La tranche de pain
C'est alors que d'un soir scintillant de mille et un feu, ou cinq cent soixante-douze million et quarante-quatre feu ou encore six cent milliards de millions et trente-trois douze cent quatorze et un mille-feuille... il trancha du pain.
Il faisait nuit, tout le monde s'en foutait, mais si on ne le précise pas il devient difficile de se situer chronologiquement, ce devait être un huit décembres à vingt-deux heures et cinquante-quatre minutes environ, et deux secondes, ou trois, ou quatre, ou soixante-six...
Alors Naruto de sa veste orange et bien pétante se mit à faire du rodéo exprès sur le dos d'Orochimaruu pendant qu'Hinata beurrait des crêpes au vin. Une soirée de folie car Emanuel Macron venait d'arriver sur son cheval blanc d'Henri IV, et c'est alors que Darth Vader de sa noire armure lui teint à peu près ce langage « Maître renard sur un corbeau perché tenait en son bec un roi mage, maître Renard, par l'odeur éméché, lui vomi à peu près ce bandage : et... bonjour, nique ta mère fils de pute, ton père fabrique des guitares au Zimbabwe... Je te hais putain, JE TE HAIS ! ». Après s'être calmé de sa haine bien engagé il fit un regard plein de suspend au Président qui lui rendit la pareille en vociférant d'une voix rauque et suave : « C'est notre projet ! ».
― Razngan, hurla le blond, tel un possédé.
― Euh, ta gueule ? lui dit le hérisson du nouvel ordre des aztèques sans plumes du volcan noir de la guilde des sans culottes, sans dent et sans centimes, bien qu'ils auraient voulu en avoir cent, cela aurait sans doute permis au petit Brutus de ne point tuer César... beh oui... il embête tout le monde à faire son révolutionnaire de chez Leader Price.
C'est alors que le petit prince devint grand, et Alexandre aussi.
Que le champagne de la claire semence se mit à bouillonner pendant des jours en une seconde.
― Bon, arrête tes bêtises s'il te plait et rend moi mon ténia à neuf lieu, se désespéra Naruto.
― Jamais ! hurla Orochimaruu.
― Ok, lui répondit-il attristé.
***
Ainsi le père d'un poing fermé referma son livre et sourit à son fils, son nourrisson, l'enfant en bas âge, le petit, notre petite tête blonde, le bambin, le...
― Et c'est ainsi, mon fils, que fini Naruto Shippuden.
― Woah, c'était vraiment de la merde papa, encore une histoire s'il te plait !
― Bien sûr mon filleul, mais demain soir... fait de beau rêve...
... SASUKE.
Fin.
Une ombre se faufila derrière la fenêtre, une forme petite et boulangère... le morceau de pain avait survécu à toutes ces péripéties, et c'est alors qu'il dit : « J'ai survécu à toutes ces péripéties, mouhahaha, je vous imposerais mes FanFictions ! D'ailleurs, prochainement je vous parlerais des Ones Directions ! ».
― Oh mon dieu, quel monstre !
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