Ton asservi
Si, tandis que je veille au pied de ton cœur pour obtenir quelques faveurs,
Tu te pares de velours noir pour venir planter une dague dans ma ferveur
Quel bonheur pourrait encore me voir sourire ?
Quel espoir resterait-il dans l'air que je respire ?
Si violemment, tu m'affranchis de tes yeux dont j'étais avec plaisir enchaîné
Ô ces cordes qui retenaient mes poignets... Comme je les ai aimées...
Dis, crie, chante-moi la raison de ta froideur, de ton soudain mépris
Je souffre à la mort, à la vie
Sans toi, à en être éternellement meurtri
Je te demande une dernière fois, pourquoi...
Triste, mais tendre,
Ton asservi.
@MadnessChoice
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