Ecrit n°4 : Vanessa et le révolutionnaire
On va l'appeler comme ça cette histoire, c'est très bien !
Figurez-vous que j'ai ce truc qui traine depuis une éternité sur mon ordinateur que je gardais en réserve et je me suis dis : pourquoi ne pas en profiter pour fêter les 900 abonnés avec ça?
Alors cette histoire. Cette histoire, c'est grave une matière que je peux reprendre un jour. Vraiment, il y a beaucoup de chose que j'adore, beaucoup de chose que j'ai adoré écrire – l'idée même de la romance me fait encore fondre. Un jour, j'en ferais peut-être quelque chose de bien. (Est-ce que j'arriverais encore à écrire sur une lycéenne ? Bôh, j'ai bien réussi avec Victoria, normalement oui je pense !)
Bon, cette fois, j'ai grandi et je suis passée en 4e – et sur l'ordinateur, comme une grande ! Mais justement l'ordinateur a été pourvoyeur d'instabilité : j'ai commencé une tonne d'histoire où l'héroïne était souvent isolée et tout avant de découvrir qu'elles étaient spéciales. Oh, Wait, j'ai un problème de chronologie, Vanessa c'était avant Alice ... ? Ouais c'est ça, Alice c'est plus tard, voire 3e on verra.
Bref, pendant ma 4e j'ai fini par me fixer avec l'histoire de Vanessa. J'avais une vague idée de trama avec des Nymphes et tout avant de partir sur quelque chose de complétement différent. Le déclencheur de cette histoire ? La passion, la vraie. Le coup de foudre en salle de classe. La rencontre de moi et d'une époque qui encore maintenant me fait vibrer. La seule, l'unique. La Révolution Française.
Vraiment, j'ai toujours adoré l'Histoire – vous le savez pour la plupart je pense ahah ! Mais c'est vraiment en découvrait la Révolution que je suis tombée amoureuse de l'Histoire, que je me suis rendue compte à quel point le passé influait sur le présent, et à quel point il y avait un côté cyclique – il n'y pas si longtemps, on tentait encore de faire des barricades dans Paris. Vraiment, je pourrais disserter sur mon amour de la Révolution Française. Ça reste ma période favorite, de prédilection (avec la Commune que j'aime de plus en plus, j'aime beaucoup cette période entre le 2nd Empire et la 3e République. OK je vous ai perdu, j'arrête). Oui c'est important pour l'histoire qui va suivre.
Revenons à Vanessa. Vanessa entre en 4e (OH, comme moi !), est une fille solitaire qui aime les livres (Oh, comme moi !) mais qui malgré sa solitude a un petit groupe d'amie (Oh, comme moi !). Elle a aussi trois sœurs (deux plus âgées et une plus jeune) et chaque sœur a un père différent. Sa mère a recueilli sa nièce également puis ses parents sont morts dans un accident. Voilà pour le topos familial.
Mais Vanessa n'est pas ordinaire. Non, non, si Vanessa aime être seule, c'est qu'il y a une raison. La foule lui pose des problèmes.
Outch je viens d'ouvrir le doc : c'est en Comic Sans MS. Vraiment, ça vous donne la vieillerie de la chose. Ouah, ça pique les yeux.
Bref. J'ai commencé à écrire ça sans doute en fin de 4e parce que vite j'ai dû abandonner l'ordinateur pour revenir aux pages volantes parce que je ne pouvais pas l'emmener aux vacances. Et surtout, je me souviens l'écrire sur la terrasse de mon endroit préféré de tous les temps (un étang en Charente où je vais chaque été). Donc on va commencer à l'ordi puis finir à l'écrit. Prêt.e.s à rencontrer Vanessa ?
« « «
Alors cette fois on ne va pas commencer par l'incipit (d'habitude je suis bonne dans l'incipit mais là c'est moche et inutile : la grande sœur de Vanessa, Marion, s'est faite plaquée). Donc Vanessa doit mettre la table pour le dîner de ce soir :
Sur ce, elle s'élança vers la porte. Croyant qu'elle m'avais oublié, j'ouvrais son livre, mais ma mère m'interpela et me demanda de mettre la table. Marion déposa Candice Candice c'est leur fameuse cousine que la mère a recueillie et sourit narquoisement. je fit semblant de me couper la gorge avec mon doigt et la fillette éclata de rire Belle ambiance chez les Willome. je se dirigeais vers le placard où étaient rangé les nappe et les objet de valeurs. je prit une nappe blanche et la mis sur la table a l'aide de Candice. je jetais un cou d'œil a ma « sœur ». Elle était heureuse...je le sentais dans mon cœur...se n'était pas mes propre émotion qui s'y infiltrait , mais celle des autres Ah voilà, vous vous souvenez que je vous parlais du problème de Vanessa ? . C'était compliqué a expliqué...je ne le faisais pas exprès...c'est elles qui venait la tracassaient...de temps en temps, lorsque j'étais en ville, je ressentais toute les émotions de toute les personne présente autour de moi. J'appelais ça des Crises. En ses moments là, la seule chose que je pouvais faire c'est se recroquevillait sur moi-même et prié pour que ça s'arrête Et j'ai franchement de la peine pour elle : vous imaginez ressentir toutes les émotions des gens, en plus des vôtres ? Pas besoin d'avoir la capacité émotionnelle d'une petite cuillère pour craquer. Les crises étaient très douloureuse, mentalement. Ressentir absolument toute les émotions de chaque personne qui vous entour, triste ou heureuse, mélancolique ou sympathique...je redoutais les Crises comme les gens la guerre... Ah oui on en est là (Hé mon style s'est vachement amélioré en un an) je ne pouvais pas expliquait Ah pas mon orthographe malheureusement pourquoi j'avais se don...mais aussi loin que je me souvienne, je l'avais toujours eus. Je n'avais révéler son secret a personne...de peur qu'on me prenne pour une folle, honnêtement, qui me croirait ? Personne...même ma propre famille se couperais de moi et dieu seul sait a quel point nous sommes unies...j'étais seule...hantait par les émotions des autre...apeuré des crises...prisonnière de mon don... On a envie de l'envelopper dans du papier bulle, pas vrai ? Et de lui faire un gros câlin je secouais la tête pour chasser ses idées noires. C'était ainsi depuis quatorze ans...pourquoi cela changerait t-il ? je m'était habitué a mon triste sort.
Bon, y'a quand même un truc qui ne va pas du tout dans ce paragraphe : on va faire une overdose de « ... » je pense. Ça rend la lecture hachée et la pensée peu lisible, malgré un style en amélioration. Jeunes padawans, prenez des notes !
Satisfaite de la table, je retournais a la cuisine aidait Marion. Elle, moi et mes autres sœurs avions toujours eus une complicité hors-norme. Même si, nous n'avions pas le même père Alors oui on est toujours dans une famille ultra dysfonctionnelle avec une mère seule et en plus de ça, quatre pères différents. Oui oui, c'est très bizarre et peu réaliste. Non nous n'allons pas disserter sur les mœurs dissolues de la maman, nous nous adorons, des fois plus que nécessaire... un jour où j'étais en sixième, une fille de ma classe, Lena LA PESTE IS BACK CHANTEZ TOUS AVEC MOI, m'as giflé parce que son copain avait tourné plusieurs fois la tête vers moi (elle était très possessive). Marion, qui était en troisième à l'époque, avait regardé la scène. Elle s'était avancé et avait giflé Lena CA c'est de la grande sœur de qualité !. Elle avait fais la moral a cette pétasse Humhum. Cette « quoi », Vanessa ? et depuis, personne ne m'avait parlé...pas que sa me déranger, au contraire, j'adore la solitude. En partie parce sue seule, j'ai moins de chances d'avoir des Crises... ça change agréablement d'avoir une raison à la solitude qui n'est pas « oh j'aime être seule » en mode désagréable comme Juliette. Je m'étais toujours enfermé sur moi et mon sort, et j'étais a peine ouverte a mes sœurs...
Vous vous souvenez que je disais que je faisais beaucoup trop de dialogues chez Kiaso et Odèle ? ça va mieux, n'est-ce pas ? Ok c'est presque trop ? Je suis d'accord avec vous, et en plus c'est pas aéré.
Donc vous avez un petit peu la situation de Vanessa. Elle est hyper-sensible aux émotions des autres qu'elle ressent comme les siennes, ce qui lui donne des phobies de la foule et elle ne dit rien malgré quatre sœurs qu'elle adore. Oh pardon je cite Juste une dernière danse de Kio, qu'est-ce que j'ai pu l'écouter cette chanson sur mon MP3 (OUI JE SUIS VIEILLE) ... OK, je suis carrément partie la réécouter pour avoir 13 ans à nouveau.
BREF avance rapide jusqu'au collège !
