Ecrit n°3 : Hin n°4 - Juliette le Détraqueur

Je vous vois complètement perdu.e.s « Hein ? Détraqueur ? Ta première fanfiction cachée, Perri ? »

Non. Pas du tout. Vous allez comprendre après.

Alors on va commencer : pourquoi « Hin » ? ça remonte à mon année de 6e où je commençais un nombre incroyable de plan d'histoire sur l'ordinateur familial en faisant très fièrement les tableaux exels que je venais d'apprendre en techno. C'était juste des listes de personnages, mais ça m'amusait et je voulais les enregistrer sur « His » pour « Histoire ». J'ai dû faire une faute de frappe et c'est rester « Hin » pour le reste de mon collège. Pour la petite histoire : j'ai huit « Hin » jusqu'à ce que j'arrête de les compter. Ma première histoire achevée se nommait originellement « Hin n° Je ne sais plus !! »

Bon, je vais pas vous montrer les 8 – quoiqu'on est déjà à la 4, là. Je ne sais pas à quoi correspond la 3e je vous avoue. Mais celle-ci, elle me tient particulièrement à cœur. C'est ma première vraie histoire.

Oui, Kiaso c'était pas mal, mais la première dont je sois vraiment fière, c'est celle-ci. Elle n'a pas de nom, je n'ai pas réussi à lui en trouver un, donc appelons-là par le nom de son héroïne : Juliette. Juliette entre en 5e et est l'aînée d'une famille de trois filles. Elle est très solitaire et se complait dans sa solitude, ce qui la relie inexorablement à moi au collège. Cette fois, on va être sur la fantasy, la magie dans le monde réel avec un véritable univers qui va m'être propre et qui ne sera plus plagié sur quelqu'un d'autre.

C'est la dernière histoire que j'ai couché sur papier – bon avant dernière, mais la dernière je l'avais commencé sur ordi avant que les vacances ne tombent dessus. Et c'est aussi la dernière ce qu'on peut appeler « le triptyque » de ma 5e. Je l'ai poursuivi un peu en 4e avant d'être lassée et découragée. Et surtout, en 4e j'ai récupéré le vieil ordi portable de ma grand-mère qui m'a permis de commencer une multitude d'histoire, ce qui en fait mon année la moins stable au niveau d'un récit.

Prêt.e.s à faire connaissance avec Juliette ?

« « «

Assise à son bureau, Juliette relisé pour la 13e fois le tome 2 des Chevaliers d'émeraude. Comment peut-on lire 13 fois le même livre ? Surtout celui-là, quoi ... Tout le monde se le demander, mais elle, elle s'en fichait. Beaucoup de prsonne avait peur d'elle. Ses long cheuveux Vous y croyez à celle là ? L'ordinateur a voulu corriger ma faute châtain encadrait son visage, sa frange lui arrivé à ras des yeux, ses yeux était gris et froids, son regard était vide et son visage pâle. Personne ne l'aimais au collège, hors mis Line et Kevin Il faut savoir que pour une raison inconnue (mon crush sur Kevin dans Les chevaliers d'Emeraude) j'adorais ce prénom qui se montrait très sympa, au grand étonnement de Juliette.

Sa mère entra dans sa chambre, déposa du linge sur le lit de sa fille et se tourna vers la fenètre, dons les persiènes toujours fermé laisser échapé quelque filet de lumière. Elle est pas mal cette phrase que c'est dommage ces fautes ! Vraiment jeunes auteurs, soignez l'orthographe ! Elle poussa un soupir de découragement et se tourna vers Juliette.

-Quand vas-tu te résoudre à ouvrir tes volets ? Jamais. Juliette est un vampire.

Juliette haussa les épaules. Elle n'était pas bavarde, contrairement à Sasha, sa petite sœur de dix ans. Sa mère soupira.

-Tu es désespérente. Vas cherché Margot au solfège.

-Je termine mon chapitre, chuchota-t-elle sans quitter son livre des yeux.

-Non Juliette, tout de suite.

Allez avouez-le. Qui ne se reconnait pas dans l'asociale plongée dans son livre qui en devient hermétique au monde qui l'entoure ? COUCOU C'EST NOUS.

OH je pensais que j'allais faire une ellipse mais le crush arrive plus vite que je ne le pensais, vite vite !

Elle marchait sur le bord de la route, laissant le vent dans ses cheveux quand elle sentit un métal la bousculer. Sur le choc, elle tomba à terre.

-Désolés, dit une voix masculine.

Julienne leva ses yeux froids et vit Jean-Baptiste, *Rire nerveux*. Je ne vous ai pas présenté mon crush de mon enfance, Jean-Baptiste Maunier ? Oh allez regarder Les Choristes et tombez amoureux.ses ! un garçon qui était dans sa classe l'année dernière, sur son scooter. Il lui tendit la main. Juliette hésita puis la saisis et se redressa.

-Je ne savait pas que c'était toi, s'excusa-t-il. Hum. Donc si ça avait été quelqu'un d'autre tu l'aurais écrasé sans vergogne, c'est ça que je comprends JB ?

-Ce n'est pas grave, murmura-t-elle.

Jean-Baptiste a toujours était le plus beau garçon de sa classe. Ses cheveux sombres lui arriver au milieu de la nuque et on pouvait se noyait dans ses yeux bleus océan. Il y a quelque chose dans cette description qui me donne une mine crispée, entre le rire et le « je vais vomir ».

Une fois relevé, Juliette adressa à Jean-Baptiste un faible sourire MON DIEU ELLE SAIT SOURIRE et continua sa route.

-Attends ! Oh j'ai mis un S. Pardon, je m'y attendais pas.

La jeune fille s'immobilisa et tourna la tête.

