chapitre 17 Adieux.
Juste quelques mots, pour vous remercier pour votre fidélité, vos votes, vos commentaires, je vous remercies du fond du coeur.
Enfin, je vous annonce que ce chapitre ne sera pas le dernier, il y en aura un autre. Je ne vous dirais pas, qu'elle décision j'ai prise, quand au déroulement final de mon histoire, pour garder le suspens, alors encore merci, et bonne lecture.
Certains dialogues sont tirés du film et du roman de JK ROWLING, Vous les reconnaîtrez aisément, je pense.
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La plus grande confusion régnait au pied du saule Cogneur.
Le professeur Rogue, revenu à lui, se trouva face à un Lupin enragé.
Il se plaça devant les enfants, pour les protéger. Ron était allongé sur le sol, Hermione était devant lui.
Le loup s'approcha et donna un violent coup de patte à Rogue, qui perdit connaissance. Hermione s'avança, tentant d'aider le professeur à combattre la bête, mais il était trop tard. Il aurait frappé la jeune fille, si Sirius Black, sous l'apparence de son animagus, ne s'était mis entre eux, babines retroussées. Un grand cerf et un grand chien noir, tentaient de maîtriser le second loup.
Lupin et Sirius, se battaient, ils disparurent, derrière des buissons. Un glapissement de douleur, glaça le sang de Harry.
- Sirius !
- Harry, non ! Hurla Lily.
Il se précipita vers lui, et se trouva en face du loup garou.
Ce dernier allait frapper, lorsqu'un hurlement retentit.
- Ne me dites pas qu'il y en a un autre ! S'écria Lily.
Elle se tenait devant Hermione, Ron et Rogue, sa baguette brandit devant elle, pour les protéger.
Le loup sembla se pétrifier. Il tourna la tête en direction du hurlement, et fila dans cette direction.
Sirius et James avaient acculé le loup devant un ravin.
Peu à peu, Remus sembla se calmer, s'apaiser.
Puis, un hurlement retentit.
Le chien et le cerf se regardèrent, surpris. Le loup reprit de la vigueur, il se dégagea de l'étreinte des animagis, et fila, en direction du hurlement. Les animagis se précipitèrent à sa suite.
Ils le suivirent jusqu'à une petite clairière. Harry et Hermione s'y trouvaient. Ils cherchaient à échapper au professeur Lupin.
Celui ci les trouva, et ils ne durent leur salut que grâce à Buck l'hypogriffe de Hagrid. Celui ci affronta les deux loups garous, son bec pointu, ses griffes acérées eurent raison des loups, ils s'enfuirent, poursuivis par Sirius. James s'arrêta à la hauteur de son fils.
- Ça va Harry ? lui demanda t'il après avoir repris son apparence humaine.
- Oui, ça va papa.
- Bon, ne restez pas là, c'est dangereux.
- Oui, mais Sirius ? Lui demanda t'il.
Mais James avait déjà muté, et s'éloignait au galop.
- Harry ! Cria Hermione.
Sirius rattrapa Remus. Ils s'affrontèrent longuement, jusqu'à ce que James les rejoignent.
La présence de ses deux compagnons, permirent à Remus de se calmer. Le second loup les rejoignirent, et après un court affrontement, ils parvinrent à apaiser les deux loups. Ils s'éloignèrent et gagnèrent le coeur de la forêt.
Les loups avaient disparu. Lily, avait posé une attèle sur la jambe de Ron, et s'apprêtait à le faire léviter jusqu'au château. Mais Rogue sortit de sa torpeur. Il regarda autour de lui, et soupira de soulagement en constatant que le loup n'était plus là.
- Ça va Sev ?
Il tressaillit, et se releva.
- Qui que vous soyez, ne m'appelez plus comme ça ! Ordonna t'il d'une voix métallique. Il se baissa pour prendre sa baguette, et tressaillit de nouveau. A la clarté de la lune, ils les vit. Les détraqueurs, retournaient à leur poste. Qu'est ce que cela pouvait bien signifier ?
Il désarma Lily, qui le laissa faire, et Hermione, puis, il fit léviter Ron, et il prirent le chemin du château.
- Ah, Severus. Accueillit Dumbledore. Dieu merci, vous les avez trouvé.
- J'ai aussi trouvé cette jeune fille. Sûrement un élève. Elle a du trouver du polynectar, ma réserve personnelle a été pillée, récemment.
- Oh, Severus ! Dit Dumbledore, avec un air de commisération.
- Et bien ? Demanda t'il, tandis que Madame Pomfresh emmenait Ron sur un brancard, qu'elle avait fait apparaître.