Mon bus était a sept heures quarante, et le prochain était a huit heure trente. Sachant que je commençait les cour a cette même heure, cette idée était a bannir. Devant la porte de la cuisine, je sentis un picotement au cœur, une espèce de malaise...j'entrais dans la cuisine, mais il n'y avait personne. Je dois captait les émotions d'un passant ! M'effrayais-je. Cette sensation de captait les passant annoncé ouvertement les Crises... ! Aie aie aie ma pauvre petite Vanessa (sachez-le, donc le nom n'a pas été prononcé depuis le début. Pour l'instant, c'est la fille sans nom) J'attendis qu'elle vienne, prise de panique, mais elle ne vint pas. Soudain, je sentis mon cœur explosé d'on soulagement et d'un plaisir qui n'était pas le mien. je me retournais dans tout les sens, cherchant qui pouvais être heureux a se point. Mon cœur –le mien- battait a la chamade. Tu fais bien de préciser parce que je sens qu'on va être perdu.e.s. Mais si je mets ce passage c'est qu'il est important, souvenez-vous en.
-Il y a quelqu'un ? Demandais-je, incertaine et apeuré.
Quelque chose de glacial caressa tendrement ma joue. Hihihi moi je sais je fangirle d'avance. Cette sensation de douce froideur était agréable, mais disparut. L'explosion de joie aussi...lentement, je levais ma main et posais mes doigts sur ma joue. Je tournais la tête vers la fenêtre et vis qu'elle était ouverte. Saloperie ! Rageais-je intérieurement. Oh, c'était juste la fenêtre ? *moue déçue* Je la fermé OK par contre depuis Juliette j'ai pas appris l'imparfait et pris une pomme. Une chaleur familière pris mon corps d'assaut et maman entra dans la pièce avec mon sac de cour a la main. Je souris et chargeais mon sac sur mon épaule. Ma mère soupira.
-Tu n'as pas brossait tes cheveux, constata-t-elle.
-Non, ça ne sert a rien puisqu'ils sont bouclés.
Réponse de qualité, moi non plus je ne me coiffe jamais, ça ne sert à rien. Bref, on avance rapide puisque Vanessa avait bien anticipé ce qui allait se passer : Crisis is coming.
Durant ma course, je gardais une main sur ma poitrine, comme si j'avais mon cœur qui aller en sortir d'un moment a un autre. Ma tête se mis a tournait et les émotions défilait comme un film en avance rapide. J'avais le souffle court...du mal a respirait correctement. Je n'arrivais plus à réfléchir, ma tête et mon cœur était encombrait. « Mais Perri, comment tu fais pour faire des chapitres si long ? » BAM voilà comment je fais, j'enchaine les phrases qui veulent toutes dire la même chose ! Je bousculais une fille de troisième, et une onde de chaleur m'envahis, s'ajoutant a mon supplice. De la sueur perlait sur mon front. Je sentais toutes les émotions de toutes les personnes du collège et j'avais l'impression que ma malédiction essayait de captait toute la ville...je déglutis, et les larmes emplirent mes yeux aux moments où j'atteignais mon repère. Et on étire et on étire et on décrit bien chacune des émotions, des sensations, des retours physiques oui oui ... La Crise s'annoncer et elle s'annoncer violente...je maudissais mon don pour la millième fois.je ramenait mes jambes sur ma poitrine et appuyais man front man front. Man front c'est nouveau, ça vient de sortir. sur mes genoux. Les émotions s'ajoutèrent les une aux autre, tantôt j'étais brulante, la seconde d'après, j'étais glaciale...les émotions diverse se disputait mon cœur avec une tel fougue que j'avais envie de criait a la mort de venir me cherchait. Ok c'est pas mal mais légèrement drama-queen sur les bords. Mais je suis fière de bébé-moi, si on enlève les fautes et qu'on épure un peu tout ça, on a quelque chose qui commence à être publiable. Les larmes roulèrent sur mes joues sans que je m'en aperçoive. Puis, je sentis mon ventre se lançait et j'y pressais les mains en serrant les lèvres. Je pressais mon front sur mes genoux, a un point qu'il commença à me faire mal. je perdis la notion du temps, restant immobile, frissonnante. Puis, la douleur de mon ventre m'abandonna pour mon plus grand bonheur. Peu a peu, les sensations cessèrent de se battre, et quittèrent ma tête. je soupirais avec soulagement... Je ne connaissais pas le principe de paragraphe (je ne connais toujours pas d'ailleurs, j'ai du mal à sauter des lignes) et ça donne des bloc indigestes, vous ne trouvez pas ? Elle était passait...elle avait été violente-elle était même, je pense, la plus violente a se jour- mais elle m'avait laissé vivante et j'avais encore toute ma raison. Il était vrai que j'avais peur de devenir un jour folle... Franchement ? Je te comprends. Une fois que j'eus repris mes esprits Alors je ne sais pas écrire un français correct mais je sais faire la concordance des temps. Je m'impressionne autant que je me désespère, je me dépêchais de sortir les carte de mon petit sac en bandoulière que je gardais constamment sur moi. Il y avait deux cartes : une du collège et de ses environs et une de la ville. La cour du collège était coloriée en bleu et autour du cercle bleu qui s'y dessinait, une aura verte l'entourait et ainsi de suite. Et le même schéma était fait sur la carte de la ville, mais en réduit. Je ne savait pas pourquoi, mais lorsque j'avais une crise, j'en connaissait les limites et je les coloriés dés que la Crise avait pris fin, ce que j'appelais l'Elastique ( les limites) C'est pas trop mal mon affaire (oui je suis passionnée parce que je dis (passionnée et horrifiée, j'ai envie d'avoir un grand stylo rouge et de raturer)). Et a chaque nouvelle Crise, il s'agrandissait. Depuis la première crise au collège, elle c'était considérablement élargit. C'était partie de la cour au...au collège et ses environ...aujourd'hui, j'avais finit la première carte...je coloriais le reste en rouge et fit de même avec la carte de la ville. je les observait AIS PERRI AIS BON SANG. Mais au moins j'ai pas mis « é ». Non mais sérieux en plus j'avais un ordi, j'ai plus d'excuse là !. Je ne prétendais pas comprendre ce phénomène...mais je savais que c'était plus que les petits cas de la soirée de l'étrange Alors est-ce que je faisais référence aux 30 histoires les plus extraordinaire ? Même maintenant je regarde encore avec mon copain, ça nous fait marrer... oui, c'était bien plus que ça...c'était vraiment du surnaturel. Du coin de l'œil, je vis quelqu'un s'approcher de moi et la seconde d'après, un profonde agacement vint me hantais. Je rageais et mis le nez dans mes feuilles. La personne se planta devant moi.
-Salut, la fille aux cartes! s'écria-t-elle moqueusement
-on n'est pas sur le Black Pearl , Lili , grommelais-je Moi, fan de Pirate des Caraïbes ? Nooooon *cache la playlist qu'il y a sur son tel*
A peine avais-je relevais ma tête que Zélie Leroy plongeait vers moi et ma faisait la bise. Zélie était une fille qui était dans ma classe depuis dix ans : on c'était suivit partout, sauf en CE1 et CM1. J'avais un gars comme ça : on a été dans la même classe jusqu'en seconde, c'était incroyable. On n'était même pas potes, mais on s'est suivi. N'allez surtout pas croire que cela fait de nous de meilleure amie. Mais elle était tout de même la fille avec la quelle j'étais la plus proche au collège. Alors je vais entrer en contradiction avec moi-même dans pas longtemps, sachez-le. Après Clémence sa sœur. Non pas toi ma Citrouille, évidemment. De temps en temps, je trainais avec, mais elle ne comprenait pas pourquoi je détestais les contacts physique et à quoi ça me servais de colorier mes cartes. Elle me taquinait, mais on fond je savais que ça l'agacer. Zélie s'assis à coté de moi et soupira en rejetant ses longs cheveux blonds en arrière. Elle fit mine de s'intéresser a mes cartes.
-pff, commenta-t-elle en les découvrant, étalaient sur le sol, encore tes coloriages. Quand est-ce que tu va arrêter avec ça ?
- Jamais, décrétais-je en lui lançant un regard aigu.
-Hum...je peux rester avec toi le temps que Nadège arrive ?
-pourquoi ça me dérangerais ? M'étonnais-je en haussant les sourcils. Parce que tu colories les cartes à même le sol en jetant des regards noirs ?
Zélie éclata de d'un rire sonore. Je terminais de colorier et je me mis a parler avec elle de tout et de rien. Nadège Olympe était la meilleure amie de Zélie, mais je ne l'appréciais pas particulièrement. Elles avaient été dans la même classe en sixième et cinquième, mais avait été séparé en quatrième et cette année Oh mince. Elles sont en 3e ? J'avais zappé ça. Soudain, Zélie se tapa le front, me faisant sursauter.
-j'avais oublié ! s'écria-t-elle. Ton anniversaire est demain !
