Partie I : Chapitre 1 - Le nouvel élève
"Ce qui est écrit est une fiction, il se peut que certains éléments ne collent pas exactement à la réalité, mais si vous pointez ce qui vous gêne, je pourrais modifier la partie si c'est nécessaire. Merci de votre compréhension."
Nous sommes entrés dans la classe, et étions surpris de sa taille. Chacun se demanda comment nous arriverons à suivre le cours, en étant si nombreux, à cause du nombre de chaises qu'on voyait. Le prof balaya d'un geste de la main, disant qu'il ne fallait pas s'y fier, afin de nous calmer.
Sans plus attendre, certains bousculaient, ceux qui s'étaient arrêtés devant l'entrer, car ils tenaient à s'installer au fond de la salle, en profitant que les autres étaient occupés. Le prof croisa ses bras, en quelques sorte mécontent de leur attitude, mais cela lui permit de repérer au moins, les éléments perturbateurs.
Une fois tous rentrés et installés, notre professeur principal se présenta, monsieur Doumer, enseignant de mathématique. Puis connaissant la chanson, il nous avait prévu un rang en plus, tout près de son bureau, ne comptant pas ces places dans notre effectif, cela lui servira pour ceux qui il voulait garder un oeil dessus.
Les fameuses six places, que presque personne ne voulait, sous peine d'être tout le temps interrogé, si personne ne participe. Et d'être tout de suite vu, pour les plus bavard, et dont il les plaça en face de lui.
Ou si cela s'avérait nécessaire, avec les bavardages intempestifs, ou querelles entre potes afin de les séparer. Il n'hésiterait pas, à les éloigner durant un bon mois, pour leur donner une leçon, quand ils interrompaient notre cours inutilement.
Il nous rappela que cela, n'avait rien à faire dans sa classe, malgré qu'il sache se montrer indulgent, la plupart du temps.
Cependant, il nous permettait d'avoir des discussions, à condition qu'on ne dérangaient pas ceux, qui veulent écouter, cest-à-dire, qu'on pouvait le faire à voix basse. J'avais compris, qu'il ne voulait pas que nous soyions une gêne, pour ceux qui voulaient apprendre, travailler, et même participer.
Par exemple, si un camarade donnait son avis, en posant une question, ou pour lequel cela lui permettra de comprendre, tout le monde se devait de l'écouter. Et il réclamait alors le silence dans la salle. Il ne pouvait que nous encourager à une telle attitude, car cela s'intégrait à la prise de note, au lycée.
Il nous dit que nous serions interrogés sur des points pertinents, tel ceux qui auront été soulevés par les élèves, qui participaient activement, et rendaient le cours plus vivant.
Afin de prouver, notre intérêt pour la matière, car il n'était jamais agréable, d'effectuer un monologue, face à une classe d'une quarantaine d'élèves environ, ressemblant à des limaces, ou jactant, parce que le cours de leur prof, leur était égale.
C'était le sage qui parlait, nous expliquant que nous ferions bien, de tous prendre de bonnes habitudes, et le plus tôt serait le mieux. Il comptait bien, nous inculquer, un tant soit peu de savoir vivre.
Et pour les cas désespéré, ils les renverraient directement chez le directeur après trois avertissements, un mot serait envoyé aux parents, et le proviseur savait très bien, comment procéder en présence des familles. Il ne mettait pas des pincettes, pour dire, ce que le parent avaient besoin d'entendre. Quand il les convoqua ensemble avec l'enfant.
Il était déjà neuf heures, quand nous vîmes que le prof regarder plusieurs fois sa montre. Le proviseur devait arrivé avec le nouveau, expliquant sa situation à l'adulte.
L'adolescent resta immobile, près de l'homme, quand il entra dans la salle, attendant qu'on lui permettait de rejoindre les autres. Cependant, il s'est permis de regarder chacun de nous un à un. Son expression resta impassible, alors que certain, au moment qu'ils ont croisé son regard, se mirent à chuchoter.
Quand il me fixa, il vu tout de suite que je ne pouvais pas soutenir son regard, et je tournais mon attention sur la table troublée par ses yeux d'une profondeur. Cynthia nous dit à voix basse qu'il devait être le genre de garçon, à ne pas aimer se faire marcher sur les pieds.
Le directeur avait demandé à notre prof, de le surveiller de très près, parce que il avait un actif bien lourd. D'être parti de six colleges, qu'il avait du quitter précipitament. Et on lui avait dit, qu'il était violent en cours, parfois cherchant la bagarre avec ses camarades, selon les rumeurs.
