Partie II Chapitre 5 : Un nuit chez Ethan

Attention! : Public averti sur cette partie de chapitre.

Ce texte contient des propos à caractères sexuels par description de scène, et il ne convient pas à un jeune publique, ou au personne sensible à ce genre de détails.

C'est pour cela qu'à la deuxième partie, je vous aies fait un bref résumé, pour vous permettre de suivre l'histoire.

Je vous remercie de votre compréhension.



Chacun de nous avions eu une discussion avec les autres. Et nous eûmes quelques effusions de voix, pendant qu'on mangait, et finissait de boire les packs de bières apporté par Georges.

La soirée fut bien arrosée, et surtout nous qui n'avions que dix-sept ans, et n'étions plus vraiment en état de retourner chez nous. Notre conducteur puait la bière à plein nez. Ethan décida de nous faire dormir chez lui.

Ses parents n'étant pas là, ce mois-ci pour voyage d'affaire. Il nous proposa leur chambre à l'étage à toutes les trois, gardé d'un verrou. Et il nous fournit un autre linge de lit, pour que nous dormions dans le lit de deux mètres de large.

Les deux garçons devaient se partager la chambre d'amis au rez de chaussé, avec des lits superposés. Tandis qu'il irait dans sa chambre, à l'étage dormant seul.

Ethan nous souhaita une bonne nuit à tous, en se rendant le plus vite possible dans sa chambre pour s'isoler.

Les garçons gagnèrent la chambre du bas, tandis que nous allâmes à l'étage. Je partis de mon côté aux toilettes.


En empruntant le chemin de retour, j'entrais dans la première chambre qui se présentait, étant sûre d'être dans celle qu'il fallait.

Je retirai ma chemise et mon pantalon, avant de me glisser dans le lit sans faire de bruit.

Puis je posai ma tête près de l'épaule, qui se présenta devant moi. Inspirant et expirant, me blotissant contre un corps tiède qui se rechauffait.

Celui-ci devint extrêmement chaud, et sentait un parfum, dont je ne me lasserais pas. Et j'agis comme j'agirais avec mes copines.

Faisant office de second doudou, surtout dans l'état que j'étais, le peu d'alcool m'altèrais déjà les sens.

Ethan se dit qu'il aura des difficultés à s'endormir, moi la femme qu'il aime pressait son corps contre le sien, comme si je tenais une peluche géante.


Cela lui rappella ce qui est arrivée, sur le canapé de ses parents.

Tout en pensant, "Bon sang, Alix sais-tu que tu me fais subir un supplice?"

Sa main passait entre ses jambes, pour tenter de se calmer, voir se relâcher une fois au moins et ensuite dodo.

Zut! Se dit-il. Il avait failli jouir sans avoir le contrôle de sa voix, car la sensation s'en trouva décuplée.

Il devait faire le vide, compter les moutons, les voyant entrain de sauter. Tralalalère!

Oh non surtout pas ça pitié. Il se voyait entrain de caresser mon corps, et me faire aller dans un état second, tout en m'embrassant.

Ethan, se frappa une claque mentale pour se ressaisir et se traitant de vieux! Il ne pouvait pas faire ça, alors que j'étais inconsciente. Mais pourtant ça pourrait être si bon.

Il ne lui resterait qu'à me réveiller alors? Hélas j'avais été pompette.

Que lui dirait Jimmy?

Je devais être consentante, il s'était dit qu'il attendrait que je sois prête, pour que ça reste un moment mémorable.

Oui c'est ce qu'il voulait pour moi. Si il le faisait dans l'état que j'étais, il serait une véritable enflure.

Maintenant trêve de plaisanterie et au repos, soldat! Il aura le loisir d'y penser en se réveillant.

Il s'endormit sans pouvoir dire ce à quoi il rêva, mais il en fut sorti brusquement, quand il sentit quelqu'un tirer sur le drap.

Il se le répéta intérieurement. "Aie! Alix est réveillée, que vais-je pouvoir lui dire?"


_ Salut mon coeur, as-tu bien dormi. Mine de rien.

_ Ethan, euh salut! Que fais-je ici? N'étais-je pas sensée dormir avec mes amies?

_ Tu as du l'être si cela peux te rassurer, rire nerveux. "Mais quand tu es sortie de la chambre, pour passer dans le couloir à faire ce dont tu avais besoin, tu es rentrée ici."

_ Ah c'est pour ça que je porte peu de vêtements. Yeux ébahis. "J'ai cru qu'il s'était passé quelque chose pendant la nuit. Et je ne savais pas quoi dire, car je n'en avais pas le souvenir." Rire gêné.