- Comment un élève aurait il pu trouver des cheveux de Lily ?
- Je...Il...
Il tourna son regard vers elle, et elle lui sourit.
- C'est Moi, Sev. C'est bien moi, je t'assure.
Il blèmit.
- C'est impossible. Elle est morte. Dit il d'une voix douloureuse.
- Oui, admit elle. Je suis morte. Mais James, Sirius Remus et moi, avons fait un bond dans le futur, un an avant la naissance de notre fils.
- Sornettes, que tout cela.
Severus, regarde moi ! Insista t'elle.
- Je doute que ce soit le moment, intervint Dumbledore. Le ministre arrive, et je préférerais que vous ne soyez pas ici, Lily.
- Oui, vous avez raison.
Elle disparut, sous le regard enfiévré de Rogue.
La bataille faisait rage en lui. Lily ? Sa Lily ? Vivante, là, à Poudlard ? C'était trop beau, ou trop cruel.
- Severus, dit Dumbledore, je conçois que tout ceci soit perturbant, pour vous. Mais il est essentiel, pour la sécurité de Lily, que personne, pas même le ministre, sache qu'ils sont là.
- Vous le saviez ? C'était plus une affirmation, qu'une question.
- Oui, mais là n'est pas la question.
- Ne vous en faites pas, je ne ferais rien, qui puisse la mettre en danger.
Et il s'éloigna, à grands pas, sa robe noire claquant comme un fouet.
James se réveilla, et constata qu'il était toujours un animagus. Il faisait jour, à présent. Il se redressa et reprit forme humaine. Près de lui, Sirius dormait encore, à moitié allongé sur Remus. James le secoua.
Le chien leva la tête, et se redressa, prenant forme humaine.
- Tu parles d'une nuit ! Grogna t'il.
- Peter a fichu le camp. Constata James.
- Je sais, c'était à prévoir.
A ce moment, Remus se réveilla.
- Bon sang, c'est la pire pleine l'une que j'ai jamais connu. Les enfants ? Demanda t'il. Harry ?
- Je n'en sais pas plus que toi. Il faut rentrer.
Ils regagnèrent le château.
Ils allaient entrer dans la grande salle, lorsque les portes s'ouvrirent.
Ils se cachèrent derrière des buissons.
- C'est insensé ! S'écria le ministre. D'abord cet hyppogriffe, qui disparaît, et maintenant Sirius Black !
Décidément, ce n'est pas une école, mais un vrai gruyère.
- Ce n'est pas une prison, non plus, si vous me permettez, Monsieur le ministre.
- Il faut le retrouver, Dumbledore, vous m'entendez ?
- Je vous entends monsieur le ministre, je vous entends.
Ils s'éloignèrent, et les Maraudeurs se glissèrent à l'intérieur.
Ils rejoignirent Lily, à l'appartement.
Elle se jeta dans les bras de James.
Il l'a serra dans ses bras.
- Harry ? Lui demanda t'il
- Il va bien. Le rassura t'elle.
- Bon, c'est déjà une bonne chose. Peter a disparu. Quelque chose me dit qu'il ne réapparaîtra plus avant longtemps.
- Et..moi ? Demanda Sirius. Enfin, l'autre ?
- Il s'est enfuit. Il a d'abord été capturé, et...Il a disparu.
- Les détraqueurs ?
- Non ! Il va bien, je t'assure.
- Qu'est ce que tu en sais ? Demanda t'il.
- Parce que on l'aurait su ! Si les detraqueurs l'avaient embrassé
- Bon, alors retour à la case départ. Soupira Sirius.
- Au moins, il est libre. Dit Lily.
- Peter aussi !
Il se laissa choir sur une chaise.
Elle posa sa main sur la sienne.
- Il se fera prendre, tôt ou tard.
- Douze ans, Lily, il a passé douze ans dans la peau d'un rat. Il se fera pas prendre.
- Je vais voir Harry. Dit elle.
Dumbledore à trouvé comment nous faire rentrer, on part ce soir. Vous devriez prendre une douche et vous reposer.
- Lily, lui dit James. Dis lui que...rien, je le lui dirais moi même.
Lily emprunta les passages secrets, pour se rendre à l'infirmerie, ou Hermione et Harry tenaient compagnie à Ron.
- Ça va, les enfants ? Remis de vos émotions ?
Harry lui sourit.
- Ça va, maman.
Elle tressaillit. Elle n'arrivait pas à s'habituer à se faire appeler maman, par ce grand garçon, qu'elle n'avait pas encore porté en elle, ni mis au monde.
- La nuit à été longue et mouvementée. Leur dit elle.
