PDV JASON

Notre cachette n'était pas vraiment le luxe ; nous étions serrés et collés pour essayer de nous dissimuler dernière la roche. Frank avait jugé bon de se transformer en petit oiseau, il ne prenait donc pas vraiment de place. La silhouette que nous avions vu s'avérait à être un garde. Ce qui m'inquiétait, c'était qu'il semblait ne pas nous avoir entendu, pourtant nous étions tomber sur le sol en hurlant. Même un sourd nous aurait entendu ! Quoi qu'il en soit, le garde faisait les cent pas à travers la salle. Celle ci était surtout composé d'étages qui étaient entièrement couvertes de bocaux et de flacons contenant toutes sortes de choses. Certains étaient rempli de liquide vert et orange, d'autres d'herbes et de fleurs. Je supposai qu'il s'agissait d'ingrédients pour des potions. Soudain, un autre garde entra par une porte à l'arrière de la salle. Porte que je n'avais pas vu avant. Le premier garde, qui je précise était un ogre de terre, se retourna pour accueillir son collège. Ce dernier était un géant, mais infiniment plus petit que ceux que nous avions combattus l'été dernier. Le géant en question devait mesurer approximativement trois ou quatre mètres. Il s'avança et fit signe à l'ogre de dire ce qu'il avait à dire. Celui ci ne se fit pas prier :

- J'ai entendu un bruit bizarre, comme des voix humaines...

Oh non. Il nous avait entendu. Mes amis furent tous aussi embêtés que moi. S'ils nous trouvaient, ils n'auraient pas de mal à nous déchiqueter et nous envoyer aux Enfers.

- ...aussi, je crois que les demi-dieux sont arrivés.

Le géant fit une grimace, qui se transforma en rire. Quand il eu fini, il répondit :

- Très bien. Même si je crois qu'ils se perdront dans nos tunnels, nous devons être sûr qu'ils n'aie pas pris le bon couloir. Viens Gérât, nous allons vérifier.

Ils partirent tous les deux en direction de l'entrée par laquelle nous étions entré. Merci aux dieux, ils ont jugé bon de ne pas regarder derrière la pierre. Quand ils furent partis, le silence régna quelques minutes dans la pièce. Annabeth se leva et regarda autour de nous.

- Tu vois quoi ? lui demanda Léo depuis le sol.

- Des étagères remplis de bocaux, de flacons et d'herbes, répondit elle. Du côté droit il y a un chaudron et un espèce de puit.

- Des trucs utile !

Annabeth pivota à quatre-vingt-dix degrés ( nda : ça m'a fait mal au cœur d'écrire ça moi je dis nonante xD ). Apparemment, ce qu'elle vit ne paru pas plus plaire, car elle écarquilla les yeux. Elle se rassit et resta quelques instants muette. Quand enfin elle remarqua nos regards interrogateurs, elle annonça, toujours en chuchotant :

- De l'autre côté de la pièce, la bas ( elle désigna avec le doigt l'endroit dans lequel se trouvait le truc qui l'avait tant étonné ), il y a un espèce de table. Sur cette table il y a un bocal de la taille d'un ballon de foot. Ce dernier est connecté à des câbles qui se lié à un genre de citerne verticale en verre.

Heu, okay... un genre de transfert, du bocal à la citerne verticale. Mais pourquoi ?

- Qu'est ce qu'il y a dans le bocal ? demanda Frank.

Annabeth se leva pour regarder à nouveau, comme pour vérifier. Elle se rassit et expliqua :

- Des espèces d'éclairs en fumée de toutes les couleurs : gris, bleu, rose, rouge, or, argenté...On dirait qu'ils essaient de sortir de ce bocal. C'est comme... leur prison.

