Merci à nos écrivains :

BeatriceLuminetdupuy , Mayarahnee , messorem666 , 

Pour cette fois, nous avons fait un texte communautaire sur le thème de la procrastination, dont c'était la journée le 25 mars.

[En gras la phrase de lancement]

Une jeune femme se trouvait près d'un bon feu de cheminée, tant dis que dehors grondait un effroyable orage. Alors qu'elle espérait passer sa journée à rien faire, quelqu'un toqua à sa porte...

En soupirant elle s'extirpa de son canapé et se traina jusqu'à la porte d'entrée, celle-ci s'ouvrit dans un grincement sinistre.

Sont œil hagard s'attarda sur l'horloge mural affichant 4h de l'après-midi puis elle retourna ce coucher.

Emmitouflée dans un plaid à carreaux multicolores, la jeune anglaise reprit sa lecture, quand les coups redoublèrent sur la porte. Elle grogna, et repoussa son plaid avec virulence.

La faucheuse qui venait d'entrer sans sa permission la laissait totalement indifférente. Elle attendait sa venue depuis un moment déjà.

Elle porta son regard sur elle et lui demanda sur un ton laconique : "Vous avez apporté les pizzas j'espères ?"

Et sans même porter attention à sont chargement elle remarqua que sont visiteur est assez beau et elle lui sauta dessus littéralement pour l'embrasser.

La faucheuse – du moins, l'homme qui se cachait sous le costume – répliqua d'une voix étouffée : « Quatre fromages pour toi, ma feignasse »

"Viens donc avec moi au coin du feu beau gosse, j'ai chauffé la place", lui susurrais-je. Je lui pris les cartons de pizza pour les poser sur la table basse en l'entrainant avec moi.

Elle happa goulument ses lèvres, puis recula presque aussitôt en s'exclamant : "C'est pas vrai tu as gouté ma quatre fromage ? va te brosser les dents !"

Quand le livreur ou quel qu'il sois revient un autre homme homme étais penché au dessus de notre héroïne endormis, l'homme à la chevelure de miel ce présenta comme «le marchand de sable».

Vêtu d'un costume pailleté d'or et d'un boléro, l'homme arborait une fantastique moustache aux bords recourbés. Son air était avenant, son sourire, tranquille.

Notre faucheuse s'approcha de la jeune femme assoupie et s'accroupie de façon à avoir son visage près du sien. Lui passant la main sur le visage, il lui murmura à l'oreille : "Ma douce, le marchand de sable est là aussi, nous exaucerons le rêve que tu souhaites."

Elle ouvrit un oeil, soupira puis maugréa : "Non c'est pas vrai ils sont deux, faut que j'arrête la beuh moi !" Puis elle leur tourna ostensiblement le dos en s'emmitouflant dans son plaid.

Les deux hommes réfléchir ensemble pendant une éternité au fais de l'idée d'un plan à trois avec la belle endormis serais une bonne idée ou non? Avant de la laissé dormir avec des soupirs frustré.

Tous deux s'étaient préparés depuis longtemps pour une soirée mémorable, et voilà qu'elle leur filait sous le nez ! Insatisfaits, ils se lancèrent des regards en coin, pas bien sûrs d'oser proposer ce qui venait de leur passer par la tête.

Le marchand de sable se pencha de nouveau sur elle et s'immisca dans ses songes. Il avait pour idée de lui implanter une idée bien précise dans la tête afin de la réveiller et d'assouvir un fantasme.

Elle ouvrit brusquement les yeux, le repoussa violemment et lui susurra : "N'y penses même pas !" puis elle leu ordonna : "A présent dehors, tous les deux ! aujourd'hui je dors !"

Mais les deux hommes semble pas en avoir décidée inci car ils enduire leur mains d'aphrodisiaques et ce mire dans l'idée de la massée de façon relativement intime.

La faucheuse revint près du canapé, mais un grondement furieux venu de sous le plaid le dissuada d'aller plus loin. Il émit un soupir à fendre l'âme tandis que le marchand de sable éclata de rire.

"Et bien mon grand, je crois que ce n'est pas ce soir que nous allons assouvir nos désirs !" s'exclama le marchand de sable. "Je te propose de changer de maison, celle-ci n'a pas l'air d'avoir envie de faire quoi que ce soit, tant pis pour elle, elle ne sait pas ce qu'elle perd !"

Ainsi, beaux joueurs ils quittèrent la maison, laissant la jeune femme qui s'était endormi à sa procrastination et en se disant que dans ce lotissement, après tout ils leurs restaient 50 maisons à visiter !

Mais bon si ils ce sont enfui c'est surtout que lucifer déjà nu ce préparais à entré dans la maison.

En passant devant lui, faucheuse et marchand baissèrent la tête en un signe de respect, pensant tout de même, intérieurement, que ce serait assez drôle de voir le grand maître en personne se faire refouler comme un malpropre.

"Hé, Luce, bonne chance et bonne bourre ! Tu vas voir, la donzelle est à point !" pouffa le marchant tandis que la faucheuse se dirigeait déjà vers la porte de la maison voisine. La soirée promettait d'être longue, surtout s'ils se faisaient rembarrer sous chaque toit ! Après tout, n'était-ce point la journée de la procrastination ?