Chapitre 38
Puis après avoir étouffé son fils, Winter le garda coller à son torse comme pour se rassurer et le laissa parler.
« Tout d'abord, je vous prie de m'excuser, je suis partie sans rien dire alors qu'il y avait des consignes. Je suis l'un des fils du chef et je me dois de montrer l'exemple. »
Plusieurs voix s'élevèrent afin de s'opposer à ce qu'il vienne de dire, j'entendis même des personnes dirent qu'au contraire, c'était leur faute à eux s'ils ne pouvaient même pas prendre soin du fils de leur chef, c'est qu'ils ne servaient à rien. Après avoir laissé la meute parler pendant ce que j'appelle 1 min, mais en réalité 20 secondes, Winter leva la main, ce qui fit que tout le monde se tut puis James continua à parler.
« Je ne serais pas devant vous si le scellé de Jacob ne m'avait pas sauvé, mais si je suis parti sans rien dire, c'était parce que j'avais vu Carl dans la forêt et je voulais contribuer un peu à la meute en allant voir ce qu'il faisait là. Je l'ai suivi jusqu'à la frontière où il y avait quelqu'un qui semblait l'attendre, ils ont commencé à parler ensemble et quand j'ai voulu me rapprocher pour mieux les entendre. Esaü m'a attrapé par-derrière et il était accompagné des vampires, puis ils m'ont jeté dans le lac attaché à une pierre par les pieds. J'aurais fini en repas pour sirène si Isaac ne m'avait pas sortie de là. »
Suite à ça, le clan commença à proférer des jurons et des malheur sur le dos d'Esaü et de Carl, jusqu'à ce que Winter prît la parole et les fis tous se taire d'un geste de la main.
« Je sais que vous êtes tous énerver envers ces traîtres, moi j'ai le cœur déchiré de savoir que l'un de mes propres enfants ai décidé de tourner le dos à sa famille et de se rallier au peu de sang qui coule dans ces veines mais j'ai peut-être ma part de responsabilités dans cette affaire, je ne me suis pas occuper de lui, l'ai délaisser au point qu'il écoute les mensonges de cet homme qui a violer sa mère alors que nous lui avons ouvert nos bras, l'avons accueilli dans notre foyer alors même que nos lois nous l'interdisent, nous lui avons fais confiance. ET REGARDEZ CE QU'IL FAIT ! IL ESSAIE DE TUER NOS ENFANTS ? IL ALIÈNE NOS ENFANTS ! Je vous le demande à vous qui êtes des pères, des mères, des frères, des sœurs, des enfants. ALLEZ VOUS LAISSER PASSER ÇA ? »
La meute entière répondit dans une même voix un non-fort et sûr.
« Si vous n'allez pas laisser passer ça, si vous voyez Esaü et Carl, capturez-les et ramenez-les. Surtout, je les veux vivants, on s'occupera de leur cas personnellement qu'ils comprennent la douleur d'une meute en colère. Rappelez-vous je les veux vivants, je n'ai jamais dit intacte du moment qu'ils respirent cela me va. Mes Chers Petits, je déclare la chasse ouverte ! »
À la suite de ce signal, la meute commença à s'éparpiller, quant à moi, j'attrapai la main de Jacob décidant malgré moi de lui dire ce que je savais, me risquant à perdre sa confiance, cela me travaillait depuis un moment et ce qui se passait dernièrement me faisait comprendre que j'aurai dû lui en parler depuis le début, quand bien même il venait à peine de faire le deuil de sa mère, cela lui aurait sûrement permis de le faire plus vite s'il le fallait.
« Jacob, je dois te parler à toi et à toute ta famille de quelque chose de très important.
- Quel type de chose importante ?
- La mort de ma mère.
- Ok alors on va mettre les points sur les i si tu me dis que tu étais au courant qu'on allait venir nous tuer ma mère et moi, je jure de te tuer avec un pieu en diamant. » Me dit-il avec un air grave.
- Je me serais tué bien avant si c'était le cas et aucun où tu oublierais, j'étais tranquillement chez moi avant que mon petit ami ne débarque avec des gars qui saccagent ma maison et pourquoi un pieu en diamant ?
- Le diamant est mortel pour nous, car il empêche notre régénération, pour nous comme pour les autres métamorphes. Donc tu avais un truc important à dire ?
- Oui, mais il faut qu'il y ait ta famille avec nous.
- Bon ben allons chez mon père. »
On monta jusqu'au chalet, où Moon et Sun nous firent la fête se plaignant que je leur avais volé leur grand-frère bien-aimé, on se réunit ensuite dans le salon, les louveteaux sauf James était en train de jouer dehors avec des oies sauvages. James était accroché à son père et ne semblait pas vouloir le lâcher, ils étaient en face de nous sur le fauteuil, à notre gauche se trouvait les jumelles assissent sur le canapé après que leur père leur ai fait comprendre de nous laisser tranquilles, pour notre part, j'obligeais Jacob à s'asseoir dans le fauteuil et je me mis derrière lui.
«Que faites-vous ici les garçons ? Je pensais que vous seriez à la maison après cette attaque. » Commença Winter
« Moi aussi, mais Isaac a quelque chose à nous dire apparemment, quelque chose 'd'important'. » Dis Jacob en levant la tête vers moi, je pris sa petite tête entre mes mains et lui embrassa le front.
« J'ai une révélation à vous faire.
- T'étais en fait une fille ! T'inquiètes, on est compréhensifs regardent Jacob, il est très bien accepté au sein de la meute malgré sa différence. » Dirent simultanément les jumelles.
«Eh, ne me mêlez pas à ça mêler pas à ça s'il vous plaît.
- Non ! Pourquoi vous avez pensé à ça, et puis ce n'est pas le sujet. Je sais quelque chose à propos de la mort de Sally.
- Tu sais quelque chose ? Depuis tout ce temps ?! » S'étonna Winter en se crispant.
«Tu te souviens de ma menace ?
- Oui, mais ça ne concerne pas que Sally, ça concerne ton frère aussi. »
Si tu lui dis dis il va se sentir mal et trahis, il a déjà pris plusieurs mois pour la mort de sa mère. Me dit Arès.
Oui mais c'est pas comme si j'avais le choix, je garde ce secret depuis trop longtemps et j'aurai même pas dû le transformer en secret en tout début, je préfère qu'il me haïsse en lui disant que si il l'apprenait d'une manière de la bouche de quelqu'un ou de lui-même ou de la bouche de quelqu'un d'autre.
- Ce jour-là, quand nous sommes arrivés Jac' et moi, j'ai vu...
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