Du haut de cette pointe,
tu découvris un édifice céleste,
Resplendissant,
émergeant des brumes dans un éclat manifeste.
Les nuages se heurtaient,
formant des titans d'air majestueux,
Laissant passer l'air frais sur leurs cimes,
à la fois doux et précieux.
Plus loin,
ta chevelure s'envola près d'une statue vivante, Timide,
dissimulée sous un drap brumeux,
voilée et vibrante.
Le ciel nuageux laissait passer quelques rayons dorés,
Qui dansaient sur tes iris,
émerveillés par ce trésor révélé.
Époustouflé par cette découverte,
d'une beauté infinie,
Tu avais arraché à Dame sa splendeur épanouie.
Dans ce tableau sublime,
la nature se dévoile,
Et toi, voyageur,
tu es l'âme qui l'étoile.

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bonus:
de quel œuvre s'agit-il t'il ?