-Tu veux que je te dépose ? demanda-t-il en faisait un signe de main vers son scooter. Qui vient juste de la faire tomber, donc. Et toi monsieur le ... 5e ? 4e ? Je ne sais plus on est dans quelle classe dans cette histoire. Bref, t'as pas l'âge d'avoir un scooter mon grand ! Ils te surveillent tes parents ou quoi ?

Le cœur de Juliette se serra. Elle détestait les engins à moteur. Et à deux roue encore plus ! Mais elle détestai le regard suppliant de Jean-Baptiste et auquel elle avait du mal à résister. Mais étonament, elle réussit à trancher.

-Désolée, marmonna-t-elle, mais j'aimerai bien profité des derniers reyon de soleil d'été.

-Bon, dit-t-il, visiblement déçu. A la prochaine alors !

Et c'était l'introduction de JB, qui en pince très clairement pour notre Juliette pourtant peu aimable et peu loquace ! Elle décrit ensuite Line, la plus populaire de l'école étrangement gentille avec elle et son petit-ami Kevin, un garçon calme et beau – évidemment dans mes histoires les garçons sont toujours beaux. Ah Kevin est un ami de la famille de Juliette, par ailleurs.

Juliette rentre donc avec sa sœur Margot la pianiste pour rejoindre Sasha la sportive. Bon pas grand-chose à raconter de ce point de vue, avançons *son d'avance de cassette* Oh Misère j'ai écris en bleu clair. Mais quelles idées débiles j'avais. Ah ! Pendant un dîner, Juliette fait peur au père de Kevin (qui a des questions qu'elle juge embarrassante) elle le fixant jusqu'à ce que la température chute et que ça devienne malaisant. Ah, je résiste pas à l'explication et je vous attends TOUS.TES EN CHŒUR !

Juliette interpella Sasha avant qu'elle ne quitte sa chambre.

-Qu'est-ce qui c'est passer pour que tout le monde ait autant peur de moi ? demanda-t-elle.

Sasha parut embarrassé par la question. D'une main, elle tortier ses cheveux et de l'autre elle tenait son lecteur dont les oreillette pandait le long de sa jambe.

-Tu n'as pas vu ? demanda-t-elle d'une voix anxieuse.

Son aînée secoué négativement la tête puis baissa les yeux.

-La lumière était faible et la pièce froide, pour faire court, souffla Sasha ALLEZ TOUS EN CHŒUR. C'était assez effrayant. Tu te souvient dans Harry Potter 3, quand le détraqueur entre dans la cabine ? OH NON c'est pas drôle, mini-moi explicite tooout. C'était pareil ...

Sa voix se brisa et ses yeux était gonflé et plein de terreur. Elle nosa pas regarder Juliette. Sa respiration était saccadée et son visage refleté la frayeur qu'elle avait vécu il y a quelques semaines.

Elle réprima Il faut savoir que j'utilisais « réprima » pour dire « esquissa ». Oui oui je n'avais rien compris d'un faux demi-sourire et sortit de la chambre en vitesse.

Bref. Juliette en pleure, envoie balader sa plus jeune sœur mais finit par descendre de sa grotte pour aller en cours. LE COLLEGE LE COLLEGE LE COLLEGE (je suis sûre qu'il vous a manqué à Kiaso). A l'arrêt de bus, elle rencontre Ségolène, une nouvelle et j'utilise réprimer à toutes les sauces, sauf à la bonne ! Elle revoit Line et elles entrent toutes les deux en 5e A (OH comme moi mais quelle surprise surprenante).

Vasy rien d'intéressant au collège, même pas de peste. Pff. Bon allez, une petite scène quand même pour vous présenter la pétillante Line !

Line fit irruption en plein milieu du cour. Le professeur ne réclama pas d'explication. Line a vraisemblablement des passe-droit. A la récrée, Line entraina Juliette l'accompagné voir Lucas, son frère de troisième. Là encord Je n'ai toujours pas compris qu'il n'y avait pas de « d » ?, Juliette fut mal à l'aise. Car :

1 Line l'entraier avec des troisième

1 Line l'entrainer avec des beaux troisième

3 Line l'entrainer avec des beaux troisième pupoluaire. Alors je ne comprends que ce soit gênant comme tout ma petite Juliette, mais ce n'est pas la fin du monde. Et si tu en profitais pour t'ouvrir au monde ? Non ?

Après avoir beaucoup decendu son frère devant ses amis, Line emena Juliette voir des filles de cinquième B dont une belle brune qui était raide dingue de Jean-Baptiste. Elle regardait Juliette avec un regard noir. Ça aussi le BG qui flashe sur la petite timide et toutes les filles qui en devienne jalouses c'est cliché au possible. Pendant que Line bavardé vivement avec elle, Julienne s'éclipsa en espérant que Line ne la remarquerais pas. Hélas ! Elle lui attrapa le poignet.

-Où tu vas ?

-Aux toilettes, répondit-t-elle faiblement.

-Je t'accompagne. Vous savez quoi ? Même moi je suis usée.

Quelqu'un a noté « super ton histoire Perrine » dans la marge. C'est gentil mais je ne suis incapable de me souvenir qui a fait ça. Bref, Line continue de coller Juliette jusqu'à ce que celle-ci finisse par exploser alors qu'elles rentrent chez elle :

-Line ! Ecoute, je te l'ai déjà dit, j'aime bien être seule ! Mais toi ! Toi tu me suis partout ! Par-tout ! Au collège, je ne peux pas être seule ! En plus, la popularité n'est pas mon élément ! Qu'est-ce que j'ai de si d'important pour attirait ton attention comme ça !? BEURK CET ENCHAINEMENT.