Bon on va faire avance rapide. Mais pour faire simple, l'amie de Zélie, Nadège, s'est faite copine avec la peste du collège, Léna donc Zélie apprécie moyen. Bref, elles révisent leur Brevet blanc qui arrive (dès la 4e, c'était comme ça dans mon collège) et ... LA PESTE LA PESTE LA PESTE.
Léna...il faut que je vous en parle de celle là...Léna...alias PAP...La pire des peste que ce collège est put accueillir Je vais vomir devant l'orthographe. Sérieusement. ...elle avait des cheveux blond lui arrivant au milieu du dos, une mèche qui lui retombait constamment sur ses yeux bleus turquoise, qu'elle repoussait toujours d'un geste d'hautain C'est pas mal comme description mais c'est cliché. Elle faisait en sorte de tout le monde voie les douces courbes de son corps et son visage était toujours surplombé de maquillage, notamment de paillettes. Se qui lui valait un surnom connut de tout le collège : Pétasse A Paillettes, connue plus communément sous le nom de PAP *rire nerveux* j'avais vraiment une PAP dans mon collège, mais c'était pas pétasse. Je n'en dirais pas plus – et c'était méchant pour la fille en question que je connaissais à peine. Bref, toujours est-il qu'une nouvelle fois, ma vie s'infiltre dans mes récits ! ...la chipie par excellence...je ne pense même pas qu'il y ai un mot dans le dictionnaire français pour la décrire Oh ça ressemble à une phrase de Lolita malgré moi ça !...une fois, je l'ai surprise entrain de voler un T-shirt a Zélie sur le quel elle avait craquait lorsque celle-ci l'a montré a la classe dans le vestiaire des filles. Elle allumait tous les beaux garçons du collège, même les plus pervers. Je ne préfère pas commenter cette phrase. Une autre fois, j'avais fait tombé mon portable dans le vestiaire, et elle a eu l'idée de le ramassé pour envoyait des SMS a ses amies...et si encore c'était que ça...elle c'était permis, comme toute pétasse qui se respecte, de regardait mes message, mon répertoire et mes photos personnelles. Elle c'était ensuite moquer de moi parce qu'elle avait vue une photo de moi embrassant Candice sur la joue (une photo que je trouvais magnifique). Bah oui pourquoi elle se moque, elle ? Je la haïssais !
Ça c'est une magnifique, cliché, sans nuance introduction d'une peste. Franchement à montrer dans toutes les écoles de création de peste clichés et pas crédibles. Et avec des anecdotes inutiles, on a un paragraphe bien consistant qui nous allonge un récit. Je commence à comprendre comment je me suis construite comme reine de la longueur.
Brefouille, Zélie reste avec son amie « Nessa » (dont on a enfin le nom : Alléluia !) et elles passent leur brevet blanc. On continue avec le groupe d'amie que Nessa n'est pas censée avoir parce qu'elle est solitaire ? AaaaH JE SUIS CONTENTE on retrouve un vrai collège cliché.
(Ceux qui se demandent pourquoi j'aime cette histoire : pas de panique, il arrive ...)
Clarisse arriva a son tour, faisant tournait les roues de son fauteuil le plus vite possible : elle avait fait une rédaction tellement longue qu'elle avait tardé a la recopier. La première fois que je l'ai vu, je me suis étonné de l'aisance avec la quelle elle magnait son fauteuil. J'ai fait de Clarisse une fille en fauteuil à posteriori donc il se peut que je me contredise plus tard. Et je suis fière de mini-moi d'amener ainsi ce problème sur la table même si je sais que je ne vais pas l'exploiter comme il le faut. C'était une question d'habitude, je suppose. Elle devait être handicapé depuis longtemps, mais ça aussi elle refusait de nous le dire. Son histoire devait être plus douloureuse que je en le croyais...elle arriva a notre hauteur et fit la bise a Lili Zélie, hein, qu'elle n'avais pas encore vue.
-l'épreuve était trop facile !s'exclama-t-elle en s'étirant. Et la rédac'...pff, ils auraient pu faire plus compliqué ! On sent les littéraires qu'on déteste.
-pff, marmonna Zélie, parle pour toi. Voilà, Zélie la déteste.
Elles éclatèrent de rire. Je me contentais de sourire de coin et tournait la tête vers la troisième entré du collège et vis les jumelle Nasille C'est quoi ce nom de famille Perri ? arrivaient. Connaissez-vous de vraie jumelle qui ne se ressemble pas ? Ouaip. moi, oui. Elles étaient de la même taille et de la même corpulence. Lara était la plus énergique. Ses cheveux roux étaient très longs et légèrement ondulé qu'elle retenait ou en queue de cheval ou par un bandeau. Elle ne se maquillait pas et détestait les sacs Longchamp Alors pour les ados des années 2000 : les sacs Longchamp, c'est ce qui distinguait les populaires de la populace. C'était LE sac à la mode. C'était LE sac branché qu'on tenait sur le bras en ayant l'air d'une minette. Oui je jugeais toutes celles qui en avaient un. Ses yeux vert reflétés l'espièglerie, la malice et l'intelligence. Son énergie était électrique : a chaque fois que je la touché, je restais figée.
Naomi était plus calme et plus a la mode. Elle avait une mèche « à la Léna » et ses cheveux ne lui atteignaient à peine les épaules. Elle était toujours maquillait, mais seulement un peu de gloss et les yeux. Elle était peu studieuse et peu bavarde. Elle était aussi « une exception du sac Longchamp » Mais je meurs comment je fais des catégories mais franchement je viens d'exploser de rire. les jumelles étaient comme le jours et la nuit : deux forces opposés. Mais elles se complétaient et s'adorait. Je persistais a dire qu'elles étaient une âme en deux corps. Les jumelles arrivèrent a notre hauteur et Lara jeta son sac au pied des casiers. Nao (qui, tout comme moi, n'aimait pas que l'on l'appelais par son prénom) pris les clefs de son casier et les enfonça dans son cadenas. Sa jumelle se tourna vers nous et nous pointa, avec un doigt de chaque main, menaçante.
-La première qui parle de l'épreuve, je la tue ! prévint-elle VOILA c'est comme ça qu'on réagit après une épreuve : on oublie !
-Et je l'aiderais, assura Nao en se tournant vers nous, avant de s'intéressait a Lili. Nadège ne vient pas, elle mange avec PAP.
J'haussais les sourcils et l'étonnement et le dégout se glissèrent dans mon cœur. Il est vrai que depuis quelque mois, PAP essayais de devenir l'amie de Nadège et manifestement, elle avait réussi. C'est l'une des raisons pour la quelle nous détestions toute Léna : toute les filles qu'elle juge « lui ressemblant », elle s'arrange pour devenir son amie. Elle avait ainsi essayé de recruter Nao, en vain Recruter. Alors je ne regardais pas à l'époque mais il y a un léger parfum de Blair Waldorf dans cette phrase .... L'attachement des jumelles l'une a l'autre était trop fort, trop puissant...PAP avait donc tenue Lara pour responsable et lui a piqué son petit ami, Adrien, l'un des plus beau garçon du collège. Ce fait que, pour la jumelle de Nao, les initiales PAP signifié Pute A Paillettes *regarde en l'air, la mine innocente* . les deux significations étaient vrai Non il faut le dire : je ne gérais pas du tout la signification des mots. C'est atroce. ...mais la deuxième était un peu forte-et peu vulgaire La première est vulgaire aussi mais c'est bien de l'admettre. La rivalité entre Lena et Lara était de longue date. Elles se disputaient le titre de populaire depuis la sixième, et les avis étaient partagé, étant donné qu'elles avaient un style totalement différent.
Nous avons donc la description du groupe d'amie que je résume : Clarisse et son fauteuil roulant, Zélie et sa copine qui l'abandonne, Lara la populaire mais gentille et Naomi sa jumelle de l'ombre, autour d'une Nessa qui déteste qu'on la touche et qui fait des crises d'hyper sensibilité.
Oh les crises, ça faisait longtemps. Retournons-y ! Zélie est triste de l'abandon de son amie donc ça déclenche une crise chez Nessa qui part vomir dans les toilettes. Oh, wait je vous laisse découvrir la suite !
Je me dégager de l'étreinte et courut vers les toilettes des filles. J'ouvris une cabine et...Oh ! Misère. Dans la cabine, Léna embrassé fougueusement Adrien Aka l'ex de Lara, la pote de Nessa, les jambes enroulés autour de sa taille et lui avait une main dans la poche arrière de la poche arrière de se mini-jupe OK rien que ça donne envie de vomir sérieux. Qui fait ça au collège ? Au lycée je veux bien mais AU COLLEGE ?! Chez nous y'a tout le temps un pion posté devant les toilettes (on est des Cerbères). Le spectacle écœurant fis remontais le liquide brulant et avant que je ne puisse m'enfuir, je recrachais tout aux pieds de PAP Oh comme c'est jouissif. Oh comme c'est croustillant. Je courus à une autre cabine et continué de vomir le peu que j'avais dans l'estomac. C'était l'un des effet secondaires des Crises : les nausées, les vomissements, les évanouissements, et plus rarement, les hallucinations. J'entendis des éclats de voix, des hurlements...et un courroux électrique m'attinrent en pleine poitrine. Je vomis une nouvelle fois.je restais la tête penché, frissonnante. Mes doigts étaient agrippés a la cuvette et j'étais haletante. Encore une fois le genre de petite phrases qui vous allonge un récit, prenez notes ! (ou pas) La rage électrique ne fit que s'intensifier. Je vomis et passa PASSAI PERRI AH LA LA MES YEUX la main dans mes cheveux.
