gardenias


Douce fleur, volupté qui danse dans l'air,
Chaude larme réclamant le creux de tes joues pourpres,
Toi,
Foi que tu me transmis en esquissant ta peau rosée.
L'espace de mes iris s'éclaircit, lorsque tes rêves dorés
Dansaient dans la senteur des gardénias que tu humais.
Tu as lissé mes cauchemars de tes fantaisies,
Tes sanglots sont devenus mes averses,
Tes rires en pleurs, mon arc coloré.
Plus rien n'aspire à me rendre la joie,
Lorsque nos cœurs partageaient ce rythme, au même battement.

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