Chapitre 28
Les jours passèrent comme ça jusqu'à mon anniversaire le 24 décembre, il fut décidé que ma marque sera apposée ce jour-là et que je pourrai marquer Jacob. ENFIN ! J'ai envie de dire, ça me saoulait de voir les autres alphas lui tourner autour alors qu'ils savaient qu'il était en couple comme quoi « Tant qu'il n'est pas marqué ça ne compte pas », je devais passer les tests pour être son compagnon comme tout le monde, tests que j'ai passé haut la main je dois dire. Mon entrainement c'est bien passer, j'ai réussi à mettre hors-jeu Winter, devenant un loup accompli et ouais car maintenant j'ai Arès dans le creux de ma main, bien que son sale caractère ressort de temps en temps sous forme de loup mais je le gère mieux que ce que je pensais En parlant de lui il a aussi évoluer mais pas dans le bon sens puisque Jacob doit souvent envoyer Astrée le calmer, il réagit souvent en présence de Jacob, surtout quand il se déshabille, comme un chien en chaleur, je suis heureux que mon esprit-loup accepte mon compagnon mais pas qu'il essaie de me le piquer on forme quand même une seule entité. J'ai réussi à maitriser la quasi-totalité de mes pouvoirs. Avec Jacob on observe plus attentivement Esaü puisque ces déplacements sont devenus de plus en plus suspects, il part le petit matin et ne revient qu'à la tombée de la nuit. Malgré notre petite vie tranquille je ne peux empêcher un mauvais pressentiment peser et le secret d'Esaü que je n'ai toujours pas révéler me pèse de plus en plus, je le dirai à Jacob quand il sera prêt parce que malgré le temps qui passe il n'arrive pas à faire le deuil de sa mère. Enfin le 24 décembre, jour de ma naissance, je n'ai jamais autant attendu ce jour où je vieillis d'un an de plus puisque dans la famille de Jacob une fête et un anniversaire sont deux choses différentes et mon petit-ami adoré mets un point d'honneur à ce que j'ai deux cadeaux ce jour-là, un pour noël et un pour mon anniversaire. Ce n'est pas le cas dans toutes les familles. Et mon petit plus c'est que l'un des deux est toujours... chaud si vous voyez ce que je veux dire. « Eh ben cette année tu peux t'asseoir dessus, en gros tu peux toujours rêver !
-Comment ça je peux toujours rêver ? Mais, mais sa a toujours été comme une tradition pour nous, depuis qu'on est ensemble si je puis dire. Tu ne peux pas me le retirer comme ça ! Tu m'enlève une partie de notre couple là !
-Oui mais d'habitude nos familles ne sont pas rassemblées mon cœur. » Jacob avait chuchoter ça dans mon oreille et j'ai dû tourner ma tête puisque je suis assis sur le canapé à faire des étoiles en papier avec les louveteaux et que monsieur Jacob était là à glander debout derrière moi ? Ma tête étonnée à du l'amuser puisqu'il se mit à rire je mis tendrement mes mains derrière son cou et rapprocha sa tête de la mienne, il arrêta de rire d'un coup et rapprocha aussi son visage et au moment où on allait s'embrasser et entendre les louveteaux nous sortir un bruit signalant leur dégout, mais une voix que j'aurais préféré envoyer en enfer se fit entendre et nous coupa dans notre élan. « Salut mon asperge préféré ! » Cria l'homme qui était censé être mon tuteur légal.
« Dégage le saoulard, je veux pas te voir ! » Dis-je d'une voix acerbe.
« Tu me brise le cœur » Dramatisa-t-il.
« Tant mieux sa me fera les pieds.
-Sac' soit plus gentil voyons, surtout devant les enfants. » M'ordonna Jacob.
« T'es un sac maintenant, je savais que tu avais l'habitude de me porter quand t'étais jeune mais pas que t'en avais fait une profession.
-Ça se prononce Zack et non sac et ce n'était pas par choix que je te portais avant. » Précisai-je irrité.
« Ne sois pas fâché contre moi, mon petit neveu. Tu devrais remercier ton chère petit-ami ici présent qui m'a invité à passer les festivités avec vous. » Dit-il en pointant Jacob avec un mouvement de tête dans sa direction, je me tourne lentement vers l'homme de ma vie avec un regard qui en disait long sur ce que je pensais. « Ne me regarde pas comme ça, tu m'as dit que tu voyais ton oncle plus que ton tuteur légal mais comme un père. Et je pensais que tu ne supporterais pas de passer un Noël sans lui... Je voulais juste te faire plaisir moi, mais si tu le prends comme ça c'est que j'ai fait une bêtise. » Comment voulez-vous que je lui en veuille quand il regarde ailleurs en gonflant ces joues et en tripotant ces deux doigts ensemble en signe de pitié ? Je ne peux tout simplement pas ! IL EST BEAUCOUP TROP MIGNON POUR CA !!! J'ai envie de le prendre sans confession là, tout de suite ! Mais pour l'heure il faut que je me concentre parce qu'il a quand même ramener le pire saoulard de la vie que je considère bien sûr comme mon père mais il reste un saoulard ! « -Ouais avec beaucoup de défaut que de qualité. Quand il n'est pas saoul. » Dis-je en passant une main dans mes cheveux. « Hein ? Que veux-tu dire quand il n'est pas saoul ? Il est saoul là ?
