III - VIII "Le départ"


XXIII.

Je ne peux pas imaginer,

Que tu ne peux plus bouger,

Au fond de cette boîte fleurie,

Mais qui portant, sourit.


J'espère, que tu entends ces mots,

Qui permettent de calmer mes maux,

Tu étais bien plus pour moi,

Que mon grand-père.


XXIV.

Ce convoi silencieux,

T'accompagne jusqu'aux cieux,

Dans les voitures, qui roulent lentement,

On redoute ce moment.


Sur le chemin macabre, cette route,

Tel l'ivresse, elle me déroute,

Je porte mon corps,

Qui lui reste et est dehors.


XXV.

Cette église magnifique,

Elle n'est pas chic,

Les veilles pierres,

Ne voient que la lumière,

De ce Saint-Père,

Qui descend sur la Terre,

Pour arracher les Hommes,

Au milieu des Femmes.

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