Chapitre 8

Après avoir passé une bonne heure dans la chambre de Jacob, on resta coucher sur son lit, lui sur moi entrain de redessiner mes abdominaux et moi occuper à caresser son dos quand je me fis la réflexion que j'avais beau être en couple avec lui, je ne sais presque rien de "Jacob", je connais sa date d'anniversaire, sa fleur préférée, sa couleur favorite, la saison où il se sent le mieux, son style vestimentaire et les vêtements qu'il aime acheter mais... « Je ne t'ai jamais menti Isaac, je ne t'ai juste pas dit mon origine.

-Mais pourquoi ? » Il leva sa tête vers moi avec un regard disant très clairement « Tu veux réellement que je te réponde ? » Ben oui Monsieur Wol je veux que vous me répondiez. « Isaac. Mon cher et tendre me regarda avec un air blasé.

-Oui ?

-Tu pense trop fort et si je ne t'ai rien dit c'est tout simplement pour te protéger et l'amour que tu me porte avec.

-Comment ça 'l'amour que je te porte' ?

-Jusqu'à maintenant, je ne sais pas si tu m'aimes encore ou si tu m'aime avec l'appréhension que je te tue un jour.

-Bébé, je sais que ça n'arrivera jamais parce que tu m'aimes toi aussi même plus que moi.

-Isaac... Ne me dit pas ça alors que ton cœur bat à mille à l'heure. Je sursautai dès qu'il me dit ça.

-J'ai une ouïe surdéveloppée comme tu le pensais, je peux entendre les pensées des gens, je cours hyper vite, je vois bien la nuit et je peux arrêter la vie des personnes que je trouve dangereuse pour moi.

-Hein ?! Comment ça tu peux leur arrêter la vie ?!

-Faire en sorte de ralentir les battements de leurs cœurs en les touchant au niveau de leur-" » Il s'arrêta en me regardant d'un air peiné. « Non Isaac je n'ai jamais penser à te faire ça. » Il se leva hors de son lit et commença à partir, ayant l'étrange sensation d'avoir déjà vécu une situation comme celle-ci, je me précipitai vers lui pour l'attraper par le bras. « Jacob si je doutais réellement de toi, je ne t'aurais pas proposé de coucher avec moi, je ne t'aurai pas enlacé tu es tout pour moi... Une vie sans toi m'est inimaginable. » Je dois avouer que la peur de le perdre m'est si terrible que je me suis mis à pleurer sans m'en rendre compte. Jacob me regarda étonner, c'est compréhensible vu que je ne pleure jamais. « Isaac, je ne compte pas te quitter, ni de partir. Premièrement on est chez moi donc je ne vois pas où je pourrai aller et deuxièmement ma mère est en train de monter et si elle nous voit à moitié à poil je peux te dire qu'on passerait tous les deux à coup sûrs à la poêle.

-Hein ?!

-Mais tu vas passer à la casserole ! Souligna sa mère en apparaissant de derrière la porte que Jacob venait d'ouvrir. »

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