Il s'agit d'une OS faite pour MissPraline. L'OS sur Ezarel n'est pas encore finit, elle risque d'être finit la semaine prochaine. Bonne lecture.

Il était une fois, une jeune fille du nom de Sakura naquit. Elle avait de long cheveux noirs et lisses, de grands yeux turquoise, une peau lisse et mate ainsi qu'un doux sourire. Elle était la fierté de sa famille.

Sakura grandis sur Terre. Mais un jour, elle arriva dans un monde qui lui était totalement inconnus. Elle décida d'y vivre à contre cœur. Jusqu'à ce qu'elle le vu. Nevra. Un vampire et chef de la garde des ombres.

Elle était tombée amoureuse de lui. Mais de ce sentiment découla d'autres sentiments contradictoires. Sakura ne pouvais pas supporter qu'une autre femme approche son âme sœur. Elle ressentait alors de la jalousie et de la haine. Et elle allait tous faire pour que Nevra soit à elle.

« Liste des personnes à élim ... Éloigner de MON Nevra », écrivis-je en souriant et en soulignant le titre. J'ai réfléchi quelques secondes avant de commencer à écrire des noms dans mon carnet. Il y avait Alajéa qui avait clairement des vues sur MON vampire et Karenn qui est aussi membre de sa garde.

J'ai continué ma liste pendant une petite demi-heure. Une fois cela finit, j'ai fermé mon carnet et je me suis levée de mon lit. Je suis allée vers ma commode et j'ai ouvert un tiroir. J'ai soulevé une pile de vêtements et j'ai glissé mon carnet juste en dessous avant de remettre mes habits à leur place.

Je suis sortie de ma chambre avant de me rendre vers le lieu où se cachait MON âme sœur. J'ai ouvert la porte de la salle d'entraînement de la garde des ombres. La grande pièce aux couleurs sombres était vide à cette heure de l'après-midi.

Enfin presque. Nevra s'entraînait. Il enchaînait ses coups avec une force et une rapidité impressionnante. J'ai souris et j'ai profité de ce magnifique spectacle depuis ma cachette. Même quand il avait de la sueur sur lui, il était beau. Il était beau n'importe quand.

Mais ce moment fut très éphémère. Car mon chef de garde avait enfin finis son entraînement. Je me suis dirigée le plus discrètement possible vers les vestiaires. Un bruit d'eau se faisait entendre. Donc MON Nevra était sous la douche. La curiosité fut la plus forte et je suis allée le voir.

Mais un bruit me fit sursauter et je me suis cachée. Valkyon et Ezarel passèrent devant ma cachette. J'ai pesté intérieurement et j'ai décidé de rajouter les deux garçons à ma liste. Une fois sûre qu'ils n'étaient plus dans le couloir, je suis sortie et je remarquais qu'il n'y avait plus le bruit d'eau. Ils l'avaient fait exprès.

Je suis de cet endroit, très en colère. Valkyon et Ezarel allaient me le payer ! Je le jure ! Je suis rentrée dans la bibliothèque discrètement et j'entendis plusieurs voix. Je me suis approchée tout en me cachant. Je vis dans un coin Miiko discuter avec les trois chefs de gardes.

« Voilà le plan de la région. J'aimerais que vous me rapportiez ce qu'il y a d'écrit sur la liste, ordonna la kitsune. »

Les trois hommes hochèrent la tête. Les cheveux de Nevra volèrent doucement lors de son geste. Et c'était magnifique. Miiko se leva et se déplaça pour aller vers la porte. J'ai réfléchi quelques secondes. Alors comme ça, elle voulait m'éloigner de MON Nevra. Cela n'allait pas se passer comme ça. Il va falloir que j'aille la punir.

Je suis sortie de la pièce et je suis allée chercher une corde, un couteau et un foulard. Une fois mon matériel amassé dans un sac, je me suis dirigée vers la salle de cristal. Mais dans un endroit sombre du couloir, Yhkar tendait un rouleau à MON Nevra.

