Gabrielle Solis


Saison 1

Carlos : Si tu discutes avec mon patron, j'aimerais que tu lui dises combien j'ai payé ton collier.

Gaby : Tu veux que je colle le prix sur ma poitrine ?

Carlos : Il m'a dit combien il avait dépensé pour la décapotable de sa femme et...

Gaby : Je ne pourrais jamais amener le sujet.

Carlos : Pourquoi ? La dernière fois chez les Donahue on parlait des fonds de pensions et tu as trouvé le moyen de dire que tu avais couché avec la moitié de l'équipe des Yankees.

Gaby : Je te l'ai déjà dit mille fois c'est venu dans la conversation ! 

***

(Carlos rentre une fois de plus en retard de son travaille. Gaby qui en avait mare de l'attendre fait semblant de dormir).

Carlos : Je sais que tu es réveillée.

Gaby : Je sais que t'es un gros con ! 

Carlos : Le dîner avec Tanaka a traîné en longueur, désolé...

Gaby : Dis donc, Carlos je ne t'ai pas épousé pour pouvoir dîner face à une chaise vide six fois par semaine ! Tu sais à quel point je me suis ennuyée aujourd'hui ? J'ai carrément été à deux doigts de faire le ménage à fond ! 

***

Carlos : Je veux un enfant ...

Gaby : Au cas ou tu l'aurais oublier, avant de nous marier on a passé un accord, pas d'enfants !

Carlos : Oui mais tous les accords sont faits pour être renégociés ...

Gaby : Pas de renégociation autour de mon utérus !!!

***

Carlos : Tu sais ce qui me ferait plaisir ? 

Gaby : Non ! Tu as promis pas de bébé ! 

Carlos : Les choses changent.

Gaby : Ouais, je suis au courant ! Les fédéros ont embarqué ma voiture de luxe. Mon cher mari est un criminel. Et je passe mes journées à me faire tripoter par des vendeurs de tracteurs bedonnant  dans des salons ! Je sais très bien que les choses changent ! 

Carlos :  Un bébé c'est du solide, du constant. 

Gaby : Et qui s'occupera de le torcher quand tu feras de la musculation dans une prison fédérale ?! 

***

Gaby : Je me sens enfermée...

John : Vous voulez que j'ouvre la fenêtre ?

Gaby : Non, je parle en général, dans ma vie...

***

Gaby : La vieille garce ! J'en reviens pas ! Même dans la tombe elle se débrouille pour me pourrir la vie, elle est très douée ! 

Carlos : Ou est ce que tu vas ?

Gaby : Je sens monter les petites nausées matinales, je tiens à être sur la tombe de ta mère quand ça arrivera ! 

***

Carlos : T'arrête pas de manger en ce moment ! 

Gaby : J'ai prévue de grossir un maximum en hommage à ta mère ! 

***

Gaby : Hé je suis enceinte ! Il s'en souvient plus le primate ! 

Carlos : Ou est ce que tu vas ? 

Gaby : Loin d'ici ! 

Carlos : T'as oublié que j'allais en tôle. Demain je serais plus ici. 

Gaby : Je sais, c'est d'ailleurs pour ça que j'ai pris qu'un sac avec moi. 

Carlos : Et t'as pensé au bébé, Gabrielle ? Hein t'as pensé à mon bébé ? 

Gaby : Ah ton bébé ! 

Carlos : Oui bon ok notre bébé. Cet enfant a besoin de sa mère autant que son père . 

Gaby : Oh Carlos, qui a dit que c'était toi le père de cet enfant ? Hein ? 


Saison 2

Sœur Mary-Bernard : L'argent ne fait pas le bonheur...

Gaby : Faux ! Ça c'est des salades qu'on raconte aux pauvres pour pas qu'ils se révoltent !  

***

Gaby : Pourquoi tous les hommes riches sont des ordures ?

Carlos : Peut être parce-que toutes les belles femmes sont des salopes ?

***  

Carlos : On est pas franchement des gens biens tous les deux hein.

Gaby : Non, on peut le dire.

Carlos : Quand on s'est mariés, j'ai cru que toi et moi on serait tellement heureux...

Gaby : Moi aussi. Regarde le bon coté des choses, on est toujours riches.

Carlos : Ouais, c'est vrai ça. 

Saison 5 

Carlos : Tu sais quel est le jour où j'ai su que je voulais passer ma vie avec toi ?

Gaby : La première fois que tu m'as vu sur un podium ?

Carlos : Non ça c'est le jour où j'ai su que j'allais coucher avec toi. Le jour où j'ai su que j'allais passer ma vie avec toi c'était pour notre premier rendez-vous au restaurant, tu as commandé un énorme plat de pâtes bolognaise. Tu as tout engloutis à une vitesse... Tu en avais partout. Quand je te l'ai fait remarquer, tu t'es regardé et tu as explosé de rire. Ce rire... je voulais l'entendre tous les jours...

Saison 6 

Gaby : J'ai besoin qu'il dégage d'ici. 

Lynette : Pourquoi? ... Tu couches avec ce type?!

Gaby : Non ! S'il part pas, Juanita pourra pas prendre la place de sa fille à Ste Ursula...

Lynette : Incroyable ! Tu exiges qu'une famille entière soit déracinée juste pour que ta fille retourne à l'école...

Gaby : Eh oui ! L'égoïste Gaby a encore frappé. Si tu connais la chanson, chante avec nous.

Lynette : Non, désolée Gaby. Terence, j'en ai besoin ici.

Gaby : Pourquoi ? ... Tu couches avec ce type ?!

Lynette : Non !   

***

Gaby : Oh tu te crois propriétaire de mon corps maintenant ?

Carlos : Je paye les fringues qu'il porte, je paye les massages qu'il reçoit et un jour je payerai les implants qui seront nécessaires. Si j'en suis pas propriétaire j'en suis au moins actionnaire !  


Saison 8

Lynette : Imaginez que ce soit les flics !

Gaby : Non, pas les flics ! Je peux pas aller en taule !

Lynette : Et nous on peut peut-être?!

Gaby : Oui ! Tu deviendras chef de gang, Bree travaillera en cuisine. Moi je suis la plus petite et on m'obligera à faire la pute pour une taularde !  

***

Gaby : Pourquoi la vie des autres des autres couples à l'air aussi facile qu'une valse ?

Carlos : C'est simple chérie, parce que nous on danse un tango.

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