L'homme sortit de la salle, s'excusant de déranger le discours, de début d'année, et qu'il lui laissait le loisir de nous présenter le nouveau, ou mieux qu'il se présenta devant nous, et nous invitant aussi à effectuer un tour de table, pour apprendre à mieux nous connaître.
Il avait plein de choses en tête, devant passer dans chacunes des classes, pour leur souhaiter aussi la bienvenue, et un bon retour des cours. En espérant que nos efforts régulier payent de leur fruit. Et que nous puissions, en fin d'année scolaire, tous avoir l'obtention, de notre brevet des collèges.
Mais il fit un demi-tour, afin d'ajouter ceci, certain cachèrent leur fou-rire derrière leur main, en nous disant que nous ferions bien de ne pas décevoir, nos parents, qui s'attendent que nous arrivions à décrocher un métier, qui nous plaise, mais cela ne se fera pas juste, en claquant des doigts.
Il fit un rappel sur la crise du chômage, n'ayant pas assez d'offres, pour ceux inscrits comme demandeur d'emploi, dont certaines personnes sans scrupule, vous radiait pour un oui ou pour un non.
Il souligna qu'à son époque, l'éducation natonale était mieux, car ils n'avaient pas toutes ses contraintes d'emploi du temps.
Les cours étaient du lundi au samedi de 8h à 17h sauf le mercredi et samedi de 8h à 12h. L'après midi de libre suffisait à permettre aux élèves d'avoir des activités extra-scolaires tel le sport, les jeux de société, ou les activités artistiques.
Ils devaient prendre en compte le temps des cours réduit, et que nous devrions boucler un programme équivalent à l'ancien, sous prétexte que les professeurs sont trop souple, faisant un signe entre parenthèses avec ses doigts, et que c'est la raison pour laquelle le programme n'est pas bouclé.
Mais c'était faux, et c'était en y mettant du notre, tout en acceptant d'aménager des heures en plus, dans notre emploi du temps, que nous réussirions. En nous investissant dans ce que nous devions, à l'instant présent, c'était aussi se donner la possibilité de s'entrainer avant l'examen.
Il s'arrêta sur ses derniers mots, attendant notre réaction, et si nous avions des questions. Hélas un grand nombre était abasourdi voir prenait un air ahuri, il laissa la plupart sur le cul, les fesses clouées sur leur chaise.
Notre professeur sur sa lancée, nous demanda qu'on se leve, pour aplaudir notre proviseur pour son discours. Il garda pour lui qu'il aurait pu le faire dans la grande salle, là où tout le monde avait été rassembler et ils seraient rentrés à neuf heures en classe.
Monsieur Doumer nous dit qu'il nous restait à peu près une heure, avant notre pause du matin. Il avait bien l'intention, de s'en servir jusqu'au bout.
Ils ne se firent pas prier, et chacun de nous se levèrent pour applaudir le directeur pour lui permettre de vaquer à ses obligations. Il nous fit signe d'un geste de la tête entendu à notre encontre, nous autorisant à nous asseoir, et s'en alla en nous souhaitant une bonne journée tout en fermant la porte.
De toute façon s'était prévu que le discours soit mis dans le carnet de correspondance, que devait nous remettre notre conseillère à notre pause déjeuner.
Notre prof semblait plonger dans une profonde réflexion. Il se demandait si son discours n'avait pas un lien avec le nouveau, ça commençait bien.
Quand monsieur Doumer, lui demanda de se présenter, pour nous donner l'exemple, et afin que nous retenions mieux son prénom. Nos regards étaient braqués sur lui, en le détaillant sous toutes les coutures. Enfin étant donné que chacun de nous, connaissait quelqu'un sauf lui.
Tout en voyant, qu'il se préparait à bientôt parler, je m'attardais sur sa silhouette, alors que ce n'était pas dans mon habitude. Je remarquais qu'il avait des cheveux fin, et ses cheveux partaient en raie sur le côté droit, un peu comme pour faire obstruction sur ce qu'il pouvait regarder. Ses cheveux étaient colorés en violet à la base, et vert à mi-hauteur jusqu'au pointe.
Il paraissait sportif, car il y avait des démarcations visible au niveau de son cou. Ensuite suivait le col, de sa veste en cuir. Il semblait aimer la couleur noire, dont il en était de tout vêtu. Et pour souligner le contraste, il avait sous celle-ci un sweat-shirt blanc. Ce qui lui donna, un côté peu amical, aux premiers abords étaient ses percing, qui jonchaient sur son visage et les environs. Ma réflexion fut interrompue, dès qu'il se mit à parler d'une voix forte et claire.
