Sur Gallifrey, un petit enfant venait de voir le jour. Il n'était point roux comme sa mère mais plus brun comme le reste de sa famille Gallifreynne.

Sa mère faisait tache dans le décor de part ses cheveux mais aussi de part son espèce, c'était un humaine. Une humaine au haut conseil.

L'enfant ne la revit que peu de fois après mais surtout dans ses rêves.

Dans l'un d'entre eux, elle lui disait de continuer et de toujours faire se qui était juste. C'était pendant la guerre du temps. On il vaincu et protegea comme il lui avait promis.

Mais revenons à l'époque de l'enfant et observons le.
Il vivait reclus dans sa grange chez une nourrice qui gardait des enfants de la ville.

Ce soir la, il était assis sur un vieux trépied que plus tard il regrettera, en face d'un établi entièrement construis avec des planches trouvés dans le désert qui encercle Arcadia ou encore emprunté comme il le disait au mari de la nourrice.

Sur l'établi, on pouvait distinguer des petits soldats de plombs et de petits objets sculpté à la main par la mère de l'enfant.

On pouvait distinger un TARDIS type 40 dans ses sculptures. Un vieux tardis cylindrique dépourvu de couleur extérieur. Des portes coulissantes comme seules issues.

Le petit dessinait, bricolait, travaillait. Dans ses nombreuses copies oranges pales faites avec les feuilles des arbres de la région de cette fameuse couleur, se trouvaient plusieurs croquis de tournevis et de Dalek, cette dernière chose étant presque condamnable dans son monde étant donner la guerre qui faisait rage entre le peuple de carcasses de métal de Skaro et les sages Gallifreyn.

Ce soir là,  il ne rangea pas ses affaires, son croquis de tournevis presque terminé,  il alla faire sa toilette et monta à l'échelle menant à son petit coin de repos.

Malheureusement pour lui, c'était beaucoup espérer que personne ne découvre ses dessins.

Ce soir là, la nourrice du partir à la ville la plus proche soit à plusieurs heures de marches de la grange de l'enfant.
Ce fut donc au mari de bercer les enfants.

Le mari, après avoir bercé les enfants alla voir le petit dernier, le délaissé, celui qui n'était pas censé exister.

Il le berça et fit un tour sur son bureau avant de voir ses documents compromettants pour sa famille.

- Sale sang-mêlé ! S'enerva t'il contre l'enfant, tu veux la mort des Gallifreyns !

L'enfant a moitié endormi se releva brusquement sans pouvoir trop réagir, il reçu il énorme gifle qui le marqua et se mis à pleurer tandis que le mari continuer de parlé seul.

- Jamais il ne pourra aller à l'académie avait il lancé à sa femme quand elle était rentrer alors que notre jeune protéger pleurait encore, seul dans son lit,dans le noir absolu.

Doucement, une voix féminine qu'il ne connaissais pas viens le réconforter, elle lui caressait délicatement les cheveux pour le calmer. Pauvre enfant se répétait elle sans cesse.

Elle murmurait, le calinait, l'enfant imaginait la femme qu'il aimait, qu'il aima et qu'il aimera toujours, sa mère derrière ses gestes surtout après ses déclarations douces qu'elle lui murmurait à l'oreille dont un je y aime sensible qu'il identifia comme celui d'une mère à son enfant.

La femme partie. Elle frappa violemment le mari de la nourrice et l'insulta de cette attitude devant un enfant, qui possédait autant de coeur que lui.

- Vous devriez avoir honte.

Elle repartie dans la chambre ou l'enfant dormais désormais à point fermé avant de murmurer à son attention un tres mignon;

- Je t'aime Docteur miniature. Devient comme tu es maintenant, ne change rien.

Avant de remonter dans la machine temporel. Ce fut la première fois que l'enfant entendus ce son mais pas la dernière, loin de la croyez moi.
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Je publie moins sur ce livre parce que se sont des O-S

Normalement un O-S pour noël mais j'ai plein de contrôle pour la semaine prochaine alors je promets rien !