Maintenant, le temps était orageux. Et de temps à autre, un éclait passer. Line n'était plus reyonnaite et ses yeux bleu gris étaient appeurés. Juliette le Détraqueur, le retour ! C'est là que Juliette remarqua ce qu'elle n'avait jamais remarqué. Ce contour des yeux, cils et les courcils de la rouquine ressemble comme deux goutte aux siens. Alors. Je ne sais pas ce que j'avais dans la tête pour imaginer qu'on remarque que deux personnes ont le même contour des yeux. COME ON BEBE MOI t'es pas crédible ! C'était sans doute la haine qui l'avait empêché de le remarqué. Seul la couleur changé, mais la forme était exactement la même. Line avait l'air perdu, mais finalement elle finit par décaré d'une voix faible :

-Je savait pas que c'était à moi de te l'apprendre ...

Juliette fronça les sourcils. Apprendre quoi ?

Line leva sa tête vers le ciel et marmonna un faible « pardonne-moi ». Line était croyante ? Elle pris une profonde inspiration. Elle avait l'air mal-alaise. Alors c'est moche. Mais moins moche que ma cousine qui avait écrit « mal à droite » pour Maladroite

-Le nom de jeune fille de ma mère était Donjon, lui apprit-t-elle. Son père, Edward C'est quoi cette orthographe ? Pourtant je suis positivement sûre que je n'avais pas commencé Twilight. Quoique ... Donjon, est mort dans les années 70.

Son impatience grandissait. Pourquoi Line lui raconté-t-elle ça ? Perrine, quand tu seras grande, tu apprendras l'imparfait. Au moment où Juliette se posait la question, la pluie tomba à verse. Malgré ses cheveux trampés, Juliette ne bougea pas, ne cilla pas. Line, elle, avait mis sa capuche. Elle grelotait.

-Il vaut mieux que je rentre chez moi, marmona-t-elle.

-Termine ton explication, exigea Juliette.

Un coup de vent glacial arracha la capuche de Line Ouh vraiment colère la Juliette là. Ses cheveux roux devenait châtain et son visage palissait à vu d'œil.

-Bon, finit-t-elle par dire après un silence glacial. Je ne vais y allait par quatre chemains. Edward Donjon est ton père. *est en train de faire des calculs pour tenter de deviner à quel moment c'est possible cette affaire*

Les bras de Juliette qui étaient resait croisé sur sa poitrine tombèrent le long de son corps. Elle avait l'impression que ses jambes allaient cédé sous son poids.

-Que ... quoi ?

Line nétait pas plus rassurée qu'elle. La pluie continuait à tombait et ses cheveux roux était de plus en plus foncé.

-Pour faire court, tu es ... tu es ...

-Un demi-fantôme ? termina Juliette, au bord des larmes. D'accord, j'étais partie sur « Edward a survécu et s'est barré avec la mère de Juliette » ... A quel moment la thèse du fantôme est la première qui te vient à l'idée ? Mais ... c'est n'importe quoi ! Les fantôme, ça n'existe pas ... Mon père ne pas être ... ton grand-père ! Ton père ne peut pas être un fantôme surtout ma belle.

-J'ai peut-être beaucoup de défauts mais je ne suis pas une menteuse. Ah mince, j'espérais qu'elle lui claque « mais t'es folle, qui t'a parlé de fantôme ? » Tu ne t'es jamais demandé pourquoi tu étais pâle ? Pourquoi tes yeux étaient était aussi gris que les nuages alors qu'aucun membre de ta famille n'en a de semblable ? Pourquoi ton corps n'emetait aucune chaleur ? Et dernière chose : Pourquoi nous avons les mêmes cils, sourcils et le même contour des yeux ? Alors cette phrase ça me fume toujours mine de rien.

Elle avait hurlé ces derniers mots. En effet, Juliette c'était posé toutes ces questions. Mais de là à ce qu'elle soit un demi-fantôme ! Elle baissa la tête. Elle pleurait. Etait-il possible qu'elle soit un demi-fantôme ? La question qu'on se pose tous et toutes ! Le peuple veut des réponses Line !

-J'y vais, lui annonça Line. Tu devrais rentrait chez toi. Euh. Line ? Le peuple, les réponses ? Non ?

Alors prenons le temps d'analyser le comportement de Line, qui lâche ce genre de bombe puis fuit tranquillement dans la foulée.

Line est une bonne amie. Soyez comme Line.

Juliette, évidemment bouleversée, va trouver sa mère pour avoir des explications. Elle tente d'éviter, jusqu'à ce que ...

-Qui t'a dit ça ? Line ? La rousse qui sort avec le fils de Justine ?

Juliette aquisa. Sa mère fronça les sourcil. Ah ! Sa mère ! Elle a-do-rait que Kevin et elle sorte ensemble ! Avouez on a tous quelqu'un comme ça dans notre entourage. Mais c'est vraiment la dernière chose qui se passera !

-Bon, ben, je suppose que je n'est pas le choix, finit-t-elle par déclarer.

Sa respiration était de plus en plus saccadée. Juliette, elle, avait l'impression qu'elle ne pourrait plus respirer. En disait ça, elle avouer que son père était un fantôme, non ? Sa mère avait la respiration de plus en plus courte. Je crois que cette famille a une maladie respiratoire. C'est peut-être en lien avec la parenté avec les fantômes ?

-Il y a onze ans, je venais de me marier avec Harry. Dans un miroir apparut une silouette grisâtre. Elle m'a dit que le conseil des morts avait besoin d'un demi-fantôme. Il a demandé si j'accepterai de le concevoir et de le porté. Après avoir réfléchi une semaine, j'ai accepté. ... Les champignons magiques de l'orphelinat sont de retour. A QUEL MOMENT TU ACCEPTES UN TRUC PAREIL ?!

