Chapitre 13

Je me réveillai dans une chambre. Mais cette fois, je savais ce qui s'était passé. C'était un peu flou mais je savais le principal. Je me levai rapidement pour essayer de voir où j'étais. J'avais passé suffisamment de temps enfermée dans une chambre pour savoir que je ne voulais pas que ça recommence. Je marchai dans un labyrinthe.

Allais-je trouver un endroit où je pourrai rencontrer des gens et qui pourraient m'éclairer sur l'endroit où j'étais actuellement. J'avais l'impression de passer dans les mêmes endroits encore et encore. Les mêmes couleurs se répétaient inlassablement. Pourquoi choisir de tels éléments si ce n'est pour piéger des intrus. Personne n'avait été là à mon réveil ? Et si on m'avait menti ? Pourquoi j'aurai dû les croire eux et pas d'autres personnes ? Peut-être que c'était parce qu'ils avaient un petit quelque chose qui ne faisait pas douter de leur sincérité. Ame voyons qu'est-ce que tu dis ? C'est grâce à eux que tu n'es plus le rat de laboratoire de ces fous. Tu vas pouvoir vivre tranquillement. Tu vas pouvoir découvrir qui tu es réellement. Tu vas pouvoir découvrir ton passé et certainement des tas de trucs géniaux.

Mes pieds avaient avancé tous seuls pendant que je pesai le pour et le contre de me retrouver ici. Mes pensées furent interrompues par des cris et des hurlements. Qu'est-ce que ça pouvait être ? Je tournai la tête vers les bruits qui se trouvaient à ma droite. Inconsciemment, je courus après le bruit. Tout d'un coup, il me semblait que je connaissais les lieux par cœur. Je tournai sans cesse à gauche et à droite. Ça faisait un moment que je courais. Ça ne devait plus être très loin, bon sang !

J'arrivai enfin au fameux endroit mystère. Bizarrement, je devrai être épuiser, manquer de souffle. Mais je suis en pleine forme. J'avais la pêche. J'avais l'impression de pouvoir faire n'importe quoi qui n'aurait pas été dans mes capacités auparavant.

  Je me trouvais à l'entrée d'une salle circulaire. Elle était rose. Elle me donnait d'abord l'impression que la joie et la vie régnait. Mais je me rendis compte que ce n'était qu'une illusion. Le spectacle ou plutôt l'horreur que je voyais montrait la réalité de cette pièce. Elle révélait la cruauté dans son état pur.

  Il y avais deux groupes très distincts. Celui à droite était composé pour la plupart d'hommes et ils avaient des armes et des boules qui flottaient à côté de leurs mains. Ils semblaient prêt à attaquer. Mais pourquoi ? Je regardai le groupe à gauche et je compris immédiatement. Le deuxième groupe était plus équitable. Il y avait des hommes et des femmes. Ils formaient un arc de cercle qui semblait prêt à se défendre. Ils faisaient une barrière. Mais une barrière pour protéger quoi ?

  En examinant ce groupe je remarquai qu'il y avait un loup blanc majestueux derrière la barrière humaine. Le loup du sentir mon regard sur lui car il tourna la tête vers moi. J'avais l'impression qu'il me disait qu'il était content de me voir. Je n'arrivais pas à lâcher mon regard de ce loup. Il avait un regard profond et tellement attirant.

  Je m'avançai pour voir de plus près comment il était pour découvrir un mystère que je ne connaissais pas encore. Le monde s'était arrêté autour de moi. Cependant les cris s'étaient arrêtés. Ils me fixaient tous comme si ce que je faisais était improbable. Ils se battaient parce que certains trouvaient que le loup ne méritait pas de vivre. Ce qui était tellement débile. Parmi ces gens gens haineux, il y avait Max. Je savais qu'il n'était pas très net comme garçon. Mais dans les défenseurs, il y avait Grace, je savais qu'elle prendrait le bon parti. Certes, je ne connaissais pas l'histoire en entier mais de ce que j'en avais entendu s'en prendre à un animal était injuste. Il ne méritait pas ça. Il méritait de vivre en paix sans que des crétins profonds décident de son sort.

  Quand je fus à sa hauteur, je le vis incliner la tête comme pour me montrer son respect. Il paraissait si humain dans son attitude. C'était beau. J'avais tellement envie de le caresser. Il semblait lire dans mes pensées car il m'envoya un regard qui disait tu peux me toucher le pelage. Lorsque j'eus posé ma main sur le haut de sa tête, j'eus un flash avec une abondance d'images qui venait certainement de mon passé.

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