Chapitre XXIX

Je tournoyant depuis maintenant 5min quand la musique changea pour une autre. Je m arrêtais, lâchant la main du prince et fit volte face pour m en aller. Sa vue devenait insupportable, et ses mains sur moi me degoutais.

Malheureusement, à peine ai-je effectuer quelques pas, que l on me retiens le poignet. Je me retourne, prête à crier sur le prince, mais il me coupa avant que je n esquisse la moindre phrase.

-- Il faut que l on parle

Il avais l aire très sérieux, mais je n avais rien à lui dire et je ne veux pas m expliquer, j ai rien a expliquer.

-- J ai rien a te dire !

Je me détaché de sa prise et me préparait à repartir, mais il me devança.

-- Je suis désolé.

La stupeur me frappa, je ne m'attendais pas à des excuses encore moin venant de lui.
Je n avais tourjours rien à lui dire, alors je lui fit un signe de tête pour lui dire de continuer.

-- Je suis désolé, répéta t il, j aurais du te prévenir, je n ai pas penser aux conséquences, mais si sa te rassure je n ai pas la moindre envie d épouser cette bourgeoise gâté. Je l'ai simplement proposer pour t épargner...

M'épargner ! Elle est bien belle celle la, comment ça m épargner, s'il pense m épargner comme ça c est bien simple.

Il continua à parler, mais mon esprit était loin, loin, et s ambaumé petit à petit, me faisant perdre la notion du temps. Je décrochait rapidement du discours, et me senti partir.

♤♡◇♧♤♡◇♧

Le château vibrait d'une atmosphère festive, avec des lumières éclatantes et des rires qui s'élevaient dans la salle de bal.

Les invités, vêtus de tenues somptueuses, tournoyaient au rythme d'une mélodie envoûtante.

Au cœur de cet éclat, Adelheid, rayonnait dans une robe scintillante, celle que je lui avait ramené plis tôt, attirant tous les regards.

Moi je continuais mon discours, je veux absolument qu'elle me pardonne, certe ça n'a pas été la meilleure solution que j aurais pu choisir, mais pour elle, il me semblait que c était le mieux.

Ses frères, se tenaient à proximité, participant à la fête avec enthousiasme.

Cependant, une étrangeté flottait dans l'air, une tension subtile mais perceptible, sûrement la discution plutôt inhabituelle que je tenais. Un frisson me parcourut l'échine, mais je l'attribuai à l'effervescence de la soirée.

Soudain, la musique s'arrêta brusquement, plongeant la salle dans un silence pesant. Tous les regards convergèrent vers le centre de la pièce. Les yeux d'Adelheid brillaient d'une lueur étrange, maintenant que je la regardait, ses mains tremblaient légèrement. Elle semblait ne plus m écouter, mais cela m avais échapper, perdu dans mon discours.

Ma main chercha instinctivement son épaule, interpellée par ce changement inattendu.

-- Adelheid, ça va ? murmurais-je doucement.

Elle ne répondit pas, ses yeux fixés sur ses frères. Une tension palpable emplit la salle, une énergie mystérieuse semblant émaner d'elle.

Marc et moi échangeons un regard préoccupé, mais avant qu'il ne puisse réagir, Adelheid s'éleva lentement dans les airs, sa robe flottant autour d'elle comme une aura lumineuse.

Le murmure inquiet des invités envahit la salle de bal. Je la regardais avec stupeur alors qu'elle planait dans les airs, émettant une énergie puissante et incontrôlable.

Des éclairs d'énergie tournoyaient autour d'elle, illuminant la pièce d'une lumière éthérée. Marc et Alexandre, qyi s étaient avancer reculèrent, la peur étincelant dans leurs yeux.

Je tentai de m'approcher d'Adelheid, mais une force invisible me repoussa. Je restai impuissant, observant la scène avec une appréhension grandissante.

Les yeux d'Adelheid brillaient d'une lueur noiraude alors qu'elle pointait ses mains vers ses frères. Des rafales d'énergie dévastatrice s'abattirent sur Théobald et Hans, l'une d entre elles, plus minime atteignit Marc, mais il fut rapidement sur pied.

Les cris horrifiés des invités résonnèrent dans la salle de bal, témoins impuissants de la tragédie qui se déroulait sous leurs yeux.