Le cœur de Juliette se serra T'es sûre que tu n'as pas envie de vomir ? Moi j'aurais envie. Et elle arrêta instantanément de respirer. Elle remarqua que sa ne lui faisait ni mal au cœur, ni aux poumons. La parenté avec les fantômes, oui oui.

-J'avais peur, continua sa mère. Et un jour, le fantôme est revenu avec un autre fantôme qui par la suite deviendra ton père. Il avait l'air assez maussade et renfermé. Mais l'autre m'a appris qu'il s'appelait Edward Donjon et que mourir l'avait démoralisé mais qu'avait il était d'une joie de vivre incroyable. Par chance, il était beau. ... Perri c'est quoi cette phrase ? Genre heureusement qu'il était beau sinon jamais j'aurais accepté ? Et tant pis s'il est antipathique ? Rôh come on Perri tu vaux mieux que ça !

« Tiens tiens, de son vivant il ressemblait beaucoup à Line », ne put s'empêché de penser Juliette.

-Tu as été conçu le jour même, dit-t-elle. Et tu es née la suit qui passe du 24 au 25 décembre, à une heure du matin. Le medecin m'a dit que tu avais de la chance, les enfants qui naissent la nuit de noël ont souvent de la chance. D'où ça vient cette affaire ? Je sais pas vous mais je lui trouve pas de chance à notre petite Juliette.

Line avait donc eu raison ? Elle était vraiment un demi-fantôme.

Voilà donc le nœud de l'histoire qui soulève des masses de question. La mère de Juliette avait-elle toute sa santé mentale ? Comment s'est passé la conception ? Juliette peut-elle traverser les murs ? MAIS QUE DIABLE VA-T-IL SE PASSER ?

Bon, elle retrouve son père – qui du coup est son père adoptif – qui les emmènes en vacances, sauf que Juliette refuse parce qu'elle le déteste et que soudainement devant lui elle est bien contente d'avoir un père fantôme. Sa mère la défend, sauf que Juliette comprend que c'est pour la présenter à son père biologique ce qu'elle refuse. En même temps, comment lui en vouloir ?

Line arrive donc pour remonter le moral de son amie – de sa ... tante – après avoir fui si lâchement. Oh ce passage est chouette, je l'avais écris aux vacances au Mont Saint-Michel, je me souviens ! Oh, elles croisent Amandine, une fillette de 10 ans encore plus irascible que Juliette. Souvenez-vous d'Amandine. BON MON PASSAGE CUTE il arrive ?

Bon ça va être un passage gruyère. Parce que j'ai du très croustillant et du très inutile. GO GO GO ! Juste, Line est une balance et a tout dit à son copain hein, qui rassure Juliette en disant qu'il l'aime bien quand même.

Line les amena de l'autre côté de la place. Devant la boutique de DVD Enfant des années 2000 bonjour ! C'était un GRAND PLAISIR de louer un DVD et de le regarder en famille ! (Et pourvoyeur de drame familiaux, on n'arrivait jamais à s'entendre avec ma sœur) Jean-Baptiste attendait. La rouquine lança un regard reprocheur à Kévin.

-Tu as demander à JB de venir ? interrogea-t-elle d'un ton sévère.

-Non, répondit son petit-ami en fronçant les sourcils.

Il s'avança vers son meilleur ami, Line et Juliette sur ses talons. Jean-Baptiste fut ravi de voir Kevin et la rouquine mais son regard s'assombrit quand il vit Juliette Oh bah alors JB ?. Celle-ci se demanda si il n'était pas au courant de ses origines. Elle espérait bien que non, mais le comportement de Jean-Baptiste disait le contraire. Line la tira de ses songe.

-Je me demande si on ne devrait pas lui dire, chuchota-t-elle à son oreille. *s'éclaircit la gorge* Line ? Tu veux pas le crier sur tous les toits aussi ? COUCOU MA POTE A UN FANTOME POUR PERE NON NON JE N'AI PAS ACCEPTE LES CHAMPIGNONS DE L'ORPHELINAT DE NOEMIE

Si JB était comme sa, sans savoir qui était son père, alors qu'estce que se sairait quand il saurait ! Je vais devenir épileptique rien qu'en regardant cette phrase. Rien que d'y penser, son sang bouilla *s'étouffe* dans ses veines. Le ciel, déjà nuageux, s'assombrit. Line y jeta un coup d'œil avant de tirer la manche de son amie.

-Calme-toi, supplia-t-elle.

Juliette lui décrocha un regard aigu. La rouquine paniquait finit par déclarer :

-OK, OK, je ne dirais rien ! Sage décision. Je pense qu'avec la douche qu'elle a pris la veille, Line a compris qu'il valait mieux ne pas énerver sa tante hihi.

Cela calma un peu la jeune fille et le ciel s'éclaircit. Kevin faisait mine de rien et Jean-Baptiste non plus. En même temps pourquoi il aurait les yeux fixés sur le temps ?

-Qu'est-ce que tu fais là ? demanda-t-il d'un ton sec.

-Acueuille chaleureux à ce que je vois, reprocha son ami d'un ton plus doux ça a l'air d'être un sucre ce Kevin. On se promène.

Jean-Baptiste arqua les sourcils. Il n'avait jamais vu Juliette sortir de chez elle, a part pour aller chercher ses sœur.

-Et toi ? ajoutaa Kevin.

-J'attend Alix.

Quand il eut pononcé se nom, le sang de la demi-fantôme recommença à bouillir dans ses veines. Cette blondasse l'avait toujours persécuté depuis la primair ! OH non, j'avais un vocabulaire si bien utilisé, pourquoi je viens tout gâcher avec « blondasse » ? (OK je suis secrètement ravie de retrouver la peste, et vous ?) Elle et ses copines jettaient des cailloux ou elles lui tiraient les cheveux ou pendant les jours de beau temps elle était la principal cible de leur bombe à eaux.

