V. L'argent
Je vous l'avais promis, voici... L'ARGENT ! Et oui, parce que, l'argent, tout le monde reconnaît. Surtout toi, Summer-Michto-Mais-Pas-Trop.
(d'ailleurs, il faudrait que je l'analyse, Summer Winter June Cunégonde Jewels Beatifuls troisième du nom)
L'argent, dans les fictions, c'est souvent... ben... Horriblement sexiste. Et oui, car les fictions sont très souvent ULTRA sexiste (ça aussi, vous risquez de le voir). *les garçons de la salle s'insurgent*
Entre le badboy qui victimise la pauvre fille vierge, le kidnapping, la cuisine, le viol, les violences et la gamine qui revient toujours vers le badboy qui casse les murs après avoir joué à FIFA (Leroy Merlin recrute), l'auteur.e ne fait pas vraiment attention à ce qu'iel raconte. *s'énerve*
Mais là, on va parler de l'argent ! (Désolé, c'était mon côté normale (et pas féministe, juste normale bande de crétin moyenâgeux, c'est normal de vouloir qu'on ai les mêmes droits et...) qui parlait. )
L'argent, dans les fictions, c'est... je l'ai déjà dit ? *approbation générale*. En tout cas, la fille est souvent pauvre. Très pauvre même. Elle vit dans une bicoque misérable, quand soudain, ô miracle ! un prince charmant ténébreux et (surtout) millionnaire survint sur sa grosse moto (trai chair mdrrrr) et l'emmène loin de sa méchante patronne qui la bats. *ricane, s'étouffe, décède, ressuscite, reprends l'analyse*
Et oui, le mec est souvent trèèèèèès riche (pas la fille, sauf dans les bastons de gang (Demons VS Diamonds (oui, ça fait pitié) ) et les princesses qui postulent pour un prince (je fait actuellement cette tête -_-' (désolé pour le smiley) )
Voir milliardaire (pourquoi pas). Après tout, ça me paraît crédible qu'un magnifique jeune homme, riche, beau, tendre et jaloux, aille se promener seul dans les bas quartier et croise une fille.
À ce moment là, coup de foudre immédiat !
Nan, je dec', il la kidnappe limite et l'emmène dans une magnifique baraque au bord de la mer.
Pauvre petite chose innocente.
L'argent, dans les fictions, c'est généralement un truc bien chelou. La fille (pa le maik anfin kessta kru mdrrrrr looool ?!!!!) habite dans une maison de tôle avec dix-huit pièces, s'habille avec des haillons de marque, se maquille avec des marques, mange des marques, respire des marques... C'est n'importe quoi.
Ah oui ! Et pourquoi travailler ?! Jean-Hippo (voir l'analyse III), qui est pourtant PATRON d'une grande entreprise de chocolat (d'ailleurs, il faudrais que je lui touche un mot à propos des chocos dégueulasse à la liqueur) ne pars jamais travailler. Genre il reste à la maison, à fracasser des murs et a embrasser des Barbies devant June. Chacun ses occupations, hein, je ne juge pas !
Bon, si un peu, quand même.
C'est la fin de cette analyse. *soulagement général'*. Et ouais. Vous y avez survécu. Bravo.
Trop de sentiments. A la prochaine, mes petits pois !
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