Des éclairs de fumée coloré ?! C'est quoi c'te blague encore ?! Ils se moquent vraiment de nous ! Mais Piper paru comprendre. Elle se leva à son tour pour regarder. À en juger de son regard, il semblait qu'elle avait eu la confirmation. Quand elle se rassit, elle voulut dire quelque chose, mais la porte au fond de la salle s'ouvra. Un silhouette féminine entra et claqua la porte, nous faisant sursauter en silence. Elle marcha d'un pas vif vers l'autre côté de la salle, où se trouvait un chaudron que je n'avais même pas remarqué. Au passage, elle prit quelques bocaux et flacons qui se trouvaient sur les étagères et versa tout dans son chaudron. Je me retournai lentement et vis dans le regard de Percy et Annabeth que de la peur et de la colère. Ça ne pouvait signifier qu'une chose : la femme dans la pièce était Circé.

PDV HAZEL
Notre place commençait à devenir inconfortable. Nous ne pouvions pas bouger. Mon nez me chatouillait et j'avais besoin d'éternuer. Mais je me retenais. Nous observâmes pendant quelques minutes la femme qui se trouvait être Circé. Elle faisait aller-retour vers son chaudron et les étagères. Au bout d'une dizaine de minutes, la porte du fond s'ouvrît à nouveau. Je ne pus voir que les contours de la silhouette car cette personne ( ou monstre) brillait tellement fort qu'il m'était presque impossible de le regarder. Il arrivait la même chose à mes amis car ils détournèrent tous le regard. Le silhouette brillant s'approcha de Circé et cria :

- Quand cela finira ?! Je ne peux plus attendre !! Ça fait une semaine que tu es ici pour prépare la potion et tu n'as toujours pas terminé !

Circé poussa un soupir puis répondit :

- Seigneur, il fait précisément sept jours pour préparé cette potion, vous le savez très bien.

- Ne me parles pas comme ça ! N'oublie pas que c'est moi qui t'es ramené à la vie. Je peux aussi te la retirer cette vie !

- Et n'oubliez pas pourquoi vous m'avez rendu la vie. Car il vous fallait une enchanteresse. Une qui ai aussi un désir de se venger de ces demi-dieux, Seigneur Tartare !

Tartare ? S'agissait il vraiment du dieu ?  Je me retournai lentement et cherchai mes amis du regard. Je trouvai celui de Percy, qui semblait terrifié, mais toujours déterminé à se battre pour les dieux.
La lueur du dieu de l'abîme commençait lentement à se disperser grâce à la potion de la Sphinx. Tartare repartit et nous restâmes seuls avec Circé. Elle continuait toujours sa recette. Soudain, un ogre différent de celui de tout à l'heure arriva, malheureusement par l'ouverture qui se trouvait à quelque mètres de notre cachette. Il regardait en direction de Circé.

- Circé, déclara-t-il, οι επτά κατάφεραν να περάσουν.

Je ne compris pas le moindre mot de ce qu'il venait de dire. Mais apparemment, ce ne plaisait pas à Circé. Elle aboya :

- Trouvez les !! αν ξεφύγουν, όλο μας το σχέδιο κινδυνεύει! Tu connais les enjeux !

L'ogre s'inclina puis voulu repartir. Mais malheureusement, il se retourna et regarda en notre direction.

- Κυρία, νομίζω τα βρήκα, dit-il en regardant toujours en notre direction.

Ça ne me plaisait pas. Surtout que je ne comprenais rien à ce qu'il disait.

- Et donc. Où sont ils ?! demanda l'enchanteresse, toujours en remuant sa potion.

- Βρίσκονται ακριβώς εκεί, répondit l'ogre en désignant notre roche.

- Pardon ?! cria Circé, incrédule.

- Ρίξτε μια ματιά και μόνοι σας! Ici.

La sorcière vint vers nous et se pencha. Quand elle nous vit, elle se mit à rire.

- Μπορείς να φύγεις, dit elle à l'ogre. Και καλέστε τον αφέντη σας! Αφήστε τον να έρθει σε πέντε λεπτά!

Celui ci s'inclina et partit.

- C'est bon les enfants, nous dit elle depuis son chaudron, je vous ai vu ! Vous pouvez sortir !

Nda : chapitre un peu corrigé à la rash, j'espère qu'il n'y a pas trop de fautes. Merci d'avoir lu ✨