_Je m'appelle Ethan, j'ai quinze ans, j'habitais à plusieurs borne d'ici, quand mes parents ont décidé de déménager, à cause de leur travail. J'avais des amis, que j'ai du laissé derrière moi, ne pouvant pas les ramener dans mes bagages. Et bla bla bla! Dois-je continuer, ou vous avez deviné, que je n'ai pas parler de moi, sauf pour mon prénom, et mes parents. Bref, j'ai le contact difficile avec les autres pour faire court, ça ne s'est pas bien passé, c'est tout monsieur.
Des rires se firent entendre au fond de la salle, ainsi que de l'étonnement pour le reste, et monsieur Doumer s'était éclairci la voix avant de reprendre, pour leur signifier qu'il voulait le calme. Et pensant, quel insolent ce jeune!
_ Je vous remercie Ethan, de vous être présenté, même si nous aurions préféré, ne pas entendre ce genre de commentaire déplaisant. Et éviter de partager avec nous, votre mauvaise humeur, en inventant quelque chose de peu constructif. Mais celà a su faire marrer certain, je dois l'admettre. Vous pouvez vous asseoir, à l'une des places de libre.
Tous furent surpris, moi y compris, qu'il se mit devant le bureau du professeur, tout en sachant, qu'on lui donnait la mission de garder un oeil sur lui. Se punissait-il lui-même?
Cela déconcertait notre prof, soit il le défiait, soit il voulait nous prouver que les dire étaient infondés. En tout cas, il avait toute l'année, afin de le découvrir. Puis il chercha du regard un volontaire.
_Qui d'autres veut essayer de passe devant le tableau? Mes très chers, préférez être volontaires, que les désignés, dit-il avec ironie. Au moins vous ressentirez moins de pression, je peux vous le garantir. Personne n'est là pour vous juger, celui qui osera, seront les prochains à devoir se présenter, et c'est moi qui les mettrait mal à l'aise. Donc, au suivant, cria-t-il à son assemblée, pour les sortir d'une léthargie, ou je désigne quelqu'un au hasard. Personne, vous êtes sûre!
On se regardait tous en chien de faïence, pas de réaction immédiate sauf une. Mon amie Cynthia se leva, pour aller devant le tableau, et elle se présenta.
_ Salut à tous, je suis Cynthia, ou Tia pour mes amis. J'ai quinze ans, comme la plupart d'entre vous, j'en suis sure. Ce que j'aime c'est bouger, et toute chose qui me garde en mouvement, comme le sport. D'ailleur, je vous assure que c'est super bien d'aller devant le tableau, ça dégourdit les jambes, quand on est obligé de bien ce tenir. Dites-moi monsieur Doumer, quand nous voulons prendre la parole pour donner notre avis, ou autre. Pouvons-nous, nous lever à notre place pour le faire? Car je dois avouer que de rester deux heures assise correctement, sans bouger les pieds, c'est dur. Puis vous même préférez rester debout, c'est pour dire, que j'ai soulevé un point important.
Son commentaire avait su soulever un léger sourire, au prof, tant elle faisait preuve d'une franchise. Pendant son dialogue, elle bougeait ses bras, et ses pieds, pour se débarasser des fourmillement dans son corps.
Il la laissa faire, comprenant que c'était dans sa nature, qu'elle en avait besoin de dégourdir ses membres. Elle arrivait à avoir notre attention à tous, nous qui avions envie de l'écouter.
Puis, elle nous fit signe qu'il fallait prendre l'habitude de parler devant tous, car il y avait des épreuves orales pour les langues vivantes. C'était le moment ou jamais de se lancer et s'entraîner.
_Au début, on peut être nerveux, c'est normal mais au fur et à mesure qu'on parle, le dialogue se fait plus aisément, c'est tout.
Après ceci, nous l'avions applaudi, y compris notre professeur, et il savait déjà qui il representera d'office en tant que déléguée de la classe.
Linda serrait ma main, elle se leva pour se présenter, et me sourait avant d'aller devant le tableau.
_Je m'appelle Linda, j'ai quinze ans, et j'aime aller à la bibliothèque emprunter des livres. Aujourd'hui, je suis très contente de me retrouver dans la même classe, que mes deux amies, ici présente Tia et Alix. Celle-ci me désigne de sa main, à qui je demande de me rejoindre, pour se présenter. Allez tu peux le faire, je suis avec toi.
