Merci à nos écrivains :

 BeatriceLuminetdupuy , messorem666

[En gras : la phrase de lancement]

De son regard timide, elle observait

Du monde cruel, elle en a fait sont utopie.

Mais du soleil rien elle ne savait

Ses cheveux blond comme des épies.

Coulait dans son dos si parfait

Jamais elle ne douterait.

Qu' il y eut un seul jour de pluie.

Ou le soleil fut si inouïe.

Dans un ciel ou le bleu le fuit

Ou dans le banc dans lequel elle s'alanguit.

Ferme les yeux se détend et s'assoupit.

Et détendu un rêve naquit.

Sous ses paupières closes fardées de gris.

Dehors mais à l'abri.

De multiples et dangereuses intempéries.

La rendait toute abasourdie.

L'éclair d'orage voleur de vie

De sont innocence elle fut châtie.

Adieux ô toi, belle endormie.

Rendez-vous dans une autre vie.

Où qui sait, dans un blanc paradis.

Ou bien, dans le monde qui dans les ténèbres est assombri

par de multiples démons vert de gris.

Ou encore des anges d'un âge mûris.

Qui torture les âmes et d'injures les abruties.

L'enfer est une bien belle supercherie.

Ce lieu cruel où la souffrance est infinie.

Et peupler de bien triste malappris.

Aux cœurs à jamais endurcis

De pitié à jamais affranchi.

La belle, brusquement appelle et crie

Mais personne ne l'entendit, après tout le diable est un mistigris!

De plus, il y avait fait prisonnier le beau chéri

De quoi faire saigner, son coeur jamais guéris.

Captif et captive, tous deux hélant l'être aimé dans la nuit.

Mais à quoi bon, de cri seule la folie naquit.

Le désespoir aspirait leur énergie.

Tel un poème né à minuit.

Une fleur fanée qui se flétrie.

Un amour qui jamais ne reluit.

Des suppliques des vivants on les prient ?

Ses paroles perçaient la nuit.

Arrivent aux enfers, entourent souvent, les deux amants ravis.

Et en colombes ils renaquis.

Unis, s'envolèrent vers une nouvelle vie.

Par le bleu du ciel à jamais séduit, et pour toujours réunie.