I-XII "Univers"

La connaissance te rapporte à l'infini,

Des étoiles à perte de vue, toutes en vie,

De multiples couleurs à en perdre la vue, 

Elles éclairent notre connaissance perdue.


Regarde ces spirales, ces formes

Qui débordent d'imagination difforme,

D'autres se chevauchent, se lient à jamais,

Pour finir sublimées, surement pour l'éternité.


Ô toi Homme minuscule, mesure toi à l'échelle !

Échelle de système qui pousse l'imaginaire,

A la limite de ta connaissance réelle,

Semblerais-tu partir vers une nouvelle ère ? 


Espace en expansion, où trône la distorsion, 

Le temps n'est qu'une barrière aux solutions,

Toi, qui lance une bouteille à la mer de la dimension,

Trouveras tu un jour un semblable, une réflexion ? 


La lumière trône fièrement au milieu de ce système,

Qui abrite l'existence, la nature incertaine.

Serions-nous seuls ici, perdu dans l'immensité ? 

Perdu dans la froideur de l'infinité ? 


Que suis-je petit au rebord de ma fenêtre ! 

Moi qui regarde vers le passé, vers mes ancêtres, 

Eux levèrent les yeux, tel mon être, à l'unisson,

Pour se rassurer de leur avenir, leur prédictions.


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