J'eus un petit sourire effacé et nerveux, face aux encouragement de mon amie, sentant que tous les regards se braquaient sur moi.
Auparavant, les instituteurs ne me demandaient pas de prendre la parole, jusqu'à présent, disant que ça ne servait à rien dans mon cas. Alors que les autres avaient été encouragés, se disant qu'en les mettant en action, ils pouvaient y arriver. Ce jour là, son soutien m'aida grandement.
Étant au tableau, Linda me regardait de ses grand yeux marrons arriver auprès d'elle, ainsi que le professeur en retrait, et les autres élèves. Malgré ceci, elle ne put s'empecher de me prendre dans ses bras, pour me faire un câlin, et déposer un bisou sur ma joue.
Ce qui fit pousser quelques cris d'exclamations, de la part des jeunes. Ethan égale à lui-même, nous regarda sans scillier.
Sur le moment, je ne tremblais plus, et réussi à prendre la parole, une fois que Linda retourna à notre place.
_Je m'appelle Alix, j'ai quinze ans, j'aime lire des livres, et me plonger dans les univers fantastiques. Je ne suis pas très bavarde, donc si vous pouvez être compréhensif, face à mon silence devant vous, je vous en serait reconnaissante, merci de m'avoir écoutée.
Et pas très à l'aise, je demandais silencieusement, avec des yeux implorant si je pouvais m'asseoir. Je sentais mes joues surchauffer, sans que je puisse les en empêcher, et compris qu'elle avaient du virer au cramoisie, pendant que je perdais pied.
C'est alors que monsieur Doumer m'invita d'un signe de tête à retourner à ma place, voyant que je ne pouvais plus articuler un mot tout en le regardant.
Le professeur m'applaudit, ajoutant une note poétique comme quoi, c'est beau l'amitié, et revint aussitôt à ses moutons, il fit signe de la main, que quelqu'un se lève!
Et certains, passèrent de leur plein gré, me félicitant au passage de mes efforts, tandis que d'autres nous regardaient bizarrement avec Linda, tout en s'imaginant, je ne sais quoi, un sourire en coin.
Il cochait au fur et à mesure, tout ceux qui s'étaient presentés, et pointa de son stylo bile, sur les noms des autres ne voulant pas passer. Il exigeait que le restant se rangeaient à la queue leu leu, dans l'ordre qu'il mentionait. C'était vraiment la honte!
Il nous avait prévenue, qu'ils feraient regretter, ceux qui ne passait pas de leur propre chef, il ne disait rarement des paroles en l'air, sauf pour ses blagues. Ceci à condition que la classe se déroulait bien.
Les jeunes du fond pendant que les autres passaient au tableau avaient dessiner le prof sur une feuille. Il le voyait bien tenir un fouet agissant tel un tyran et faisaient passer celle-ci à toute la classe pouffant de rire.
Il disait que c'était dommage, qu'il ait des têtes dures, car habituellement, il avait du succès auprès de ces élèves, qui n'avaient plus envie de le quitter.
Il n'hésitait pas à reprendre ses explications, et donnait ensuite des exemples aussitôt après, demandant à la personne de le résoudre, si elle avait compris.
C'était un matheux, et la prise de note, ne le concernait pas. Mais il se devait de prendre partie pour ses collègues, qui comptaient sur lui, pour remettre les pendules à l'heure. S'il avait su ce que l'administration nous avaient réservé, il leur aurait laissé se débrouiller seul avec les fauves.
_Quand le dernier aura fini, vous pourrez commencer votre pause.
Il y eut des ah de déception, du groupe qui n'était pas passé, s'ils avaient su, ils n'auraient pas fait tant d'histoire. Car ce n'était pas si compliqué que ça à faire.
Mais pour revenir sur celle-ci, il permis à ceux qui ont fini, de se dégourdir les jambes dans le couloir en silence, le temps que la sonnerie retentirait l'heure de pause.
Et oui, pourquoi irait-il sanctionner, ceux qui ont suivi les règles, par contre les autres sur les dix minutes restantes, devront attendre la sonnerie et qu'ils aient tous fini.
Note à part : "J'ai déjà eu un professeur de ce genre à nous avertir à la dernière minute que si on avait perdu moins de temps, il nous auraient laisser en pause plus tôt. Je sais que c'est rare, et plutôt cool, de récompenser les élèves qui ont durement travaillé, surtout en dernière année de collège. Et ceci toujours dans le calme.
Avec l'examen finale, on a le double de la pression".
La suite au chapitre 2
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