_ Comment ça? Tu sais, je trouves malsain de faire ce genre de chose, quand l'autre n'est pas dans son état normal, soit sans crainte.

Il me réarrangea quelques mèches qui tombaient sur mes yeux, et je soufflai dessus pour les remettre en place.

_ Ethan, il y a que je suis ta petite amie, et si quelque chose se passe, pendant qu'on partage le même lit. Je regardais le plafond. "Enfin, c'est normal surtout quand on ressent le besoin de se toucher."

Je me tournais sur le côté pour le regarder.

_ Alix tu viens de dire ce que je penses. Il avala sa salive de travers, manquant de s'étouffer, et il toussa. "Tu voudrais me toucher?"

Je me mordis la lèvre avant de lui répondre. Je secouai la tête affirmativement, devenant toute rouge.

_ Oui je le veux. J'entrelacais mes doigts aux siens, attardant mon regard sur son haut dénudé.



Scène se voulant explicite dans la description des propos, et qui est susceptible d'heurter la sensibilité des plus jeunes.


Il ne lui fallut pas plus, pour qu'il m'attire contre lui, et m'embrasse sans retenu avec la langue.

Je répondis à son baiser resserrant notre étreinte, et posant ma jambe par dessus lui.

Sa main épousetait ma cheville, mon genou, ma cuisse pour s'arrêter sur mes fesses. Je gémis car après ceci, il se mit à frotter mon aîne sur son érection.

Puis il me fit basculer au dessus de lui, afin de promener ses mains, sur les autres parties de mon corps.

Il maintenait mes hanches, ma taille, et très lentement il les dirigea sur mes seins qui pointaient, caressant doucement mes tétons, mon corps frissonna.

_ Ethan, laisse-moi te toucher aussi. Tout en reprenant ma respiration.

Il redressa son dos pour être en position assise, puis il me murmurra à l'oreille.

_ Tu peux me toucher où tu veux, je suis tout à toi! Se délectant d'avance. "Caresse-moi autant que tu le souhaites, je ne me défendrais pas, car j'ai envie de sentir tes mains partout sur mon corps, ma douce."

Sur ses dernières paroles ses yeux brillaient d'excitation. Il passa un coup de langue dans mon oreille, j'haletai.

_ Ethan embrasse-moi, je veux que tu continues à me caresser pendant que je te découvre. Montres-moi où tu souhaites, que je pose mes mains.

Les mots qui sortirent de ma bouche furent à peine audible, mais elles captèrent toute l'attention d'Ethan.

Il m'embrassa tendrement, pendant qu'il glissa ses mains sur mes reins, les passant sur mon ventre.

Il s'arrêta pour me regarder droit dans les yeux emoustillés. Tandis que sa main rentra dans ma culotte à l'avant et une à l'arrière.

Il les promena jusqu'en bas en prenant son temps. Il me caressa les fesses, qui lui sembla aussi douce qu'une peau de pêche.

Sa main qui était dans mon dos, il prit ma main pour la diriger à son arrière me faisant effleurer son fessier, puis il prit mon autre main pour la poser sur son sexe de la même gestuelle.

Il poussa un cris discret, car sa main descendait vers mon antre, et qu'il rentra en contact avec mon intimité.

_ Alix, est-ce que ça va? Sa voix avait mué dans les grave.

Je ne contrôlais pas mes petits tremblements. Ce fut un sentiment inconnu pour moi.

Je lui fis signe que oui, craignant que ma voix monte dans les suraigües, alors que nos amis n'étaient pas loin.

Il continua et ses doigts touchaient le milieu humide qui l'excita. Son membre se mit à perler. Il pressa juste un doigt pour bouger au dessus de mon entrée.

_ Frotte ta main sur ma verge de haut en bas. Me guidant d'une autre directive.

Entre nos parties intimes, il y avait un espace suffisant.

Je me mis à l'oeuvre mouvant ma main à plat de haut en bas en des gestes incertains, et en résultat de son excitation qui montait à cet acte.

J'imposais ma main dans son slip pour le toucher directement.

_ Oh oui, Alix continue...

Sa respiration s'accélèra.

Il s'ouvrit à moi, en m'expliquant ce qui lui plaisait.

Il continua à me caresser juste de son majeur, n'entrant pas son doigt dedans.

Il me massait lentement, pour que je ne vienne pas tout de suite, et que je m'habitue à la sensation.

Alors que sa crosse se lubrifiait plus, il me fit accélérer le mouvement. Ce geste ne tarda pas à me faire jouir, je pressais mon visage dans son cou pour en étouffer le son.