-Clarisse ! entendis-je crier.
Malgré l'étau qui me serrai la tête, je compris que Lara m'avais suivis, et avait découvert PAP avec son ex DU DRAMA DU DRAMA *tape des mains avec enthousiasme* . je comprenais mieux la rage qui était venu s'infiltré dans mon corps il ya deux minutes. J'entendis le bris Le quoi ? métallique du fauteuil de Clarisse et je sentis quelqu'un ramper jusqu'à moi. L'handicapée mis sa main sur mon épaule et rassembla mes cheveux. Pour la première fois depuis que je l'avais rencontré, l'énergie de Clarisse me piqua comme une guêpe courroucée. Parce que Clarisse est normalement une force tranquille. Je retirais mes doigts de la cuvette et ôta la main de mon amie avant de repencher la tête au dessus des toilettes et de vomir une nouvelle fois.
Bref, sur cette preuve d'amitié pas très sympa, Nessa rentre chez elle – en même temps elle est en train de vomir ses tripes la pauvre. Or, comme Zélie nous l'a rappelé, c'est son anniversaire le lendemain. Donc le soir, à minuit. OH I'M SO EXCITING !
OH DAMN mon doc Word s'achève, le reste est sur papier. Je reviens, je vais trouver mon cahier (oui c'était un cahier. Un cahier tout violet, c'est beau le violet mais je préfère le vert).
Alors. Je vous passe la déprime totale de Vanessa le jour de son anniversaire (on dirait moi le jour de mes 25 ans). Elle éclata de sanglot dans son lit en se lamentant sur sa vie quand ...
-Il y a longtemps que je t'attends, ma douce, soufla une voix dans la pénombre, et tu ne peux pas savoir à quel point il me fait du mal de te voir chagrinée ... Hihihihi
J'écarquillais les yeux, terrifiée. A qui appartenais cette fois ? Est-ce à moi qu'il parlait ? Alors je ne sais pas toi ma grande mais moi j'entends une voix dans la pièce je hurle Je voulut me dirigeais vers l'interupteure mais mes muscles refusèrent de m'obéir.
-Tu ne peux pas me voir ni m'entendre, continua la voix masculine avec une douceur infini, mais je sais que tu ressens ma présence, que tu sens ma peau contre la mienne, Oh ! Charlotte ma prunelle, pourquoi ne veut-tu pas prendre contacte avec moi ? Que t'ai-je fait de notre vivant ?
De notre vivant ?! Mais de quoi parlait-il ? Qui était Charlotte ? Etais-ce sa petite-amie ? Sérieux, c'est ça que tu te demandes ? Pas « MAIS QU'EST-CE QU'IL FOUT DANS MA CHAMBRE ?! » L'homme à la quel appartenait cette voix était-il ... mort ? J'était prête à croire à tout, sauf au fantôme, vampire ou loup-garou. Que me voulait-il ? Pourquoi était-il là ? Je frissonnait et scrutait la chambre pour voir d'où venait la voix. Je commençais à tremblais. J'ouvrit la boucle pour parler mais aucun son s'en sortit. Encore pas mal de succession de phrase pas forcément hyper utiles mais qui nous rallonge un récit. Je fis un pas unique dans la penombre et mes jambes cédèrent. Fragile la Nessa. Je tombais sur mes genoux et mis une main à plat devant moi et une autre que j'avançais dans la penombre.
-Qui ... qui ... est-tu ? demandais-je, la voie tremblante.
Quelque chose bougea dans le fond de la pièce. J'entendis des pas se diriger vers moi. Quelqu'un s'accroupis devant moi et je sentis son soufle dans mon cou et mon visage. Euh. Cours ? Il avait la même énergie que tout à l'heure : sereine, agréable ... L'invisible posa un baiser sur mon front. Je frissonnait. MAIS BARRE-TOI. FUIS. C'était une énergie très ancienne ... Je reculais jusqu'à heutais mon lit. J eme cognais violament la tête. J'étouffai un nouveau cri de douleur. Je me frottais le cou. OK jeunes auteurs : on évite les successions de phrase courtes et hyper factuelles, ça donne un rythme assez haché pas hyper agréable. Faisons une version meilleure de ces quelques phrases :
C'était une énergie très ancienne ... Effrayée, je reculai jusqu'à heurter mon lit et me cognai violemment la tête. J'étouffai un cri de douleur puis me frottai le cou, le cœur battant à tout rompre. Et alors que la douleur disparaissait ...
La peine de l'invisible se fit encore plus intence.
-Pourquoi me fuit-tu ? interrogea-t-il tristement.
-Qui est-tu ? hoquetai-je.
-Tu m'entends ? se réjouit-t-il – une explosion de joie traversa mon cœur. Oh ma douce, quel soulagement ! Mais pourquoi me craint-tu Charlotte ? Ne t'en fais pas, même après trois cents ans je suis toujours le même ... Pss. Vous la voyez venir ? RIZ VOLUTION HIIII
Trois cents ans ?! Je clignais les yeux, incredule. Je passais la langue sur mes lèvres supérieure : signe que j'étais nerveuse. Ah c'est pas que nerveuse qu'il faut être ma cocotte. Je me fis violence et pris mon courage à deux-main.
-Je ... je ne ... m'appelle pas ... Charlotte. Merci de mettre fin à un malheureux quiproquo.
La joie se transforma en deception et indecision. Je sentis l'invisible reculais dans la penombre Ceux qui écrivent, vous devez remarquer qu'on a des cycles où on va utiliser à fond une expression ou un mot. Pour ce moment, c'était « pénombre ». et se levait. Je rempais vers l'interupteure et ouvrit. La luminère inonda la pièce. ET LA LUMIERE FUT (c'est le titre d'un chapitre de O&P ça) C'est là que je le vis. *sautille dans son canapé* Je retint ma respiration. Dans un coin de ma chambre, un garçon se tenait, les bras croisé, la tête baissait. Il devait avoir au moin une tête de plus que moi. Ses cheveux châtain lui touchait les épaules et tombait devant ses yeux avec une certaine élégance. Ça peau semblait blanche mais était noirci par endroit. Sa tête était baissait, je ne voyais que je bout de son nez qui semblait fin et ses levre rose qui virait un peu vers le rouge. Il était vêtu d'un pantalon en toile marron et d'une chemise qui semblait couleur crème mais salis, et roussi par endroit. Des habilles de paysan du 17e siècle écrit en chiffre romain s'il vous plait. Sa tristesse m'atteins en pleine poitrine.
DITES BONJOUR A MON PREMIER CRUSH DE PERSONNAGE ! (Oui parfois on crush sur ses propres persos. Non Simon n'en fait pas parti). On va avancer un peu, les meilleurs moments avec lui sont plus tard (ET QUEL MOMENT HIHIHI)
Bon. Le fantôme (parce que oui c'est un fantôme) disparait en promettant qu'il viendra revoir Nessa. Nessa, elle, retourne en classe en se disputant avec sa petite sœur qui devient un adepte des Longchamps AH LA LA. Bref. Allez, le brevet blanc d'histoire : BON REVENONS A NOTRE BG LA.
Nessa planche sur son sujet, cherche une date qui lui échappe et ça la fait angoisser. QUAND SOUDAIN
-La république, dit une voix près de moi. AH MAIS QUI VOILA – INSPECTEUR GADGET.
J'écarquillais les yeux. Je connaissais cette fois et elle ne m'aportais pas de bons souvenire. Ah bon ? Moi j'en bave encore Je tournais la tête et vis le fantômes aux yeux lavande. Mon cœur se remit à battre très fort. Son regard n'était plus triste, mais conciliant et sympathique. Je tournais la tête vers la surveillante. Elle n'avait rien remarqué. Etais-je la seule à voir se jeune homme ? Au nom de tous, Nessa : OUI.
-La proclamation de la république, c'est le 22 septembre, insista le fantôme.
Je ne sais pas pourquoi, je lui fis confiance et incrit ce qu'il me disait sur ma feuille. Il resta à côté de moi tout le long de l'épreuve et me soufflais de temps à autre les réponses. Franchement, on veut tous un fantôme portatif pour nous souffler les réponses en exam. Mon cœur cognais fort contre ma poitrine et j'aovue ne pas savoir comment j'avais fait pour me conseentrer. La cloche sonna. Les épreuves étaient terminé. Je soupirais avec soulagement en m'adossant à ma chaise.