-Tu sors avec ? s'étonna Line, qui ne se rendait pas compte que le ciel devenait orageux.

-Non ! s'indigna le grand brun. Mais elle m'a demander et elle veut que je lui donne la réponse ici. Devant un vidéo-club. Mais dites-moi, elle a quoi en tête cette Alix ?

-Dans ce cas, je m'éclipse avant qu'elle n'arrive, murmura Juliette à Line. OH MAIS NON Juliette, on veut voir Alix nous !

-Tu as raison, dit-elle dans un souffle. Il vaux mieux ne pas croisé cette prétencieuse. La simple idée de la voir faire les yeux doux à JB m'écoeur.

Line et Alix étaient rivales depuis qu'elles se connaissaient. C'est drôle je viens justement d'écrire un passage sur la rivalité entre Emily et Octavia dans O&P. Malgré tout ses défauts, Alix avait au moins une qualité : sa beauté. Elle portait de long cheveux blond doré, des yeux bleus limpides et une peau légèrement allée. Line, elle, était populaire grâce à sa gentillesse, sa douceur mais s'attiré des ennemis à force d'essayé d'intégré tout le monde.

Bref, on avance : magasins, Juliette voit quelqu'un que Line ne peut pas voir, ressortent et là :

Quand elle sortirent du magazin, une fille blonde grande et mince sortit de la boutique de DVD d'un pas furieux.

-Ah Ah ! ironisa Line. Son atesse c'est pris un royal rateau. Euh. Ce n'est pas cool.

Alex tourna vivement la tête. Ses yeux rouges montrait qu'elle avait pleurer. Line eut un large sourire de triomphe avant de se tourer vers Juliette. OK les pestes sont les pestes mais jamais on sourit quand quelqu'un pleure sérieux. Celle-ci avait gardé la tête baissé et se tortillait les cheveux. Quant la rouquine se retourna la tête, Alex se tenait devant elle.

-On se moque du chagrin des autre a cse que je vois, répliqua-t-elle avec froideure. Il est vrai que je me suis otrdue de rire quand ton grand-mère et mort l'année dernière. Je ne me suis jamais moquer te ta tristesse alors ne le fais pas avec moi, parce que serait vraiment deguelasse.

Applaudissements nourris pour la peste s'il vous plait, qui est fort juste et qui a fort raison !

Sur ce, elle tourna les talon et s'éloigna. Juliette ne pu s'emperché de penser qu'Alix avait raison. Elle n'avait jamais respecter le bonheur de Line, au moins son malheur ... Je trouve cette phrase ... je ne sais pas. Je l'aime pas. Tandis que la rouquine n'avait aucun repis pour Alix. « C'est une guerre et une guerre il n'y a pas de pitié » lui avait-t-elle dit Oui, Line est une peste elle-même.. N'empecher que c'était déguellasse. Le demi-fantôme se surpris a déclaré :

-Elle n'a pas tout à fait tort.

Piqué au vif, Line ce retourna brusquement et pointa sous index sous le nez de Juliette.

-Toi, ne la ramène pas ! ordonna-t-elle. MAIS QUOI mais quel comportement de peste justement ! De peste à son larbin ! Mais je rêve !

-Line, pourquoi tu agresse Juliette ? demanda une voix moqueuse.

Jeaun-Baptiste arrivait, Kévin sur ses talons. Line se retourna, croisa les bras sur sa poitrine et lança un regard noir à Jean-Baptiste. Celui-ci eclata de rire. Juliette haussa les sourcil. Avait-il oublier sa presence pour être aussi gai ? Line aussi était interdite. Elle s'avança vers son petit ami et lui chuchota qu'elque chose à l'oreille. Kevin hocha la tête. La rouquine lui jeta un regard reprocheur avant de tourner les yeux vers Juliette. Celle-ci comprit et sa rage monta en flèche. La prochaine fois qu'il répète ça je les decoupe tout les deux en morceau, s'éernva-t-elle. Non mais ils l'ont pas balancé à JB quand même ? Non ? Sérieux ? Mais ils savent pas tenir leurs langues, c'est quoi ces amis.

Un puissant gondement d'orage se fit entendre. Dites bonjour à Juliette – Zeus – Demars.

-Mauvais idée, Juliette.

Le demi-fantôme tourna la tête vers Jean-Baptiste. A son grand étonnement, il la regardé droit dans les yeux.

-Personnnelment, j'ai pas envie d'être trampé en rentrant, continua-t-il. Par contre, Line aurai très sertement besoin d'une bonne douche froide. OH OUI JE DIS OUI POUR UNE DOUCHE FROIDE POUR LINE mais quelle idée de génie mon cher JB.

N'empêche c'est sympa comme chose à savoir. La première fois qu'on se retrouve en canicule à suer comme des larves dans nos canapés, on demandera à Line d'aller nous énerver Juliette : ça nous fera tomber la pluie.

Juliette racana et son cœur se mis à battre très fort. Jean Baptiste s'avança vers le demi fantôme et replaça une de ses mèche derrière son oreille et murmura :

-Tes origine sont peut etre bizarre mais elles explique beaucoup de chose. Tu n'as pas a avoir honte. ALORS CHERS BEBE ECRIVAINS. Un humain normal ne réagit jamais aussi calmement. Un humain normal commence par croire à une blague, puis est dans le déni, puis flippe complètement.

-Je n'ai pas honte Non, elle devrait flipper, expliqua-t-elle en détournant les yeux. Seulement, je n'ai pas envie que tout le monde le save. TU ENTENDS LINE ?!

