voyage
La venue de la mort éveille des émotions flamboyantes,
Dans l'esprit des animaux, parfois errantes.
L'Albatros, lui aussi, subit ce tourment,
Son maléfice, lourd, fige les âmes lentement.
Dans ce spleen, il devient difficile de discerner,
Le cœur des êtres, toujours troublé.
Ambitieux, je me dois de vous offrir,
Mes condoléances, sans détour ni désir.
Ce n'est pas Dieu, comme l'humain veut croire,
Qui meurt, mais l'homme, dans sa gloire noire.
Je parle de lui, cet être égaré,
Non de l'univers, mais de l'humanité, dévastée.
Cela vous dit-il quelque chose, ce silence ?
Le froid murmure que même les ténèbres fuient leur présence.
Si vous n'en avez jamais entendu la trace,
N'ayez crainte, car leur fin approche, sans place.
Ces rois terrestres, arrogants et sûrs,
Toujours fiers, finiront par toucher murmure.
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Bien le bonjour, chers lecteurs ! Permettez-moi tout d'abord de vous remercier chaleureusement pour vos lectures.
Aujourd'hui, j'ai essayé un nouveau style de poésie et j'aimerais beaucoup connaître votre avis à ce sujet.
Merci encore et je vous souhaite une excellente journée, soirée ou après-midi, selon l'heure !
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