Miiko allait attendre un peu. Je venais de voir la première personne à punir. Quand Nevra fut parti, j'ai courus rapidement vers la lapine pour la plaquer violemment contre le mur. Cela l'étourdit quelques instants et j'en ai profité pour lui assener plusieurs coups de couteau dans son buste.

Yhkar s'effondra sur le sol tout en se vidant de son sang. Elle m'adressa un regard d'incompréhension et j'ai souris. J'ai regardé le couteau et mon sourire s'agrandit. J'ai ressenti une sensation unique. Le fait de tuer, de prendre une autre vie, c'était magique.

Je me suis retournée et je me suis dirigée pour trouver le prochain condamné. Je me suis approchée de la porte et je vis Leiftan sortir de l'accès. Je me suis engouffrée dans le passage et j'ai pu voir Miiko dos à la porte.

À pas de loups, je me suis glissée dans son dos et je lui ai mis un coup violemment. Elle glapit et s'effondra sur le sol. Miiko tenta de se relever pour essayer de se défendre, mais je fus plus rapide. Elle arriva quand même à me griffer sur la joue droite.

J'ai grogné et je l'ai attaché avant de sourire de victoire. J'ai relevé son visage et je pus voir une lueur de peur dans son regard. Je ris et j'ai sorti mon couteau avant de commencer à découper la base de ses queues.

Elle essaya de hurler, mais mon bâillon étouffait tous ses cris. J'ai continué et son sang gicla, m'éclaboussant le visage. C'était jouissif. Je l'ai regardé agoniser quand un bruit de pas se fit entendre. J'ai dissimulé ma présence et Leiftan arriva dans la pièce.

Il étouffa un cri de surprise et j'en ai profité pour lui planter mon couteau dans la jugulaire. Il n'eut le temps que de poser sa main au niveau de sa gorge et de voir le sang couler avant de s'effondrer. Il allait se vider de son sang.

J'ai repris mes affaires et je suis sortie du lieu de mon carnage. Je suis retournée dans ma chambre et je me suis déshabillée avant d'aller me laver. Le sang coula le long de mon corps. Je suis restée sous l'eau pendant une dizaine de minutes.

Une fois sortie, séchée et habillée, je suis sortie pour continuer mon œuvre. Maintenant, il fallait que je m'occupe de deux gêneuses. Je suis rentrée dans le labo. Il n'y avait personne dedans. Tant mieux pour moi.

Je me suis déplacée entre les paillasses et j'ai chantonné avant de m'arrêter devant une armoire fermée par un cadenas. J'ai pris mon kit pour enlever le cadenas. Ce fut assez simple. J'ai pris quelques poisons avant de refermer l'armoire.

Je suis sortie par l'une des fenêtres qui était ouverte. J'ai grimpé sur le toit pour observer les alentours. Au loin, au cerisier centenaire, je pouvais voir Alajéa et Karenn prendre un thé ensemble. C'était parfait. J'allais pouvoir faire d'une pierre deux coups.

Je mis quelques minutes pour les rejoindre, et j'en ai profité pour prendre quelques pierres. Je suis montée dans le cerisier et j'ai lancé les pierres pour les éloigner. Une fois sûre qu'elles étaient loin, je suis descendu et j'ai mis quelques gouttes de poisons dans leurs tasses.

Je suis remontée sur la branche et je les vis revenir, Karenn grommelant un peu et Alajéa qui essayait de la calmer. Elles s'assirent sur l'herbe et la vampire porta sa tasse à ses lèvres. Elle ne se doutait de rien. Alajéa discutait avec elle quand je vis Karenn commencer à vaciller.

« Ça va Karenn ? S'inquiéta la jeune sirène.