-C'est ton choix.

Sur ce, il s'éloigna en direction de l'hôtel de ville. Juliette le suivit des yeux un instant et fut entonné de sentir son cœur battre d e plus en plus fort. Etat-elle en train de tomber amoureuse de Jean-Baptiste ? Mais exactement ma petite chérie ! Ah je suis contente, j'ai commencé à introduire une histoire d'amour qui est cute.

Juliette rentre donc chez elle. ET LA QUI VOILA.

Sa mère, assise sur le canapé buvait une tasse de café et devant la television à quelque centimètre du sol se tenait la silhouette d'un homme grisârtre. Il était presque transparent et il avait l'air maussade. Il portait des cheveux sombre et un costume-cravate. Il avait exactement les même yeux et la même peau pâle que Juliette. En même temps chérie c'est un FANTOME. Celle-ci devina que c'était Edward Donjon, celui qui l'avait conçu, pour le conseil des morts. Un peu sonné, Juliette ne parla pas. Ce fut sa mère qui rompi le silence.

-Juliette, commença-t-elle d'une voix mal assuré. Je te présente Edward Donjon, ton père.

Quand elle eut prononcé ses derniers mot., le cœur de Juliette se serra. Elle n'était pas prête à l'idée de connaitre son père. Elle risqua un coup d'oeil du côté d'Edward. Il fixait sa fille avec un pâle sourire aux levre. « On a le même sourir » constata Juliette ; Elle allait le saluer mais le fantôme prit les devant :

-Je suis enchanté d'enfin pouvoir faire ta connaissance, declara-t-il.

Sa voix raisoné dans toute la pièce. Juliette était impassible. Elle se contenta d'hocher la tête.

-Depuis onze ans, j'attendait se moment : pouvoir enfin contempler ma fille. Même si une demi humaine. C'est quoi cette réflexion pas du tout avenante.

Le demi-fantôme ouvra des yeux totalement ahuri. Pourquoi l'apelait-t-il demi humaine. Se n'était pas logique. Ça dépend du point de vue. Elle était demi-fantôme, pas demi-humaine. Cette réflexion est totalement inutile ma chère Juliette. Elle acquisa à nouveau. Elle tenait bon, mais elle avait quand même l'impression que ses jambes allait craquer sur son poids. Elle s'agripait fermement au bras du fauteuil et et fixait son père droit dans les yeux. Gris et gris, leurs regard n'était pas très colorés. Edward Donjon s'éclarcit dans la gorge.

-Tu voudrais peut être savoir pourquoi un fantome à féconder avec une hmaune ? « A féconder » mais c'est quoi cette façon de parler de sa naissance. Hyper froide, hyper scientifique. Juliette est un rat de labo en fait.

Mais cela dit. AH MERCI ENFIN DES REPONSES

-Depuis deux cent ans, commeça-t-il, des enfants humains et fantôme disparaissent mystérieusement.

Jusque là, Juliette tenait le coup. Se n'était pas très compliquer de le suporté mais pourquoi lui parlait-il de ça ?

-C'était étrange, contuina-t-il. Car seul un fantôme peut attraper ou toucher les nôtre, mais nous ne pouvont pas attrapé les chose solide.

Là, c'était pas facil à comprendre. ... Non Juliette, c'est juste du bon sens. Fantôme, humain, enfant ... Cela tournbillona dans la tête de Juliette. Mais avant tout, elle ne comprenait pas pourquoi il lui raconté ça.

-Quand je suis ... mort -il prononça se mot aussi tristement que faiblement – j'ai toute de suite était integré au conseil des mort. Un conseil qui fait ofice de gouvernement chez les mort.

Plus son père en ajoutait, plus le demi fantome sentait ses jambes cédé et sa tête tournait. D'accord Juliette, on a compris que tu étais à deux doigts de tomber dans les pommes. Et se qui lui était jamais arrivé, elle avait des nausés. Bien qu'elle n'avait rien a rejeter, était donné que son estomac était vide depuis trois jours. MAIS QUOI. Mais c'est ça que tu vas tomber dans les pommes ! Un sucre pour Juliette VITE !

-On discutait des meusure à prendre et puis un jour a revu des enfants enlevé. Mais ... disons qu'il était différent. Les enfant fantômes sont devenu solide. Et les humain ont pris des forme fantomatique. Nous avons donc décidé de concevoir un demi-humain. OK le lien de causalité n'est pas hyper évident pour moi.

Les jambes de Juliette allaient ccédé. Se qu'elle craignait été vrai. Elle avait était conçu par devoir et pour avoir une mission à accomplir. Ah. Bah oui, Juliette est un rat de laboratoire. Elle voulait aller s'assoir mais ses muscles refusèrent de lui obéir. Elle était figé. Et assez angoissé pour tout dire. Une réaction parfaitement normale ma chérie (pour une fois)

-Pourquoi ? parvint-t-elle à ariculer faiblement en baissant la tête.

Son père parut boulversé par sa réaction. Il vola vers sa fille et mis doucement une main sur son épaul. Juliette sent son brouillard faute d'un meilleur terme, clairement entrer en contacte avec son pull. Elle leva bravement la tête.

-Car seul un demi-humain peut toucher nos deux espèce, expliqa-t-il avec douceur. Nous avons besoin de toi pour trouver celui qui sépare des parents de leur enfant.

Honnêtement ? Je ne vois toujours pas le rapport avec la choucroute mais soit.

Son père lui explique ensuite qu'en étant fantôme, il a acquis quelques pouvoirs qu'il a transmis à Juliette – d'où le fait que son humeur serve de météo ambulante. Il lui apprend donc quelques trucs – et notamment à faire léviter des livres, par exemple – avant de lui donner un pendentif.