-Merci, soufflai-je à l'attention du jeune himme.
Il souris et s'efaça progressivement. OK je suis hyper déçue qu'il disparaisse si vite ce garçon.
Bon avance rapide. Elle rentre, se redispute avec sa petite sœur qui devient le contraire de ce qu'elle est, fait ses devoirs et ...
-Enfin finis, fis une voix douce et légèrement moqueuse. Pourquoi je fonds dès qu'il ouvre la bouche sérieux ?
Je me levais en sursautant. Le fantôme se tenait dans un coin de la pièce, un faible sourire aux lèvres. Mon cœur recommença à battre très fort. Je passais ma langue sur mes lèvres.
-Tu ... tu vas enfin me dire qui tu es ? demandai-je, haletante.
Il hocha la tête. ALLELUIA
-Oui, je suis Sylvain *glousse*, fils d'une paysane et de père inconnu.
Je serais les lèvres. Paysane, trois-cents ans ... ça faisait beaucoup de coïncidences. Je secouais la tête.
-Je ... je ne suis pas celle que tu cherchais alors pourquoi ....
-Pourquoi je persiste à vouloir te voir ? termina-t-il.
J'hochais la tête. Le fantôme perdis son sourir. Il s'avança vers moi et me pris doucement la main. La sienne était glaciale. Il recula en m'entrainant avec lui et et arrivait à mon lit, il a ppuya sa deuxième main sur mon épaule, m'incitant à m'assoire. Je ne sais pas pourquoi je me laissais faire mais je esavais que quoiqu'il en sois, il n'allais pas me faire de mal. Malgré tout, je restait crispé. Il s'assis à coté de moi. Je ne sais pas quoi penser de ce paragraphe. C'est à la fois hyper visuel, presque sensuel parce qu'on l'imagine bien le guider pendant qu'ils se regardent dans le blanc des yeux et à la fois je suis rendue perplexe par l'inertie totale de Nessa.
-Comme tu le sais, je cherchais Charlotte, qui, de mon vivant – car effectivement, je suis mort Merci de nous donner cette information qu'on n'avait pas encore ! – était ma promise. Mais en trois cent ans, je ne l'ai pas vue. Lorsque je suis tombé sur toi, tu l'as surement deviné, je t'ai prise pour elle. Je dois dire que cela m'a intriguais et puis autre chose a attirait mon attention, ce sont les vagues dans tes iris Oui Nessa a les yeux bleus et on a l'impression que des vagues déferlent derrière ses yeux LA LA LAAA j'ai hoooonte et ta capacité à percevoir ma présence sans me voir.
-Desolés mais je ne peut pas t'expliqué aucun de ces phénomène, lui apris-je en maitant mes jambes en tailleur. Rien ne va dans l'orthographe de cette phrase. RIEN.
-C'est certain, acquiescça Sylvain en hochant la tête. Oulà je sens le peu de foi en les capacités de réflexion de Nessa là.
Une question me chatouillait la langue Mais c'est mignon comme tout comme expression mais j'hésitait à la posé. Le fantôme resta un moment silencieux, mais je percevais dans ces yeux lavande une soif de savoir. Il examinait chaque détaille de ma chambre et ne semblait pressé de partir. Je déglutis.
-Co ... Comment tu as fait pour ... survivre (je savais que le mot était mal choisis) pendant Trois cent ans ? EXCELLENTE QUESTION NESSA merci de l'avoir posée je la pense plus qu'évidente !
Sylvain reporta son attention sur moi. Il semblais réfléchir à la question.
-Je ne suis pas un fantôme à pproprement dis, expliqua-t-il en détournant les yeux. Je suis un spectre, un mort qui a reçu le drois de voyager partout où il veut, même dans le monde des vivants. Après, le pourquoi du comment, je ne peux rien te dire, je ne le sais pas Alors comment tu sais que tu es un spectre mon garçon ? . Mais je pense que si je n'avais pas participé à la prise de la Bastille ...
-La prise de la Bastille !? m'écriais-je en le coupant. J'avoue moi aussi je fangirle.
Sylvain me lança un regard amusé, comme si pour lui, il semblait naturel et normal de parler du 14 juillet au présent. J'équarquillais les yeux. Son amusement se fis plus intense.
-Oui, la prise de la Batsille, confirma-t-il. Attendez je vais devoir faire ma prof J'ai aussi fait la nuit du 4 août L'abolition des privilèges, la prise du Palais des Tuilleries insurrection qui mit fin à la royauté puisqu'on emprisonna le roi et la reine qui étaient jusque là aux Tuileries, par contre je me suis associé aux royaliste pendant la république. OH BAH BIEN SYLVAIN ça va au bout de ses convictions ! Tout ça pour ça !
-Et la fusiade du champ de mars ? m'étonnais-je. Après la fuite de Varennes, les Cordeliers (Danton et compagnie) font passer une pétition pour demander la destitution du roi. Des gens se réunissent pour la signer au champ de mars et se font canarder par la Garde Nationale parce que les rassemblements étaient interdits.
Son sourire s'agrandit devant ma curiosité. Il secoua la tête et haussa les épaules.
-Non, là, je n'y était pas. Heureusement, car il y a des personnes que je ne connais qui se sont fait tuer.
Je l'écoutais et fus étonnée de ma propre admiration Ah mais moi je bave littéralement. Je vous ai dit que j'aimais la Révolution ? Sylvain avais participé aux evenements les plus importants de la Révolution Française ! « C'est pour ça qu'il savait pour le 22 septembre » compris-je.
Voilà donc Sylvain, le révolutionnaire ! Si vous êtes agacé.e.s par la curiosité de notre chère Nessa, attendez de rencontrer ma petite Elena, l'héroïne du premier livre que j'ai fini.
Bref, ils continuent de bavarder et de faire connaissance. Et vous savez quoi ? C'est là que s'arrête le récit principal ! Et oui j'ai eu un manque cruel d'inspiration et je n'ai jamais réussi à aller plus loin.
Alors pourquoi j'aime cette histoire affreusement courte, décousue et tristement dépourvu de ce cher Sylvain ? Pour deux scènes, que j'ai écrites indépendamment et qui devait intervenir beaucoup plus tard dans l'histoire, quand Sylvain et Nessa auraient continué de faire connaissance. Et évidement, Nessa va petit à petit tomber amoureuse de son fantôme domestique ...
Celle que je vais vous mettre là c'est la dernière qui a été écrite donc le style est plus mûr. AU CRAYON DE BOIS CE QUI EST LA PIRE IDEE DU MONDE. C'est parti !
Je claquais la porte de ma chambre.
-Hé ! ça ne sert à rien de claquer la porte !
Je sursautais et me tournais vers la fenêtre. Sylvain s'y tenait, les bras croisé, et ses yeux lavande lançaient des éclaires Alors non, ça ce sont les gâteaux. Je souris devant son aire mécontent Oh quel bonheur cette orthographe (vous comprendrez plus bas). Ses sens était très developé depuis sa tranformation en spectre et le moindre bruit le metait dans tout ces états. Je pris la poigné de ma porte et l'ouvris et la fermai plus délicatement. Sylvain roula des yeux et ne perdis pas son aire contrarier.
-Tu es desperante, deplora-t- en me fixant. Ce qui est la phrase universelle pour dire « tu me plais » (Oh mes lecteurs, je vous vois venir. Simon n'a jamais dit de Victoria qu'elle était désespérante)
-Toi aussi, à chaque fois que tu viens tu fat tout pour me faire peur, contrai-je en souriant.
Sylvain soupira. Ses yeux cessèrent de lançaient des éclaires mais son visage resta dur. Oh bah alors chafouin ? J'haussais les sourcil en tordant ma bouche. Nous restâmes silencieux et il continua à me dévisagé. J erougis violament jusqu'à la pointe des oreilles . Sylvain n'étais pas en colère, seulement contrarié. Puis, contre toute attente, il souris. Mon cœur recomença à battre très fort dans ma cage toracique. Et le nôtre aussi hihihi Je passais ma langue sur mes lèvres. Oui alors Nessa a des réaction hyper malaisante avec Sylvain.
-Quoi ? lâchais-je avec un haussement d'épaule.
Il secoua la tête et son sourir s'élargis. Je le sentais satisfait, un peu dérouté et ... heureux ? Pourquoi avait-il changé d'émotion d'un seul cou ? Parce que tu lui plaaais
-Non ... rien, répondis-t-il. C'est juste que j'aime bien te faire rougire.
Je plissais les yeux. C'était une demi-vérité. Je ne savais pas laquelle était bonne, laquelle était faussse mais je savais que la vérité complète le rendait heureux. Je m'efforçais de ne pas fermé les yeux et laissa les sentiments de Sylvain s'emparaient de mon corp. Chez le spectre, il y avait toujours une sorte de resistance, mais à chaque fois, seuls ses paroles me faisait perdre ma concentration. Je comptais bien à présent réussir à m'infiltrer dans ses pensés. *prend sa voix de professeur* mais c'est certainement dû au fait qu'il est MORT mon jeune padawan Sylvain décroisa les bras et les leva en silence d'impuissance. Il m'a capter ! déplorai-je en ouvrait les yeux. Je ne savais pas comment il faisait, mais il avait quelque chose. Sylvain baissa les bras et je croisai les miens en faisant la moue. Le spectre sourit tristement.
