutée le plus. Hans se dirigea dans le bâtiment ou elle l'attendait en se reposant. Elle était tout heureuse car le repos pour la jeune fille était une récompense.Elle ne se doutait de rien. Lui ne savait pas quoi faire. Fallait t-il lui dire ou non? Son destin était sans issu comme leur amour. Pour la première fois Hans ressentit une grande colère contre les nazis. Il haïssait son père. Il aurait aimé ne jamais être là. Hans était fou amoureux d'Hannah et il savait ce qui lui aller lui arriver. Que pouvait t-il faire? Défendre une juive serait mauvais pour son père et malgré qu'il le détestait au fond de lui il restait son père mais abandonné Hannah était devenu impossible. Il ne pouvait pas s'échapper du camp car il y avait trop de surveillance au alentour surtout depuis la résistance dans le coin. Même si il s'échappait son père serait condamner à la prison. Il réfléchissa longuement, le jour de la fin approchait pour Hannah et il trouva une idée. Partir avec elle était la seule solution. Elle n'était pas suicidaire mais pationnelle. Si il était enfermé dans les douches il mourrait avec elle et on pourrait croire à un accident ou a un suicide ce qui serait étouffer et causerait aucun tort à son père et comme ça il n'abandonnerait pas ça bien aimé. Il alla demandé un service au même soldat qui lui avait donné les informations. Il savait qu'il pouvait lui faire confiance. C'était en fait un résistant qui c'était infiltré pour pouvoir donné au monde des preuves des abominations nazis. Puis, Hans alla voir sa chérie. Elle était tellement heureuse et débordait de joie malgré sa situation elle ne perdait pas espoir que la guerre finirait et qu'elle serait libre. Peut être désirer t-elle fonder une famille avec Hans qui sait? Elle ne savait pas ce qui l'attendait. Le dernier soir arriva, Hannah n'était au courant de rien. Hans avait décidé pour la dernière nuit de la passer avec elle. Ils s'échappèrent du bâtiment puis montèrent sur le toi de celui-ci. Ils étaient ensemble enlacer l'un dans l'autre et ils observèrent les étoiles toutes la nuit. Elle eut froid et Hannah se blottit contre Hans comme un chaton qui cherchait la chaleur de sa mère. Ils s'embrassèrent et se calinèrent . Hans passa la meilleur nuit de sa vie. Le jour se leva, ils arrivèrent dans la cour et comme d'habitude les SS faisaient leur mascarade pour entraîner les condamnés au bourreau. Il fallait se "laver" comme ils disaient. Etrangement certains ne c'étaient pas lavés depuis plusieurs mois et cette action soudaine paresser aux yeux de certains extrêmement louche. Une partie des condamnés savaient ce qui se passait du moins ils savaient que personne ne revenaient de ces douches. Hans accompagné Hannah, il aimerait bien la tenir dans ses bras mais il y avait trop de soldat autour. Hannah commençait à paniquée en entendant les nombreuses rumeurs autour d'elle.
Les Soldats criaient dans tout les sens "Schnell Schnell Schnell " pour faire rentrer les prisonniers dans les douches. Les soldats reculèrent derrière les portes sans aucune émotion. Hans avait profité d'un mouvement de foule pour se glisser dans la chambre. Il prit avec tendresse la main d'Hannah et l'embrassa. Il n'eût pas le temps de lui parler que les portes métallisées se fermèrent. Un soldat actionna le mécanisme de la mort. Des douches ne sortaient pas de l'eau mais du gaz. Hans savait ce que c'était du Zyklon B, un gaz mortelle qui offrait une morte douloureuse. Autour d'eux les gens appeurrés courraient dans tout les sens. Les pauvres grattaient les murs de manière tellement d'espérée qu'ils s'arrachaient les bout des doigts. Les plus faibles commencèrent à suffoquer. Il n'y avait aucune issue si ce n'était la mort. Hannah comprit mais elle savait que Hans ne pouvait rien faire et qu'il venait de se sacrifier avec elle par amour. Ils avaient les larmes aux yeux et ils se seraient fort. L'amour était plus fort que la mort.
Malheureusement le gaz faisait sont effets.
Bientôt, ils n'étaient plus que tout les deux et finirent dans un dernier baisé tendre et passionné par mourir. Leur corps été enlacé quand les SS ouvrirent  les chambres ils découvrirent une  montagne de cadavres. Certains se sentaient mal tandis que d'autres n'exprimaient rien.Le soldat à qui Hans avait demandé un service sépara leur corps pour éviter tout problème. On enterra Hans quelques mois plus tard dans le cavot familial. Son père n'eût aucune émotion. "Ce n'était qu'un enfant" aurait-il dit. Entre temps le soldat qui savait la relation entre les deux, pris le corps d'Hannah est réussi à le faire échapper du triste sort du  four crématoire et par un miracle à l'enterrer avec Hans. La famille de Hans ne s'en est jamais rendu compte. Le soldat était heureux il avait réussi la demande de son ami . Finalement la triste morale était que la seule issu pour être ensemble était en fait la mort. Ils étaient désormais ensemble pour l'éternité.