SAUF QUE PATATRA La même de Juliette subit une étrange attaque et est envoyée à l'hôpital. Juliette se retrouve seul – A QUEL MOMENT ON LAISSE UNE MOME SEULE je vous le demande. Sérieux j'ai vraiment un dialogue avec un ambulancier :

-Vous avez quelque part où aller ?

Juliette tourna vivement la tête du côté de l'ambulancier.

-Je vais rester chez moi, murmura-t-elle.

Il aquiesa et racompagna le demi fantôme devant chez elle.

MAIS QUOI. MAIS MONSIEUR ENFIN.

J'écris vraiment mieux au stylo-plume, c'est incroyable je suis plus lisible. Pardon. J'analyse l'évolution de mon écriture manuscrite en même temps – sachez que je suis passée des lettres énormes aux pattes de mouches. Mon meilleur pote appelle ça « l'alphabet Perrinien ».

Bon je veux arriver au creux de l'intrigue – on est à 31 pages sur 42, et je vous aime fort mais je ne vais pas tout recopier pour vos beaux yeux. Line arrive en avançant que les fantômes sont peut-être responsable du malaise de la mère de Juliette – en effet, la coïncidence est troublante. Juliette en profite pour accuser son père.

Elle se retrouve à se battre avec les éléments contre une « fausse demi-fantôme », Amandine, qui lui parle du « diamant d'Ochéa » et qu'elle finit par laisser partir parce que ce n'est qu'une gosse de 10 ans. Et après ça elle se retrouve face à un nouveau fantôme très énervé :

-Richard Dubois, mort en 1789 lors de la révolution française, chef du conseil des mort, déclara-t-il I'M DAENAERYS STORMBORN MOTHER OF DRAGONS KHALESSI OF THE GREAT SEA AND BREAKER OF CHAINS.

Juliette perçut dans sa voix une pointe d'agasement. Elle le fixa droit dans les yeux tout en réfléchissant. Il venait de faire reference à Galpin et a un « faux demi fantome ». Elle se doutait que c'était une reference a Amandine mais qui était Galpin ? Le maître d'Amandine ?

-Oui, je pense, répondit Richard à sa quesltion silensieuse. C'est un dangereux fantôme qui faisait autrefois partit du conseil. En 1805, une grave dispute nous opposa à lui et Salazar Serpentard décida de quitter l'école. Pardon je laisse Richard parler : Alors il finit par quitter le conseil Non mais ces phrases toutes faites que je copie des films je meurs. Mais la question n'est pas là. Je suis venu pour t'aidait à métriser le diamant d'ochéa.

Encore ce diamant ! Mais qu'a-t-il d'important ? Ah bah il m'a l'air au cœur de l'intrigue, ma grande. Mais autre chose tourmante Juliette. Il savait qui enevé les enfants. Si lui le savait, alors tout le conseil était au courant et son père par-dessus tout ! C'est la réflexion que je me faisais. La réponse : mini-moi n'était simplement pas cohérente et inventait tout au fur et à mesure, ce qui explique les explications en gruyère. Le sang bouilla nop. Toujours pas. dans ses veines et la faible lumière diminua, laissant le fantôme et la jeune fille dans l'obscurité. Richard Dubois explosa : LE RETOUR DE JULIETTE LE DETRAQUEUR.

-Bon Dieu : Par la parole de la Vierge Marie ! Dépêche toi de retablirent la lumière, Demi-Humaine !

Juliette secoua la tête totalement ahuri. Elle ne s'habituré J'ai eu un haut-le-cœur jamais au fait que les fantôme l'appel « demi-humaine ». Jamais. La lumière fut vite rétabli. Le fantôme avait croisé les bras sur sa poitrine transparente et on pouvait lire la fureur sur son visage.

Allez on avance jusque la question intéressante :

-Qu'est-ce que le diamant d'Ochéa ? Pourquoi avais vous qualifier Amandine de « fausse demi fantôme » ? Pourquoi Galpain veux-t-il créer une armée ? Et pourquoi faut-il m'apprendre à utilisé le diamant – à supposé que je l'ai ... - elle soupira – pourquoi avait-vous besoin de moi ?

Ce paragraphe a été très pénible à recopier. Sincèrement, c'est horrible les fautes. Rôh et derrière je passe dans la tête de Richard. Chers petits bébé-écrivains : C'EST UN NON. Pas dans un premier temps, en tout cas : on ne saute pas d'une tête à l'autre d'une phrase à l'autre, c'est juste affreux à suivre après. On privilégie quelque chose de lisible.

-Quand Galpin à quitter le conseil, il avait une rage sauvage contre nous. Il erra dans l'enfer pendant dix ans pour ensuit disparaitre.

-L'enfer ? s'étonna Juliette.

-Oui, répondit Richard Dubois. L'enfer. Le pire châtinement qu'une personne puisse s'infliger à elle-même. Elle me dit quelque chose cette phrase, je suis sure que c'est dans un film. Je reviens quand j'ai trouvé. J'AI TROUVE elle est dans Pirate des Caraïbes 3 ! Mais revenons à se qui nous intéressent. Deux ans après la disparition de Galpin, de enfants fantôme – autrement dit, des enfants mort entre 3 et 18 ans – ont commençait à disparaitre. Puis des enfants humains. Au début, on ne faisait pas le raprochement avec Galpain Perrine, accorde toi sur l'orthographe de tes personnages steup .... Ce n'est que plus tard, beaucoup plus tard, que nous avons compris.

« Il ne m'apprend rien de nouveau » se desepera Juliette. Elle savait tour cela, depuis quatre jours. Quatre long jour. Il n'avait pas répondit à ses questions.