***

Alors que je tentai de récupérer mon souffle, sa main resta sur ma libido. Ethan dans ce qu'il contrôla à peine, faufila son doigt en moi.

Il attendit avant de le bouger, et j'hoquetai de surprise, ne sentant pas de douleur, juste une intrusion à intérieur.

_ Je vais bouger ma main. Dis-moi si tu te sens prête, ou que c'est inconfortable. Fais-le moi savoir c'est important, et j'arrêterai tout de suite.

Pour le lui signifier, je me remis à masser son gland, et sa hampe d'un mouvement plus sûre. J'avais très chaud.

Il goûta ma bouche de sa langue, puis lécha mon cou et le creux de mon épaule le suçotant. Il remit sa phalange en moi, puis la rentra en faisant des allés-venus.

Il dégustait d'être dans mon jus d'amour, et que je l'y autorisais. Il accélèra le mouvement une fois nos lèvres scellées. Mes cris étouffés lui firent atteindre le summum.

Et dans un râle, Ethan éjacula dans mes mains, et je fus prise de spasme dans tout mon être, ne contrôlant plus mes tremblements, et devenant hypersensible à la moindre pression.

_ Alix, si tes secousses ne s'arrête pas, je sens que je vais me remettre à durcir. Car après avoir transpiré, je peux deviner la couleur du bouts de tes seins. Ayant posé sa main sur mon t-shirt, à l'endroit où il y avait mes tétons. "Ils me tentent, puis j'ai très envie de te faire l'amour, là tout de suite. Mais je sens que ce n'est pas encore le moment pour franchir le cap. De toute façon, sache que ce qui s'est passé ce matin est déjà extraordinaire. Jamais je n'aurais pensé, que tu me laisserais te caresser aussi intimement."

_ Ethan. Je le serais fort dans mes bras, toute tremblante de nos préliminaires. "Je veux te sentir en moi. Ma pensée est-elle étrange?"

_ Alix, tes paroles me réconforte. Essayons nous verrons bien. Il me sourit.

Ethan m'aida à me débarasser de ma culotte, m'installant confortablement entre ses jambes, dos à lui, il cala sa tête au creux de mon épaule.

Sa joue en appuie sur la mienne, il promena sa main sur mon ventre et plus bas, nous recouvrant du drap, nous pouvions fermer les yeux.

Il me fit sentir un autre doigt qui s'insérait en moi. Il les lubrifia avant de recommencer, prélèvant ma température.

_ J'y vais, respire bien. Me conseilla-t-il.

Ses phalanges cherchant à se présenter étroitement à l'entrée, poussant la paroi et s'invitant dans un couloir très serré.

Il attendit que je repliais les jambes vers moi, me disant que ça me détendrais, ce que je finis par faire. Me réchauffant peu à peu.

Il les plongea, humant ma peau, déposant des baisers éparpillés à tout va. Sa fierté érigée dans mon dos, qu'il pressa sur mes fesses, après qu'il ait mis une protection.

Mon dos se cambra à mesure que son mouvement s'amplifia. Je maintenais ses jambes me pressant plus contre lui.

Je jouis sans pouvoir retenir ma voix, et empêchant qu'il les retire tout de suite, frisonnant contre sa peau, essoufflée, penchant ma tête en arrière.

Il resta ainsi quelques minutes, son membre tressauta, et le temps que je m'en rendis compte, des éclats de voix nous interrompit prématurément, ainsi que le fracas de la porte.

Ethan se détacha de moi à regret, il plongea sa tête entre mes cuisses pour goûter mon nectar, et s'assura qu'il ne m'avait pas blesser par son empressement.

_ J'ai adoré faire ce qui s'est passé à l'instant. Je rougis ne sachant pas quoi répondre. "Maintenant nous ferions mieux de nous habiller, avant que les autres ne se posent des questions. Si tu as aimé, on pourrait très bien se soulager ensemble, de temps en temps. Il n'est pas nécessaire d'y aller tout de suite plus loin que ceci, je t'assure!"

Je regardais son membre érigé me demandant, si je devais faire comme lui.

_ Ça ira Alix, j'irai au toilette le finir en moins de deux.

Faisant un clin d'oeil. Et enfouissant son visage entre mes seins, pour respirer l'odeur de ma peau.

_ Ethan ce n'est pas que je n'aimes pas les câlins, mais tu es lourd.

_ Pardon, je me lève. Tout sourire.

Je lui dit cela plus par embarras qu'autre chose. Nous avions franchis un pas, qui nous rapprochaient bientôt de la vie d'adulte.

********

Cynthia s'esquiva discrètement de la chambre sans dire un mot.

La suite bientôt ===>

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