-Avoue que tu as un secret et que tu sais quand j'essaye de m'infiltrais dans tes pensé, supliai-je.
-Je n'est aucun secret, c'est toi qui n'est pas discrète, ce défendis le spectre en en secouant la tête.
Vérité. Comme c'est pratique quand même ce détecteur de mensonge intégré. Mes épaules s'afaissèrent. Je savais que je n'étais pas discrète mais je ne pouvais pas me concetré les yeux ouvert. Cela m'était impossible.
-Mais toi avoue que, malgré tout, ton don est plutôt pratique, lorsque tu le veux ... J'AVOUE madame je-pète-un-câble-et-je-suis-dépressive-a-cause-de-mon-don.
-Lorsque je suis en cour et que j'attrape des Crise, benir mon « bon » n'est pas ma priorité, gromelai-je amerement. Ouais mais pour lire dans les pensées du beau Sylvain là y'a AUCUN PROBLEME. Nessa a un sens de l'éthique des plus douteux.
Sylvain s'avança vers moi et mis les mains sur mes mes épaules. Je levai un regard vers lui ennuyé. Du moins, je voulais. Je ne pouvais rien refuser a Sylvain. Je ne savais pas pourquoi mais je ne pouvais pas le mair quand il méritait qu'on le haisse, je ne pouvait le giflé quand il méritait qu'on le gifle Maaais il n'a rien fait pour mériter qu'on le gifle ce garçon. Qu'est-ce que mini-moi a avec les gifles ? On se souvient tous.tes de la Slapsbattle chez Odèle. Je ne pouvais seulement rougir et sourire timidement, dans n'importe quelle circonstance, même lorsqu'il ne le méritait pas. C'est l'amooooûr.
-Alors, pourquoi tu veux t'infiltrait Je ne sais pas conjuguer ce verbe dans mes pensés ? demanda-t-il tandis que sa main droite glissé vers ma nuque. Oh God, c'est quoi ce changement hyper brutal de température ?
Je retint mon souffle MAIS NOUS AUSSI. Son visage s'était détendu. Je serrais les lèvre en pensant mes mots.
-Tu ... tu es un véritable mystère, expliquais-je. Mais amies, sans lire dans leurs pensés, je sais ce qu'elles pense, juste en ressentant leurs émotions. Oh mon dieu c'est horrible, le crayon de bois s'est presque effacé ... VRAIMENT PIRE IDEE mais toi je n'arrive pas à te cerner. Je ne sais pas c'est parce que c'est à cause du fait que tu es un spectre ou autre chose, mais tu es un mystère. *reprends sa voix de professeur* je dirais que comme c'est un fantôme ces pensées sont réduite à l'état d'ombre et n'appartiennent pas au même monde que toi ce qui te les rends inaccessibles ... Bref tu t'en fous Grace ou à cause de mon don, j'ai pris l'habitude de tout comprendre, enfin de comprendre les gens qui m'entour. J'ai besoin de tout comprendre. Et toi, je te comprends pas. J'ai besoin de lire les pensées pour te comprendre et même ! Quand je pense qu'il m'a été si facile de lire dans les pensée de ma sœur, toi au contraire tu éprouve de la résitance. C'est ... étrange.
Syvain souris de coin, songeur. Les bonheur se changea en indecision. Il hocha plusieurs fois la tête avant de prendre une inspiration.
-Comme toi avec ton don, je ne comprend pas se fenomène, murmura-t-il. Mais en tout cas, de mon vivant, personne ne pouvait cerné ma personnalité. Ah si monsieur est mystérieux de base, ça n'aide pas J'étais imprévisible pour tout le monde, même pour Charlotte. IL fallait savoir lire dans les pensés pour savoir ce que je voulait faire ... C'est pour moi une sorte de bouclier. Oui généralement c'est comme ça que ça se passe.
-Mais maintenanit, la révolution est finie, tu n'as plus besoin de te cacher, me troublais-je en fronçant les sourcils. Alors ma chère Nessa c'est davantage dû à la personnalité de la personne qu'au contexte historique. Et le fait que la Révolution soit finie c'est un autre débat ...
Sylvain hocha de nouveau la tête.
-C'est exacte mais je veux garder toute les portes ouverte. Et qu'est-ce qu'on est censé comprendre ?
-Donc je suis condané a me questionner à ton sujet, concluais-je en faisant la moue. Tu peux aussi lui poser des questions et apprendre à le connaitre sans passer par ton don. C'est comme ça que les personnes normales font.
Le spectre s'écarta de moi et m'observa de la tête aux pieds. J'eus l'impression d'être passé au rayon X. MAIS IL LA MATE OUVERTEMENT BON SANG. J'avançais d'un pas ; Il recula. Je fis un nouveau pas et il recula mais se retrouva collé au mure. Il soupira.
-Peut-être qu'un joure, je t'ouvrirais mon espris Hein ? Mais c'est quoi ce deal ? , concéda-t-il. Mais pas maintenant ... J'ai encore des secrets ...
-Je lis dans les tes pensées, lui rappelai-je en faisant un pas de plus. Tue ne penses pas à tes secrets vingt quatre heure sur vingt quatre ? Justement du coup : à quoi ça te servirait ? Non sérieusement cette discussion ne va nulle part, aucun des deux n'est cohérent.
Je le sentias hésiter. J'avançais encore Histoire de lui mettre bien la pression. J'étais maintenant à un mètre de lui. Je m'inpregnais de son indécision, sans flanché. Mes yeux restèrent grand ouvert, fixant Sylvain mais sans vraiment le voir. Lorsque je sentis l'hésitation du spectre dans toute les fibres de son corp, mes paupières comencère à s'alourdire mais j'essayis de ne pas flancher. Un clignement des yeux et se serrais perdu. Sylvain me remarquerait. MAIS JE REVE mais quelle forceuse. Mais sérieusement à quel moment tu forces son crush comme ça ? Non sérieusement l'éthique de Nessa est plus que douteuse sur ce point, genre BALEK DU CONCENTEMENT Il fallaut que je reste impassible mais cela devenait de plus en plus dur. La résistance habituelle du spectre vint me faire face, puis lentement et d'abore incompréhensible, elles arrivèrent. Des murmurs, des voix ... une voix ... sa voix. Ma respiration s'accéléra et mon cœur se mit a battre a tout rompre. Je ne peux pas, décidaisj-je en fermant les yeux ALLELUIA ELLE A RECUPERE LA RAISON – et son sens moral. Je serrais les poings et les lèvres en essayant de chassé les pensés de Sylvain. En vain. Elles devinrent plus nette et plus comprehensible. Je luttais pour les chassé, les pensées, ces sentiments, son indecision, mais il semblaient encrés dans ma chair. Puis soudain, plus rien, le neant, le vide total. J'hésitais a ouvrir les yeux. Un bruit semblable à une explision retentis dans ma tête. RIZ VOLUTION Puis elles fusèrent. Plus les émotions ou sentiment, mais cette des voix, murmrant à mon oreille des mots incompréhensible ou hurlant des cris a glacé le sang. Une boule me bloqua la gorge. Des larmes commencèrent à couler sur mes joues. Je m'accroupis en me tirant les cheveux Ah ouais on est sur de la crise de nerf en bonne et due forme ; Je sentis quelqu'un refermé ses bras sur moi. Je jetais mes bras au cou de Sylvain en sanglotant.
-Fais les taire, hoquetai-je, supliante. Qui a envie de dire « bien fait » ?
Je sentiais aussitot le despeoir du spectre Tu m'étonnes tu lui pleures entre les bras ma jolie. Les voix continuèrent de me hanter, d'hurler, de murmuré, de larer hein ?, chanter ... des million de voix dans ma tête qne faisaient qu'un brouha incessant. J'avais l'impression que d'une minute à l'autre, ma tête allait explosé. Sylvain se leva, me soulevant et se disigea vers mon lit. Il m'ainstalla sur ses genoux et me crarssea les cheveux Oh c'est cute comme tout. Sylvain est un sucre. Peu à peu, les voix partire jusqu'à ce qu'il ne reste qu'un doux murmure. Une fois d'homme ou plutôt d'adolescent. Puis je reconnus la voix de Sylvain. Le chassais de ma tête. Lorsqu'elle s'évapora, je me redressait. Malgré le regard tendre du spectre, je ne pu m'empêché de me sentir coupable. Je baissais la tête en rougissant.
-Désolés, chuchotais-je honteusement. BAH TU PEUX L'ETRE
Il me mis une legere pressions sous le manton et planta son regard dans le lien. Il n'était ni faché ni en colère ni contrarié. J'haussai les sourcils.