-Mon dieu ! Patience, s'écria-t-il, agassé. J'y vient. Tu voulait savoir qu'estce que le diamant Ochéa. Et bien Ochéa était de son vivant une alchimiste vivant à l'époque de philipe IV Lebel On sent ma passion pour l'Histoire mêlée à ma haine de l'orthographe. Elle s'interessa fortement à la vie après la mort. Après une deceni de travail et de recherche, elle a fini par nous découvrir. Alors le representant au conseil de l'époque fini par se montrer à elle et lui raconta tout sur les fantome. Elle continua neenmoins ses recherches et appris des choses sur les fantômes que nous même nous ne savions pas. Quant elle mourrut à 47 ans, elle fut accepté au conseul des morts et devint vite la chef. Mais son savoir resta plus étandut et personne ne sais comment, mais elle reussi a accoitre ses pouvoir. En plus des pouvoir normaux, elle pouvait : se rendre invisible, Influencé les lumiere – tout en sachant que sans lumiere, les fantome ne peuvent pas utilisé leur pouvoir -repoussé certaine attaque, ... Hum, ce n'est pas mal cette affaire *hoche la tête les yeux plissés*

« Bref, Ochéa avait beaucoup de pouvoir. Telment que au bout d'un moment, elle commença à le mettre à son avantage. Ah le grand classique du génie pris de la folie des grandeurs ... Comme Galpin, quelque siècle plus tard, elle s'opposa au conseil, le vaincu et s'attribua le pouvoir à elle-même. Après un demi siecle de tyrannie complète, Le conseil se reuni et fit usage de tout ses pouvoir et enferma Ochéa dans un minuseul diamant solide qui plus tard, sera incrusté dans une breloque en forme de rose des vents, en or blanc pur.

Le cœur de Juliette se serra si ford qu'elle eu l'impression que le sang ne passait plus à l'interieur. Cette breloque ressemblé en tout point au pendentif qu'elle portait au cou. Elle portait Ochéa !

ET OUAIS. Et comme elle le porte, elle carrément utiliser ses pouvoirs.

» » »

Alors BILAN.

Est-ce qu'on parle de l'orthographe ? Non ? C'est horrible on est d'accord, je ne fais aucun effort, aucun progrès. Ça reste mon plus grand défaut.

Mais je trouve qu'il y a du beaucoup mieux concernant l'écriture. C'est plus fluide, avec des expressions plus variées. Les émotions sont mieux décrites : on est vraiment plongé dans la tête de Juliette, dans ses réactions et c'est pour ça que j'ai grimacé au moment où pour la première fois je change de point de vue.

Et puis évidemment, l'immense, la grande amélioration, c'est l'intrigue. Au revoir la catharsis d'Odèle, au revoir le plagiat de Noémie : bonjour le véritable univers original ! Vraiment pour le coup, tout est 100% sorti de ma tête, avec un univers plus ou moins structuré et une intrigue qui se construit dans son sein. Et là, on arrive enfin à quelque chose qui s'approche du sympa.

Alors il reste des problèmes. L'intrigue reste bancale : on ne comprend pas bien l'utilité de la conception de Juliette. J'écrivais au fil de la plume donc des détails me venaient bien plus tard – ce qui explique que l'histoire avec Galpin et le conseil arrive deux ans après le reste. Du coup j'ai plein d'incohérences, ce n'est pas hyper clair. Je vais dans tous les sens et l'univers reste esquissé et maladroit – encore une fois dû au fait que j'y allais en free-style.

Au niveau des personnages, je trouve qu'on reste dans les mêmes stéréotypes : dites bonjour à Line ! Beaucoup de mes « meilleures amies » lui ressembleront, avec un caractère de feu et une tendance à être agaçante. Là encore, je m'éparpille mais il y a du mieux dans la crédibilité et dans la qualité des personnages, qui sont un peu plus caractérisés et attachants. On a un groupe vraiment plus sympa, même si Line est clichée, JB encore insipide et Juliette un peu lunatique.

ð Qu'est-ce que ça vous apprend jeune auteur ?

- Qu'un bon récit est basé sur la crédibilité. Et que tout de même, il y a un certain nombre de chose qui ne sont pas crédible dans l'histoire de Juliette. Je n'invoque pas de justification à sa conception et surtout à l'acceptation de sa mère (et ça semble hautement improbable) et elle accepte beaucoup trop vite sa véritable nature. N'oubliez pas : les révélations prennent du temps à être digérées ! Votre personnage va passer par plusieurs étapes d'acceptation et Juliette est clairement trop vite passer à « OK, bring git on ».

- Evitez de vous éparpiller. C'est ce que je fais : il y a beaucoup trop de chose, ici, entre les origines de Juliette, et on enchaine avec l'attaque sa mère et puis les explications sur le diamant, tout va trop vite et ça fait beaucoup de chose à traiter. Prenez le temps de poser chaque élément d'intrigue, de tout déployer, et gardez une ligne directrice !

- Je ne sais pas si vous avez remarqué : je me sens obligée de mettre une incise à chaque réplique. Ça donne un rendu assez lourd, je trouve alors petit conseil : n'hésitez pas à faire des répliques sans incises pour fluidifier et surtout, variez les verbes de parole !

- Quand vous vous lancer dans un univers original : PAS DE FREE-STYLE. Brainstormez le à fond, avant de vous mettre à écrire. Ça évitera les explications en gruyère et les incohérences. Quand on écrit du fantastique :

1- L'univers : sa structure et ses limites

2- La place du ou des personnages dans l'univers

3- A partir de là, développer une intrigue.

ET SEULEMENT LA on peut se mettre à écrire.

- Soignez l'orthographe. C'est important. C'est le plus important. 

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