II-III "Proditor"
C'est un tout nouveau départ,
Peut-être partirais-tu quelque part ?
Laisses fuir mon grand désespoir,
De voir un jour la lumière du soir.
Oh, que la vie t'a épargnée !
Et pourtant le sang doit couler !
Toi, personne de l'infâme percée !
Ce poids que je porte, écrasé.
Quelle idée a traversé ton esprit,
Pour que de ton travail, de ta vie,
Mon existence prenne l'eau et vit,
Qu'il ne faut compter que sur son propre avis.
Que hasard et méandre,
A fini par me surprendre,
Moi qui ai foncé aveuglement,
Dans le désert étonnamment.
Bạn đang đọc truyện trên: AzTruyen.Top