-Tu as essayés de t'infiltrer dans mes pensées mais pour moi ce qui compte c'est que tu es essayé de t'arrêté, explicita-t-il. Mais quel amour ce garçon. Tu peux aussi lui dire qu'elle a grave foiré quand même.
-Qu'est-ce que tu en sais ? m'étonnais-je.
-Je le sais, c'et tout, dit-t-il simplement en écartant les mèches de cheveux de mon visage.
Ça s'arrête là, sur cette scène d'une tendresse à vomir. Il y a clairement des choses qui ne vont pas dans cette scène, notamment l'attitude de forceuse de Nessa et je suis fière que mini-moi lui ai fait payer son attitude. Clairement, ça s'apparente à un viol de l'esprit ce qu'elle a essayé de faire donc c'est moralement MAL et interroge bien sûr la notion de consentement. Bref, comme le dit Sylvain, au moins elle l'a compris seule et a tenté de s'arrêter.
Mais l'intérêt de cette scène, c'est de comprendre l'ampleur des pouvoirs de Nessa mais aussi montrer à quel point elle ne les contrôle pas, et à quel point elle est dangereuse à user de ce qu'elle ne contrôle pas. Et évidemment ça nous fait un petit rapprochement entre eux hiiii.
Passons à celle qui m'a fait plus d'effet quand je l'ai écrite (écrite avant mais chronologiquement elle se passe après). Mise en contexte. Il fait nuit, ils sont allongés sur son lit, il fait de l'orage. On a tous les ingrédients réunis pour une PUTAIN DE SCENE.
L'orage continuait de gronder. Je frissonais et Sylvain serra ma main en plus ça se tient la main <3. Je le regardais. Il fixais le plafond et ses yeux lavande n'exprimait rien. Mais je savais qu'il était mélancolique et j'avais l'impression qu'il valsais dans son univers vieux de trois cent ans. Je roulais sur le coté et le fixait intansement ... Nessa ? C'est vachement creepy comme réaction. Mon cœur essaya une nouvelle fois de sortir de ma poitrine. Son visage sérieux était pâle, pour cause de sa mort, je suppose.
-Tu ne m'as jamais dit quand tu étais mort, commentais-je soudainement. OK donc imaginez : elle est là à le fixer de manière hyper malaisante et soudainement elle sort la question la plus morbide et la plus gênante possible.
Sylvain tourna la tête vers moi et planta son regard dans le mien. Mon cœur recommença à battre à la chamade. Je passais ma langue sur ma lèvre supérieure ET ELLE SE LECHE LES BABINES *jette l'éponge devant cette héroïne malaisante* . Sylvain fixa mes yeux, mais les siens paraissait vide. Il était en train de baculais dans ses souvenirs.
-C'était il y a très longtemps Alors ça, on ne l'avait pas deviné !, commença-t-il de sa voix douce. Comme tu le sais, j'ai participais à la révolution française et à la prise de la Bastille Yeah *hoche la tête avec un grand sourire*. Et aussi à la Grande Peur ça suit la prise de la Bastille : c'est le bordel partout en France avec les paysans et bourgeois qui se révoltent contre les Seigneurs et elle s'achève au 4 août et à l'abolition des privilèges, tout se passait bien, la monarchie constitutionelle avait été déclarée, la constitution avait était voté, Charlotte et moi étions vivant. Je n'était pas mécomptemps Alors je me suis étranglée, j'ai vomi, pleurer des larmes de sang devant mon orthographe. Mais ce mot. Je ne sais même pas comment réagir. de la situation. C'est en 1792 que ça c'est gaté.
-Lorsque Robespierre a pris le pouvoir. Alors attention pour la véracité historique : on n'a pas juste l'ami Robespierre au pouvoir seul tyran. On a quand même la Convention, le Comité du Salut Public mais c'est vrai qu'on a a principalement trois têtes de proue de la Révolution : Robespierre, Danton (Keur immense sur ce personnage) et l'ami Marat (dont je reparlerais).
Sylvain hocha la tête.
-Je n'aimais pas se que la France était devenue. Je me suis associé aux royaliste au moment où Robespierre commençait à les chassé.
-Pourtant tu n'as rien d'un guitoné, plaisatais-je en souriant. Alors je suis positivement sûre que ce n'est pas délicat comme blague.
Il sourit fiablement, mais je ne sentais qu'il ne rigolait pas TU M'ETONNES. Je rougis : peut-être que certain de ses amis royaliste avait subis se sort. Je me mordit la lèvres devant ma maladresse.
-C'est parce que je ne leur ai pas fais se plaisir, expliqua-t-il avec une pointe de dégout. Les révolutionnaires ont trouvé notre cachette, à Bordeau Non mais déconnez pas : évidemment que je ne savais pas écrire les noms de ville. Ils nous ont tous fais arrêté. Y compris Charlotte ...
Sa voix fléchit Vous connaissez l'avantage de relire vos anciens écrits ? Retrouver des expressions pas mal que vous avez cessé d'utiliser. Malgré ma jalousie envers cette fille, je serais sa sa main glacial. Je vis ses yeux s'emplire de larme mais qui n'étaient pas assez lourde pour couler.
-Ils nous ont mis derrière des barreaux comme de vulgaire criminelles alors qu'on se battait pour la liberté, contre la tyrannie de Robespierre. *sors les drapeaux français et mets une main sur son cœur* Nous sommes passés devant le tribunal révolutionnaire. Tous ont été juger coupable ... sauf moi.
J'ouvris la bouche. L'année dernière, ont avait vue que personne ne sortait aquitté du tribunal révolutionnaire. Sylvain avais survécu ? C'était impossible ... Honnêtement ladies et gentlemen and no-binary : c'est impossible. Une véritable parodie de justice cette affaire.
-Co ... comment ? balbutiait-je, ébété.
Sylvain tourna à nouveau la tête vers mois. Ses yeux brillait et sa tristesse était si forte, si profonde, qu'elle me fis montais les larmes aux yeux.
-Tout le monde était étonné de me voir vivant. Pourtant, je n'est rien fait, je n'ai rien démentit. Mais il m'ont laissé sortir Voilà qui est fortement bizarre. Je les ai vu se faire guilloniné. Tous et j'étais impuisssant *retiens ses larmes*. Charlotte était la dernière. La foule lui crachait dessus. J'ai hurlais, elle m'a entendu – les larmes se mire à couler sur les joues pâles et sur les nôtres – c'est la dernière personne qu'elle a regardé avant que ça tête ne tombe ... *sanglote éperdument*
Je me mordis la lèvre. Ça avait du être un véritable supplice, pire que la torture. L'orage gronda et la pluie s'accentua sur les vitres. Pour nous donner un peu plus de drama.
-J'étais furieux et rongé par le chagrin. J'ai trouvé un autre groupe de royaliste et je me suis battus activement, mais le groupe a était trahis et – il claqua des doigts – rebelote ont c'est fait capturé. Je n'ai rien dementis, mais ils ont encore voulus me relaché. Je leur au demandé pourquoi, ils n'ont rien dit. Mais ils vont pas t'adresser la parole sale petit royaliste Charlotte me manquais et la guillotine ne voulait pas de moi ... alors ... Oh oh.
Je déglutis. Je pensais comprendre. Il avait fait ça, juste pour rejoindre Charlotte ? L'avait-il vraiment fait ?
-Tu ... Tu t'es ...
-Suicider, oui, souffla-t-il. Je sais, ça parait lâche, mais voilà ... Oh mais mon choupinou *le prend dans ses bras*
En vrai. Il y a un putain de potentiel dans le personnage de Sylvain. Je n'ai pas eu le temps de m'y appesantir mais j'y reviendrais dans le bilan pour expliquer le pourquoi du comment ce personnage est une bombe.
Je restais ébété. Déjà, le tribunal révolutionnaire l'avais laissé partir, ensuite il était revenu des mors (pour ainsi dire) et il c'était ... suicider ?
-Je pensais la retrouvais, pourtant ça fait trois siècle que je la cherche. Je pense qu'aux fond, c'était une idiotie ... Je l'aie cherché partout ! Et je ne l'ai pas trouvé ... En même temps mon garçon, si tu cherches dans le monde des vivants ...
-Alors ... pourquoi tu reste là ? demandais-je, la gorge serrée.
Il tourna la tête vers moi, un lueure d'incrédulité sur le visage. Il était perplexe et surpris. Je défis ma main et les coinça entre mes genoux. La position de « je suis gênée, je veux me cacher » La main de Sylvain resta en suspens. Il plongea ses yeux lavande dans les miens et rapprocha sa tête. Ses yeux exprimait la tendresse, plus que la tristesse. AW Je retins mon souffle.
-Je veux dire ... Tu as l'aire de l'aimais ... encore ... alors ... C'est dingue comment des fautes peuvent tout gâcher.