- Oui, mais tout le monde va bien. Affirma Harry.
- Tout le monde ? S'exclama Ron. Parle pour toi ! J'ai bien failli perdre ma jambe.
- Et Harry à bien failli perdre son âme. Intervint Hermione. Tu veux faire un concours de celui qui a le plus failli mourir cette nuit ?
Lily sourit.
- Bon, au moins, vous avez toujours le moral, c'est bien. J'espère que vous n'en voudrez pas trop à Remus, ce n'est pas sa faute.
- On lui en veut pas. Ce n'était pas vraiment lui. Assura Hermione.
- Quand à Sirius...
- Ne vous en faites pas, on ne lui en veut pas non pas plus. Après tout ce qu'il a vécu... Répondit Hermione.
- Parle pour toi ! Rala Ron. C'est pas toi qui a failli te faire arracher la jambe.
- Ça va Ron, coupa Harry. Ta jambe va bien. Madame Pomfresh t'a dit que tu serais sur pieds dans quelques jours
- Les enfants, je vais vous poser une question, et je veux que vous soyez francs.
- Est ce que vous savez ce qui est arrivé à Sirius ?
Ils se regardèrent, hésitant.
- On l'a aidé à s'enfuir. Avoua Harry. Incapable de mentir aux yeux émeraudes, si semblables aux siens.
- Mais...comment ?
- Grâce à un retourneur de temps. Dit Hermione.
- Un retourneur, bien sûr, mais où l'as tu eu ?
- C'est le professeur Mcgonagall qui me l'a donné, en début d'année. C'est le seul moyen que j'avais pour suivre tous mes cours, cette année.
- J'étais sûr qu'il y avait un truc qui clochait ! S'écria Ron.
- Je vois. Et l'hyppogriffe de Hagrid ?
- Sirius est reparti avec. Mais Buck nous a sauvé ma vie. S'il n'avait pas été là, les deux loups garou nous auraient déchiqueté.
- D'accord. Gardez tout ça pour vous. Personne ne doit savoir que c'est vous, qui l'avez libéré.
Et il faut que je vous dise. Harry, nous repartons ce soir, à notre époque. Mais je veux que tu saches, que tu es un garçon remarquable, et que je suis très fière, d'être ta mère. Je voudrais juste que tu sois un peu moins prompt à t'attirer des ennuis. Je sais que tu tiens ça de ton père, et que c'est plus fort que toi. Mais je t'en pries, fais un effort, tu veux bien ?
- Tu sais, maman, je cherche pas les ennuis, c'est eux, qui me cherchent, en général.
Elle déposa un baiser sur la joue de son garçon.
- Je t'aime, lui murmura t'elle à l'oreille.
Lily quitta l'infirmerie. Elle allait s'engouffrer dans un passage secret, lorsque Severus Rogue l'interpela.
- Alors, c'est vrai ! C'est bien toi.
Elle se retourna et lui sourit.
- Oui, Sev, c'est bien moi.
Ils se faisaient face, les yeux verts, plantés dans les yeux noirs.
- Lily, murmura t'il.
Il posa sa main sur sa joue, et la retira aussitôt, comme si la peau douce de la jeune sorcière l'avait brûlé.
- C'est incroyable. Souffla t'il. C'est comme un rêve qui se réalise. Comme si je sortais d'un long cauchemard.
- C'est un rêve, Sev, en quelques sortes. Ce soir, je retourne à mon époque, et dans ce monde, nous sommes ennemis.
- Je sais. Mais la dernière fois que je t'ai vu, tu étais morte. J'étais le premier sur les lieux. Je t'ai trouvé, là, étendu sur le sol. J'ai cru que j'allais mourir aussi.
Une larme roula, sur la joue de Lily
- Oh, Sev, je suis tellement désolée.
Il tressaillit de nouveau.
- Désolée de quoi ? Demanda t'il d'une voix glaciale, ou perçait une colère sourde. D'avoir préfèré ce bon à rien de Potter ? Tu valais tellement mieux que ça.
Les yeux de Lily flambèrent de colère.
- James est mon Mari, Severus. Je l'aime. Et je suis désolée que tu l'ais mal vécu. Mais je te rappelle que nous nous étions éloigné l'un de l'autre, bien avant que je fréquente James. Et je n'ai jamais eu pour toi, les sentiments que tu aurais souhaité. Dit elle, d'une voix sèche. Tu étais mon ami, Sev. Poursuivit elle d'une voix plus douce. Mais tu as trahi notre amitié, le jour où tu as rejoins Voldemort.
