chapitre 23 : case prison
- Il est hors de question que l'on vous suive sans se défendre ! Hurla Gellert.
Il attrapa la main d'Albus et se concentra une seconde, il rouvrit ses yeux vairons, l'air terrifié. Le professeur comprit immédiatement et serra la main de son mari un peu plus fort.
Des sorts anti-transplanages avaient été mis en place.
Toujours en tenant la main de Gellert, il contra plusieurs maléfices que les aurors leur lançait. Il en venait de toutes parts, et bientôt, Albus ne voyait plus que des flashs lumineux partout autour de lui.
Gellert lui tenait toujours la main.
Albus ne la lâcherait pas.
Pas cette fois.
Un rai rouge fusa et toucha le mage noir en pleine tête. La main de l'autrichien glissa de celle de l'anglais. Albus vit une autre lumière rouge arriver sur lui. Une larme passa comme une comète sur sa joue et tout devint noir.
Il se réveilla la tête sur des briques froides. Il se releva doucement. Evaluant la situation, Albus sentit un goût métallique dans sa bouche et une douleur au poignet droit, là où il tenait sa baguette. Il était vêtu d'une tunique et d'un pantalon en jute. Il essaya de se mettre debout et faillit retomber en arrière, retenu par une lourde chaine métallique.
Soudain, tout fut très froid, et le professeur sentait toute son envie de vivre partir. Il se concentra, luttant contre le lâcher-prise qui l'envahissait. Les images de Gellert, d'Ariana, d'Abelforth, de Fumseck et de tant d'autres personnes jaillissaient dans son esprit, le préservant de la folie. Il entendit la porte de la cellule voisine s'ouvrir. Une voix d'homme déchirante hurla :
- S'il vous plait non ! Je ne veux pas mourir, je ne veux pas mourir, s'il vous plaît, je ne veux pas...
Une voix monotone couvrit ses hurlements.
- Oscar Fingal O'Flahertie Wills Wilde, je vous condamne, pour indécence sexuelle assumée, et usage abusif de la magie sur des textes destinés aux moldus, à la peine capitale.
Puis il y eu un silence, un bruit mat, et la porte de la cellule qui claque. La porte de la cellule d'Albus s'ouvrit en cliquetant, un homme moyen avec des cheveux gris coupés courts s'avanca, suivit par son patronus -un rat- et par le détraqueur.
Il esquissa un petit sourire a la vue du visage terrifié d'Albus.
- Vous avez entendu ce qui s'est passé à côté n'est ce pas ? Ne vous inquiétez pas, ça vous ne arrivera, nous avons tout intérêt a ce que vous viviez.
Il prit le menton de l'anglais entre sa main droite et lui cracha dessus.
Il reprit d'une voix doucereuse :
- Et vous allez bientôt regretter de ne pas être mort.
Tout ça est très joyeux n'est ce pas ? J'avoue que j'écris un peu comme ca me vient. Donc je sais pas encore ce qui va se passer ensuite ! Des suggestions ?
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