Il posa un doigt sur mes lèvres Oh God. Je frissonnais et repliait encore mes genoux. La pluie martelais les vitres et une lumière blanche inonda la pièce et l'orage gronda.
-Je l'aimais, précisa-t-il en raprochant s tête. OH LA LA HYPERVENTIALTION *s'évente le visage*
J'évitais de serré les lèvres. Son soufle glacial efleura mon cou et mon visage. OH GOD J'ouvris légèrement la bouche Littéralement « viens m'embrasser grand fou »; le regard de Sylvain me déroutais. Il était profond, emplit de tendresse, de compassion ;Je setais de la sueur perlais dans mon cou OK ça c'est tout de suite moins sexy. Je fermais les yeux. J'entendis des pas précipités dans le couloir. J'ouvris les yeux. Je reconnaissais les energies de Clémence et Candice, afolé, et paniqué MAIS LES PTITES SŒURS KESKE VOUS FOUTEZ. Sylvain me pris tendrement la nuque et nos front se touchèrent. Il inspira un bon cou. HIII CALIENTE
-Au revoir.
Peut à peu, il dématérialisa, ses lèvres à cinq centimètre des miennes. QUOI
QUOI QUOI QUOI
Même moi je suis outrée de nous laisser ainsi avec MEME PAS UN BISOU quelle déception affreuse ! Mais il faut dire que j'avais une règle à l'époque : ne pas décrire un baiser tant que je n'avais embrassé personne, parce que je ne saurais pas le retranscrire. Soo on se retrouve avec des situations frustrantes.
(Funfact, à 15 ans quand j'ai échangé mon premier baiser, une de mes premières réactions était « ah je vais enfin pouvoir en écrire ! »)
» » »
Alors voilà. En fait on ne va pas se mentir, la qualité de ce récit se réduit à la trame (une belle petite romance des familles) et au personnage de Sylvain.
Déjà je vais commencer par vous conter la suite. La raison pour laquelle Sylvain n'a pas été guillotiné, c'était qu'il était le fils illégitime de Marat, un révolutionnaire parmi les plus convaincu et les plus virulent, l'une des têtes de l'hydre avec Danton et Robespierre. Pour la petite histoire, Marat finit tuer dans sa baignoire (il souffrait d'eczéma sévère) par une jeune fille, Charlotte Corday, une proche des Girondins (mouvement modéré, qui ont tous été guillotinés) et qui me servait de base pour Charlotte, la fiancée de Sylvain. Bref, Marat avait connaissance de ce fils et le peu d'instinct paternel qu'il avait a permis à Sylvain de survivre. Donc voilà il y aurait dû avoir une intrigue avec les origines de Sylvain qui aurait permis de nous plonger un peu plus dans les histoires de Révolution.
Mais la grosse intrigue aurait dû être sur Nessa, la raison de ses pouvoirs d'empathie, de télépathe. Je n'ai pas du tout à commencer à tisser les explications (et cela constitue l'une des faiblesses de l'histoire) mais Nessa est ce qu'on appelle une Ombreuse : elle est née pour faire le lien entre le monde des morts et celui des vivants. Le pendant vivant de ce qu'est Sylvain, un Spectre qui peut voyager dans le monde des vivants.
Cela dit, pour tout vous dire, tout est resté à l'état d'ébauche. J'ai réussi à créer un univers, des personnages qui ont du potentiel mais à part l'intrigue amoureuse je n'avais pas vraiment de véritable visée.
Mais voyons les améliorations par rapport aux autres récits. Déjà, malheureusement, ces améliorations ne concernent pas l'orthographe. C'est toujours d'un calamiteux absolument honteux. EN REVANCHE je trouve qu'il y a du mieux, du beaucoup mieux, au niveau du style. Déjà il y a un grand approfondissement des ressentis de Nessa, aidé particulièrement par le point de vue à la première personne que j'utilisais pour la première fois. On sait ce que Nessa pense, ressent, sent. C'est détaillé et même parfois archi-détaillé, beaucoup trop. La forme est également plus jolie, à défaut d'être claire et bien orthographiée.
Mais ce n'est pas parfait. Franchement, pour une véritable histoire, il y a énormément de choses inutiles. Tout le début qui décrit le groupe d'amie de Nessa, les brevets blancs, les disputes sur les Longchamps avec sa sœur .... C'est sympa pour se moquer mais ça n'apporte absolument rien à l'histoire. Je dirais même que ça la pollue, qu'on en perd de vu ce qui pourrait être véritablement intéressant. Mais c'est les restes de l'écriture-catharsis, des choses qu'on apprend au fur et à mesure à gommer.
Ce qui n'est pas parfait non plus, c'est l'héroïne. Personnellement, j'ai toujours du mal à m'attacher aux personnages principaux, que comme on les suit tout le temps on se lasse vite ou on les trouve agaçants. Mais alors Nessa on se tire une balle au bout de trois lignes. D'accord elle a une vie de merde et son don est vraiment une sacrée plaie. Mais elle est dépressive au possible, pas un gramme de pensée positive. Elle n'a pas de personnalité, pas de charisme : ce n'est pas un personnage auquel on s'attache. Je dis qu'il faut faire des personnages normaux mais Nessa n'est pas que normale : elle est insipide. Pire que tout, elle a un sens de la morale assez douteux qu'on a pu percevoir dans la scène où elle tente de forcer l'esprit de Sylvain. Bref, ce n'est même pas une héroïne.
Contrairement à Sylvain. Sylvain, c'est vraiment le personnage qui avait un potentiel monstre dans cette histoire. Nessa aussi, travaillée autrement, mais surtout Sylvain. Déjà par son statut de fantôme/Spectre qui en fait l'élément surnaturel, le tournant de l'intrigue puisque c'est par lui que Nessa va comprendre qui elle est. Et puis son histoire. LA RIZ VOLUTION mon amour de toujours, la passion, les convictions. Un homme prêt à se battre et à mourir à la fois pour ce à quoi il croit et par amour, franchement ça vend du rêve (coucou Simon by the way). Un homme dont le père est tout ce qu'il exècre, va le brouiller dans son identité, trois cents ans après leur mort à tous les deux. Un homme issu des années 1790 et qui découvre le monde moderne. Franchement, Sylvain a tout pour faire un personnage d'exception et peut-être que mini-moi n'a pas su vous le faire comprendre, mais je pense que vous le comprenez. Et comme je le disais, je suis persuadée après cette relecture que le personnage de Simon Bones trouve certainement ses racines chez Sylvain. D'ailleurs dans ma tête ils ont presque les mêmes traits, ce qui signifie quelque chose.
Donc Voilà pour Nessa qui est sans doute une histoire pas franchement aboutie, mais pour laquelle j'ai encore beaucoup de tendresse (oui juste pour Sylvain. Sylvain et la Révolution). Un jour, je reprendrais peut-être cette matière parce que je trouve qu'il y a du potentiel sur certains points (Ombreuse/Spectre, lien entre morts et vivants, l'histoire d'amour impossible entre une vivante et un fantôme ... et oui bon d'accord la Révolution !)
Qu'est-ce que ça vous apprend, jeunes padawans ?
- Epurez votre récit du point de vue des scènes ! Faites des scènes qui ont du sens, qui avancent à quelque chose – que ce soit le développement de votre personnage, d'une relation, ou de l'intrigue. Regardez mon début : absolument tout est inutile, sauf les scènes avec Sylvain. Ça ne sert à rien, ça pollue, ça noie l'essentiel.
- Ça implique, de fait, d'épurer votre univers et vos personnages. Pas de personnages inutiles (toutes les copines de Nessa, une partie de ses sœurs). Centrez-vous sur un petit nombre de personnage pour éviter les scènes ou les liens qui seront peu dignes d'intérêt.
- Epurez le style, aussi. Ne pas nécessairement mettre des incises à chaque réplique, fluidifier les phrases. Pas de succession de phrases courte, articulez-les avec des connecteurs et des subordonnées. Pas écrire deux fois la même chose mais avec des mots différents.
- Soignez votre personnage principal. N'en faites pas simplement vos yeux dans l'histoire – et au fond, c'est ce qu'était Nessa. Il faut qu'il.elle ait une identité, de la consistance, des qualités certes mais des défauts qui ne nous donnent pas simplement envie de lae claquer.
- Dois-je m'appesantir sur l'orthographe ?
- Si vous êtes sur carnet N'ECRIVEZ PAS AU CRAYON GRIS. Jamais, vraiment pire erreur possible : ça s'efface avec le temps, ça devient illisible. De même, évitez les couleurs qui font mal aux yeux (type bleu clair ou fluo). Enfin bref, restez sur du bon vieux bic bleu ou noir : il ne vous décevra jamais.
- Toujours si vous écrivez sur carnet : ménagez-vous des petits espaces pour la relecture. Ecrire une ligne (ou une page) sur deux, agrandir les marges : ça vous permettra en relisant de pouvoir insérer des notes à même votre récit pour le retravailler !
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