- Je n'ai jamais cessé d'être ton ami. Répliqua t'il vertement. Tu l'aurais sú, si tu n'avais pas fréquenté Potter.
- Dommage, que tu le prennes comme ça. Mais Sev, je voudrais te demander un service, avant que je parte, pourrais tu protéger mon fils, pour moi ?
Un frisson parcourut le corps de Rogue.
- Le protéger de quoi ? Le seigneur des ténèbres a disparu, sans doute est il mort.
- Dumbledore n'en est pas si sûr. Harry, dit qu'il l' a vu, dans la forêt, il l'a attaqué au château.
- Je suis au courant de cette histoire abracadabrante, au sujet de la pierre phylosophale. Ton fils à beaucoup d'imagination. Et comme son père, il aime se faire remarquer, et se pavaner dans l'école, comme si elle lui appartenait. Il manque de discipline.
- Il a beaucoup d'autres qualités, Sev, si tu pouvais mettre de côté les vieilles rancunes, et le voir tel qu'il est, et non pas comme le fils de James...
- Mais il l'est ! Lily. Incontestablement. Il n'a aucun respect du règlement, et il fait peu de cas de la vie des autres. Comme ton Potter, que tu aimes tant.
- Tout ce que je te demande, s'il te reste un peu d'amitié, pour moi, c'est de veiller sur lui.
Il ferma les yeux.
- Je le ferais, c'est déjà ce que je fais, à la demande de Dumbledore.
Elle lui sourit, puis, elle déposa un baiser sur sa joue, si léger, la carresse d'une brise d'été.
Il rougit.
- Merci. Lui murmura t'elle, avant d'entrer dans le passage.
Il regarda longtemps, le portrait qui bouchait le passage secret. Il posa ses doigts sur sa joue, là où ses lèvres s'étaient posées. Une douleur inouïe, lui traversa le coeur. Un gémissement lui échappa, ils se hâta de regagner son appartement, redoutant les larmes, qui malgré lui, menaçaient de ruisseler. Il l'avait enfin retrouvé, et voilà qu'il l'a perdait de nouveau. Une rage froide, se mêla au chagrin. Une colère dirigée sur Voldemort, qui l'avait tué, sur Potter, qui la lui avait enlevé.
Lily rejoignit son mari. Elle effaça les larmes qui coulaient malgré elle, d'un coup de baguette magique, elle supprima les traces de cette douloureuse rencontre. Elle n'avait jamais pu haïr Severus. En dépit de ses mauvais choix, des horreurs, qu'elle l'avait vu accomplir, il restait Sev, son ami d'enfance, le compagnon de jeux avec lequel elle avait découvert la magie.
Elle reprit contenance, et entra, un sourire aux lèvres.
Harry entra dans le bureau du professeur Lupin, et le trouva occupé à ranger ses maigres affaires dans sa valise magique.
- Vous partez ? Lui demanda t'il, inquièt.
- Quelqu'un a accidentellement révélé ma...condition. Dès demain matin, des centaines de hiboux envoyés par des parents inquièts demanderont ma démission. Je préfère partir avant.
- Mais, Dumbledore ?
- À déjà pris bien assez de risques pour moi.
- Alors tout ça n'aura servi à rien.
- Comment pouvez vous dite ça ? Vous avez sauvé la vie de Sirius.
- Mais Pettigrew s'est enfui.
- Ne vous en faites pas pour lui, il ne courra éternellement. Quand à Sirius, il est intelligent, il ne se fera pas prendre, et il n'est plus seul, maintenant.
- Ou allez vous aller ?
- Et bien, dès que j'aurais fait mes adieux à mes amis, je retournerais à ma vie d'avant, et j'essaierais d'aider Sirius, du mieux que je pourrais.
- Vous allez me manquer, professeur.
- S'il y a une chose dont je suis fièr, c'est bien des progrès que vous avez fait cette année. Harry.
- C'est grâce à vous, professeur.
James et Sirius avaient fait le pleins de whisky pur feu et bieraubeurre, ils avaient fait un tour en cuisine, ou Dobby leur avait fourni du ravitaillement. Ils s'apprétaient à fêter leur départ à la façon des Maraudeurs.
La fête fut de courte durée, mais intense. L'heure des adieux arriva bien trop vite.
Lily serra son fils dans ses bras, elle eut du mal à le lâcher.
Puis, elle se tourna vers Hermione.
- Tu es une sorcière très intelligente, Hermione, je suis heureuse que Harry ait une amie comme toi. Je suis sûre que tu sauras l'empêcher de faire des bêtises, ou de se mettre en danger.
- j'essaierais.