- Oui, balbutia son amie. Je vais juste m'allonger un peu. »

La vampire s'allongea sur l'herbe et je vis Alajéa boire sa boisson. Elle recracha une partie de la boisson et toussa. Elle renversa la tasse et elle remarqua le poison qui était présent dans la boisson. Elle alla vers Karenn et elle sursauta en étouffant un cri de peur.

Elle vacilla et le poison commença à finir son travail. La sirène toussa un peu plus fort et elle cracha un peu de sang avant de convulser. Je regardais ce magnifique spectacle du haut de mon perchoir. Je suis descendue au bout de quelques minutes et j'ai regardé les deux femmes.

J'ai pris leurs pouls et je souris. Elles étaient maintenant dans l'autre monde. Je me suis relevée et je vis les trois chefs de gardes partir du Q.G. J'ai décidé de les suivre le plus discrètement possible. Ils s'arrêtèrent à la nuit tombée dans une petite clairière au milieu de la forêt.

Nevra fit un feu pendant que Valkyon prit quelques rations. Quant à Ezarel, il s'enfonça dans la verdure. Je l'ai suivi et il se retourna dans ma direction au bout de quelques minutes. Je m'étais cachée et je pus voir qu'il commençait à avoir peur. Il prit quelques plantes avant de se retourner à nouveau.

« Qui est là ? Demanda l'elfe, un peu inquiet.

- Aurais-tu peur petit elfe ? Riais-je en sortant de ma cachette.

- Sakura ?! Mais qu'est-ce que tu fais ici ?! Cria Ezarel, dont la voix virait vers les aiguës.

- Ce que je fais ici ? Hum ... Je suis venue te tuer, lui répondis-je en sortant un couteau. »

Ezarel recula et il essaya de me convaincre de ne pas faire ce que je voulais faire. Mais c'était trop tard. Il n'aurait jamais dû m'empêcher de voir mon Nevra. Il courut pour essayer de revenir vers le camp, mais j'ai lancé le couteau dans son bras.

Il cria et je me suis approchée de l'elfe. Je riais et je l'ai tabassé à mort. Quand je me suis arrêtée, je voyais son visage défiguré et j'ai souris. Cela me faisait un bien fou d'ôter la vie. Des blacks dogs arrivèrent et je suis partie, les laissant se repaître du corps de l'homme aux cheveux bleus.

Quand je suis revenue vers le camp, Nevra n'y étais plus. Seul Valkyon surveillait le feu. C'était le bon moment pour le tuer. J'ai fait le tour du camp pour être dans son dos et je me suis approchée sans faire de bruit.

J'avais repris mon couteau et une fois proche de lui, je l'ai poignardé à mainte reprise. Il essaya de se défendre, mais la rage me faisait être plus forte que lui. Au bout de quelques minutes, le corps du faélien ne bougeait plus.

J'ai ris. Enfin ! Il n'y avait plus personne qui pourrais m'éloigner de MON Nevra. Je pourrais être avec lui. Pour l'éternité. Je me suis calmée et je me suis retournée vers Nevra qui était arrivé il y a à peine quelques minutes.

Je me suis dirigée vers lui et à chacun de mes pas, il reculait. Mais ce fut en vain, car un arbre l'empêcha de continuer. Je suis allée dans ses bras et j'ai caressé doucement son visage en souriant tendrement. Je pouvais le sentir un peu tendus et un éclat de peur brillait dans ses yeux.

« Pourquoi tu les as tués ? Me questionna-t-il d'une voix pas très sûr de lui.

- Parce qu'ils m'ont séparé de quelque chose de très important à mes yeux, lui expliquais-je en continuant mon geste.

- Et je vais subir la même chose ? Demanda-t-il.

-Non. C'est toi la chose la plus importante à mes yeux. Et nous serons ensemble pour l'éternité, lui répondis-je en l'embrassant doucement. »

Au bout d'un certains temps, Nevra fini par aimer la jeune femme et ils vécurent heureux jusqu'à la fin de leur vie.