Chapitre 16

Quand il fût plus ou moins calme, j'essuya du bout de mes doigts les traces de larmes qui lui restait, son père qui avait la tête lever vers le ciel, se mit soudainement à renifler l'air comme si il sentait un danger ou une autre présence, il ferma les yeux et laissa son nez le diriger puis il tourna la tête vers moi quand il ouvrit les yeux il avait un air étonné planté sur le visage, puis après quelques secondes à me regarder il soupira puis dit « On ne peut plus rester ici les vampires ont découvert une de nos bases les plus importantes, ils vont donc faire le lien entre la maison et la forêt. On s'est déjà occuper des chasseurs qui poursuivaient les louveteaux. » Puis il poursuivit en regardant Jacob « Je ne veux pas te perdre toi aussi. Puis se tournant vers moi. Isaac si je me souviens bien, tu viendras avec nous, vu que tu as combattu au côté de Jacob ils savent donc que tu es de notre côté et ils te traqueront toi aussi. C'est mieux que tu sois protégé par notre meute.

-Bien monsieur. Lui répondis-je en regardant Jacob. » Il se leva en m'ayant comme support, puis on emboita les pas de son père qui jetait un regard derrière son épaule tous les 5 secondes afin de voir si on le suivait toujours, on s'enfonça dans la forêt mais avant qu'on ne soit trop loin de la maison on entendit les pompiers qui activaient leur lance à incendie afin d'éteindre le feu. Winter pris en considération la blessure de Jacob et nous fit passer par un chemin facile d'accès puis quand il décida quand on fut assez loin, Winter hurla au reste de la meute de venir dans les forêts les plus près des montagnes, sur le moment je n'avais pas remarquer mais j'avais compris ce qu'il avait dit alors qu'il n'avait fait que hurler, ne réalisant pas encore ma transformation. Ensuite il me fit signe de continuer à le suivre, on marcha ainsi jusqu'à un chêne, Winter fouilla dans son creux et en sortis des pansements et un baume afin de soigner la blessure de Jacob qui commençait à ne plus pouvoir tenir sur ces jambes, Winter me donna le nécessaire afin que je m'en occupe tandis qu'il alla chercher je ne sais quelle plante. Il revint avec des pâquerettes ?! « Ne regarde pas mes fleurs ainsi !

-Je ne regardais pas vos fleurs. Niai-je.

-Les pâquerettes sont de très bon anti-inflammatoire et anti-douleurs. Alors dis leur que tu seras leur plus grand ami.

-Oui monsieur ! » Il les écrasa ensuite entre ces mains et quand elle commencèrent à faire du jus il fit signe à Jacob d'ouvrir la bouche afin de permettre au liquide d'entrer dans sa bouche. Quand il finis d'avaler, ont repris la route et au lever du soleil on arriva devant un chalet sur pilotis, le père de Jacob pris une clé puis ouvrit la porte, il la garda ouverte afin que je puisse entrer avec Jacob, on entra directement dans un salon ouvert avec baie vitrée qui donne une vue sur les collines, j'installa Jacob dans le canapé à côté d'un plaid en peau d'ours brun, quand je déposais Jacob j'allais pour suivre Winter qui je le pensais devait avoir besoin d'aider pour allumer toute cette maison mais Jacob agrippa mon poignet, il avait la tête baissée, le regard sur le tapis en velours, je mis ma main libre sur sa tête et j'essaya de le réconforter en la frottant. Mais il ne me relâcha pas pour autant, je m'assis donc à ces côtés et comme par automatise sa tête vint se poser sur mon épaule. J'enleva mon poignet de sa prise mais avant qu'il n'ai eu le temps de se demander 'pourquoi' je repris sa main et je commença à faire des cercles sur le dos de sa main, afin de lui montrer que dans cette triste épreuve qu'est la perte de sa mère je serais présent pour lui afin de partager sa peine et son fardeau, je serrais un peu plus fort sa main afin d'avoir son attention puis je lui dis « Je sais que tu pense que c'est de ta faute et tu sais d'avance ce que je vais te dire mais...BIEN SÛR QUE NON C'EST PAS DE TA FAUTE ! » Il sursauta à cause de mon haussement de voix soudain et me regarda avec des gros yeux « Une mère pensera tout d'abord au bien de son enfant, que tu sois resté ou non elle t'aurai fais partir d'une manière ou d'une autre donc ce n'est pas la peine de te flageoler et surtout si tu étais resté et qu'il t'avais... Je n'ose imaginer la suite, mais sans toi je serais mort à l'heure actuelle.

-Non... Si j'étais rester...Ils n'auraient jamais su où tu habitais... Ils ne t'auraient jamais blessé... Je n'aurais jamais eu à te transformer et ma mère... » Ces larmes recommencèrent à couler à la mention de sa mère, je pris sa tête entre mes deux mains puis je lui dis « Je t'interdis de dire ça ! Tu serais sûrement mort avec elle ! Tu sais comment je l'aurais pris ? » Il secoua la tête pour me dire non. « Je me serais ôté la vie ! Tu m'entends ? Une vie sans toi n'a pas de valeurs compris ?! » Il hocha la tête pour me dire oui, il dégagea sa tête de mes mains puis il m'embrassa la joue et posa sa tête sur mon épaule. Par-dessus sa tête je pus voir son père qui nous regardait, et plus précisément Jacob, dans le cadre de la porte avec un regard triste « Tu sais. » Ajoutai-je. « Il n'y a pas que moi qui irait mal si tu venais à disparaitre...

-Ah qui ?

-Tesfrères et sœurs, ta meute...Et ton père. Et puis si tu venais à disparaître jeplaindrais ton père pour avoir les louveteaux à gérer, vous pourrez vousépauler les uns, les autres tu est leur phare dans la nuit tout comme tu est malumière dans l'obscurité. Mais ton père a le plus besoin de toi, il a perdu safemme, sa mordue et il s'en rappellera comme une marque au fer rouge. » 

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