Hans s'effondra, secoué par des convulsions. Theobald, plus grand et plus fort, lutta pour rester debout, mais l'énergie destructrice d'Adelheid le submergea également.

Je hurlai le nom d'Heidi mais mon cri fut étouffé par le chaos.

Les éclairs d'énergie s'estompèrent lentement, laissant la salle de bal plongée dans un silence funeste.

Adelheid flottait toujours dans les airs, les yeux hagards, les mains tremblantes.
Les regards horrifiés des invités étaient fixés sur elle, leur terreur palpable.

Je m'approchai avec précaution, ignorant la douleur qui s'insinuait dans mon cœur. Mes mains se posèrent sur les épaules d'Adelheid, cherchant à la ramener à la réalité. Ses yeux rencontrèrent les miens, emplis de douleur et de culpabilité.

-- Heidi, reviens à toi, murmurais-je

Elle cligna des yeux, comme si elle sortait d'un rêve. La réalisation de ce qu'elle venait de faire la frappa de plein fouet. Des larmes coulèrent sur ses joues alors qu'elle observait le chaos qu'elle avait provoqué.Je l'enlaçai avec précaution, tentant de la réconforter dans ce moment de désespoir, et elle s'effondra dans mes bras perdant connaissance. Je continuait tout de meme à la caressé.

La salle de bal était plongée dans un silence funèbre, brisé seulement par les respirations étouffés d'Adelheid.

La tragédie avait transformé la joyeuse célébration en un tableau de deuil. Le château, rempli de rires et de musique, résonnait maintenant du poids des actes impensables commis par une jeune femme aux pouvoirs incontrôlables. Je tenais Heidi dans mes bras, conscient que notre vie avait été irrémédiablement altérée, mais sachant au fond de moi que quoi qu'il puisse arriver, je resterait avec elle coûte que coûte.

Alexandre, non loin, se tenait au chevet de son frère qui se remettais petit à petit, il me regardais toujours avec peur.

Le roi fut le premier à reprendre ses zsprit, il congedia les nobles venu de toute part, et me demanda de ramener la princesse dans sa chambre, on avisera de la suite à son réveil, disait il.

Je ma pris dans mes bras et la transporta hors de la salle, lançant un dernier regard aux derniers membres présents, tous marquere ma sortie d un regard de deuil.

Je posai doucement la Heidi dans son lit à notre arriver dans sa chambre et m assi près d elle.

♤♡◇♧♤♡◇♧

Je me réveillais avec une douleur lancinante au niveau de mon collier qui ne cassait de me brûler. Je parvint à distainguer des voix, mais elles restant très confuses, certainement une dispute.

J'ouvrit les yeux, consiente de la faute, si n'est la tragédie que j'ai commise. Les larmes revinrent rapidement, mais je tant à les refouler, restant digne.

Lorsque je bougeai enfin, relevant la tête avec précaution, les voix s arrêteront brusquement. Je reconnu mon père en premier, plus fatigué que jamais, puis mes deux frère, enfin les seul restant. Et enfin le prince, se tenait à côté de moi, me tenant la main.

Ce dernier me demanda si tout allais bien, et je répondit, la gorge noué.

-- aussi bien que pourrait aller quelqu'un qui venait de tuer ces deux frères, les plus innocent de cette terre. Deux frères qu'elle avait si mal connu, qui n avait rien a voir avec ses problèmes, deux des plus pures innocent de la terre...

Emporter dans mes pensées, je repartis dans un sanglot, que je n arrivait même plus à étouffé.

Mon père, me lança un regard noir et se racle la gorge avant de troner :

-- Mademoiselle Adelheid, princesse de Prusse, je vous exile pour 6 mois, hors de ce château. Vous repenserai à vos actes, et à la defence envers la couronne dont vous avez fait preuve en récupérant un objet interdit, appartenant précédemment à votre mère.

Fin
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Fin,
Nan je rigole, il reste un épilogue, et se sera vraiment la fin, la vrais, ou la fin de la première partie si vous préférez.

Alors ce dernier chapitre ?
Votre avis, je sais pas faire les scènes d actions mais bon ?

J espère que ça vous aura plus !
Vous avez vu pour ceux qui me suivent depuis le début, j'ai réussit, j ai finit, officiellement après l épilogue mais bon
A plus

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