-Ouep et à ce que je vois ce n'est pas deux, trois verres mais une caisse de bouteilles entière. Tu peux le savoir quand il fait des blagues sur ma taille, qu'il prend son accent japonais ou quand il prend des airs de Yakuza. Sa peut varier selon les jours et les boissons, il peut fusionner deux ou même les trois s'il est proche du coma éthylique et là il est dans un autre monde... Si tu me chante dans un autre monde de la reine des neiges 2, je te fais avaler la dinde entière. » Menaçai-je Jacob. « Même pas drôle.
-Au lieu de penser a cette pensée idiote, pourquoi as-tu ramener mon oncle dans un état comme celui dans un lieu où il y a de jeunes enfants et un neveu à bout de patience.
-Justement je ne comprends pas son état. On c'est parler au téléphone il y a moins d'une minute et il était à peine sur le palier de la porte du bar et c'est mon père qui est aller le chercher.
-Si c'est ton père beaucoup est-il saoul ?
-Ne regarde pas mon père comme ça, il est lui aussi tourner vers la boisson... Mais en meilleure dose que ton oncle, mais maintenant qu'on en parle. Je ne vois pas mon père alors qu'il aurait dû... Arriver avec ton oncle ! »
On couru jusqu'à la cuisine, paniquer et inquiet pour retrouver Winter, le chef de la meute, saoul, autour de plusieurs cadavres de bouteilles de champagne réserver pour la fête de se soir et dans tout ce bazar le plus grand chef de le meute est en train de parler à une bouteille de champagne entamer sur le comptoir, vous me connaissez voyons je l'ai aider (c'est faux nous savons tous que je suis en train de prendre en photo les preuves pour éviter que mon futur beau-père dans le futur essaie de me tuer.) puis pendant qu'on préparais le repas on les mis dans une boîte avec écrit dessus « je suis punie ne me sortez pas » , habituellement c'est une boîte qu'on utilise pour les enfants mais là c'est un cas de force majeur, connaissant mon oncle il va dégriser dans une heure et vue le pouvoir de régénération des loups mon futur beau-père aussi mais au cas où on leur a préparer une boisson anti-gueule de bois. Quand mes estimations se sont rendues juste on se mis à table et on profita de notre veille de Noël comme une seule et même famille bien qu'il nous manquait une personne à qui on avait déposer une assiette et laisser une place pour continuer à avoir l'impression qu'elle était parmi nous. Puis on se rassembla autour du feu sans Jacob qui devait faire quelque chose et Esaü qui était de corvée de vaisselle après avoir provoqué un duel qui n'était pas dans les règles, puis Winter raconta des histoires du loup suprême de l'histoire de la création des loups, quand mon oncle pris sa place pour raconter ces 'magnifiques' exploit, Moon et Sun m'appelèrent afin que je puisse me préparer. Je partis donc m'habiller puisque oui je me dois de porter une tenue bien précise, les filles m'apportèrent une chemise blanche ample avec des manches longues de type bohème, un pantalon noir slim (pourquoi a-t-il fallu que ce soit slim je déteste quand sa me colle au corps comme ça), un veston noir que je décidai de ne pas fermer (juste pour le style et parce que je n'aime pas fermer mes vestons), des sandales marrons. Puis vint le tour des accessoires (aaaaargh), je dus porter des chevillières qui représentaient le lien entre nos pattes quand il fera un pas je marcherai avec lui, des bracelets qui représentaient les liens indestructibles qu'on ne briserai jamais et un ras de cou qui symbolise chez eux la vie, chez les loups tu est définitivement mort quand tu te fais décapiter mais réellement il n'y a pas de résurrection, tu ne vas pas au paradis, ton existence s'arrête tout simplement. Quand j'eus finis de m'habiller les filles me jetèrent dehors, non vous avez bien lus, elles m'on abandonner comme un chien errant dehors, elles m'ont claqué la porte au nez mais quand je me tournai c'est comme si les lucioles et la lune m'indiquaient le chemin et puis même si on m'avait retiré la vue j'aurai trouver le moyen de retrouver Jacob. Mes pas me conduisirent à une petite clairière éclairée par la lune et au milieu de celle-ci d'une allure presque divine l'homme avec qui j'allais lier ma vie à jamais le visage lever vers le ciel les yeux fermés comme s'il recevait la bénédiction de la lune, il porte un t-shirt ample noir ouvert dans le dos et un short blanc, il porte évidemment les mêmes accessoire que les miens. Après avoir profité de sa vue je me rapprochai de lui et lui pris délicatement la main afin de ne pas l'effrayer, il ouvrit les yeux et me regarda puis il redressa la tête et me fis un sourire.
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