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attirance et sournoiserie

ADAM


« ne faîtes pas comme si vous n'étiez pas déjà sous le charme. vous et votre masque hypocrite. vous l'adorez, le désirez ardemment, c'est une faute pourtant. vous l'aimez, il vous adores, vous désires, vous pourchasse, mais jamais ne vous aimeras. »


Le félin noir cherchait sa proie, ce n'étais pas le plus amusant. Ce qui le faisait tant frémir était d'être assez près d'elle pour sentir son odeur métallique et amer. Il aime la sentir farouche, puis défaillir sous son regard rougis. Il sait où elle ce trouve, il ne les perds jamais, mais arpenter le lycée l'ennuyait. Le venin qui coule dans ses veines lui offrait une jeunesse éternel figé dans le marbre du temps, et lui permettait l'accès aux banques de sang que son les lycées. Les hormones en ébuliton, il y a bien longtemps qu'il ne ressent plus leur besoin puérile d'aventures sulfureuses, mais il s'arrange bien d'en faire bonne usage.


Il trouve Hariette en classe comme prévus. Les lumières jaunes enlaidissent sont doux visage tâché de son. Elle tortille ses cheveux roux, il s'imagine déjà les tirés pour embrasser ses lèvres innocente.


Pour l'heure il ce contente de la regarder à travers le judas, lorsqu'elle lève les yeux vers lui, il lui sourit malicieusement et sort un papier qu'il plaque sur la vitre ; le professeur ouvre brusquement la porte.


- Un problème jeune homme ? Demande le professeur sur un ton condescendant.


- Absolument pas, je voulais simplement proposer à l'adorable Hariette que l'on ce retrouve après le déjeuner. Si cela lui convient, évidement.


Tout les regards ce tourne vers la concernée. Personne ne peut le deviner, mais son regard à lui est vorace.


- ou-oui, répond-t-elle confuse.


- Parfait. Maintenant retournons au cours je vous prie.


Fier de son petit effet, il tourne les talons en paradant dans les couloirs déserts. Il laisse traîné ses pas fluides et félins ; il aperçoit une silhouette familière au bout du couloir.





attirance et jalousie.

LOÏSE


A la fin du cours de Monsieur Ollivon, Loïse rejoins à toute vitesse le bureau de sa meilleure amie. Celle-ci ne s'arrête pas de sourire. La jeune fille voie rouge, elle se retiens de toute brutalité ou mots perdus. Hariette lève vers elle un regard épanouit qu'elle ne supporte pas. Elle s'imagine étouffé son sourire et son souffle de ses propres mains.


Elles sortent de la classe en silence.


- Tu ne peux pas y aller, dit-elle en gardant les yeux rivés sur le sol.


- Pourquoi ça ? Je me sens tellement flatter, j'ai le coeur qui bat à cent à l'heure ! Tu m'imagine, moi, avec le bel Adam ? Soupire Hariette en levant les yeux au ciel de plaisir.


- Eh bien non justement, lâche-t-elle sèchement. Vue sa réputation, crois moi qu'il va juste jouer avec toi.


Cette remarque, même si elle essayait de s'en persuader, ne partait pas d'un bon sentiment. Elle ne voulait pas protégé sa meilleure amie, mais l'écarté de ce garçon. Pourtant, d'une certaine manière elle la protégeait de toutes ces féroces groupies ? Mais elle sous estimait Hariette.


- Laisse moi tranquille Loïse.


Sous son regard noir, Hariette accélère le pas pour la dépasser.



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