- Je n'en doute pas.
Puis, elle se tourna vers Ron.
- Ron, tes oncles, Fabian et Gideon sont de très bons amis, tu as leur courage. Et je suis contente qu'Harry ait un ami aussi sincère que toi. Je sais que vous pourrez toujours compter l'un sur l'autre.
- Merci madame.
Elle lui ébouriffa les cheveux.
Puis, ce fut au tour de James, de faire ses adieux.
Il serra son fils dans ses bras.
- Harry, n'importe quel père, serait fièr d'avoir un fils tel que toi, et moi, encore plus que les autres. Je suis vraiment content d'avoir eu la chance de te connaître. Amuse toi, profites de ta jeunesse. Poudlard est un endroit fantastique, pour qui sait sortir des ornières. Et puis, fais un peu enrager Rogue, pour moi, d'accord ?
Harry sourit.
- Ce ne sera pas difficile. Tu vas me manquer.
- Toi aussi. Hermione, tu me rappelles beaucoup Lily, tu es aussi intelligente qu'elle, et comme elle, tu as beaucoup de coeur. Veille sur Harry, pour nous
S'il te plaît.
- Je le ferais monsieur Potter.
- Ron Weasley, Harry ne pouvait avoir un meilleur ami que toi. Je suis content de t'avoir connu.
- Merci monsieur. Répondit Ron, un sourire flamboyant aux lèvres.
Sirius se tourna vers les enfants.
- Ron, je te présente toutes mes excuses, pour ta jambe, d'habitude, je suis plutôt un gentil chien, j'ai bon caractère. D'ailleurs James me dit souvent que je devrais rester un chien définitivement. La queue, je m'y ferais, mais les puces...Aie, une horreur.
Ils rirent.
- Harry, Hermione, vous m'avez sauvé la vie, je vous serais éternellement reconnaissant. Harry, comme tu le sais, je suis ton parrain, alors quand on aura enfin coincé Peter, et que j'aurais enfin été réhabilité, si tu en as assez de tes moldus.
- J'ai déjà dit à..l''autre Sirius, que j'aimerais beaucoup vivre avec lui, enfin, avec vous.
Sirius sourit.
- Je serais ravi que tu le fasses. Je ne vous dis pas adieu, car on va se revoir très vite. Alors à bientôt.
Remus se tourna vers les enfants.
- Tout comme Sirius, je sais qu'on va se revoir très vite. Alors, à très bientôt
Lupin se tourna vers Sirius.
- J'espère que tu voudras bien me pardonner, d'avoir douté de toi.
- J'aurais douté aussi à ta place. D'ailleurs, si on ne t'a rien dit, sur le changement de gardien, c'est parce qu'on devait douter de ta loyauté. Je sais, c'est idiot.
Ils s'étreignirent.
Puis, Lupin se tourna vers James.
- Jamais, dans mes rêves les plus fous, j' aurais imaginé avoir la chance de te revoir un jour.
Ils s'étreignirent à leur tour.
- Si tout va comme on l'a prévu, souffla James, à l'oreille de Remus, tu n'aura jamais à nous perdre.
Remus s'écarta et plongea son regard dans celui de James.
Celui ci lui adressa un clin d'oeil.
- Qu'est ce que...
- Chut ! Dumbledore !
Remus jeta un regard en arrière et aperçut Albus Dumbledore, qui discutait avec Sirius.
Il hocha la tête.
- Compris. Murmura t'il.
Puis, ils se tourna vers Lily.
- Je ne me rendais pas compte à quel point tu m'avais manquée, toutes ces années, avant de te revoir. C'est un creve coeur, de devoir te laisser partir.
Elle l'embrassa sur la joue.
- J'aurais tellement aimé que tu n'ais pas à vivre tout ça !
- James et Sirius préparent quelque chose. Murmura t'il à l'oreille de la sorcière.
- Je les tiendrais à l'oeil, t'en fais pas.
- Tu me manques déjà.
Elle lui sourit avec toute la tendresse, dont elle était capable.
Puis, Dumbledore donna le signal du départ. Il leur tendit la boule,
James la prit, et Albus prononça une incantation, en agitant sa baguette, sur la sphère.
- J'aurais aimé qu'il en soit autrement, dit il, Mais vous comprendrez que pour des raisons de sécurité, afin de ne pas perturber l'avenir, et provoquer des catastrophes en série, je ne peux vous laisser vous souvenir de cet interméde, aussi, je vais être contraints de vous oublieter
Ils protestèrent, mais Dumbledore se montra intraitable.
La boule s'illumina, devint une lumière aveuglante, et ils disparurent.
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